Il s'agit de la version longue de VajrabodhiT20n1061_001 , Koreana: K.1270, qui est analysée dans la suite de l'article.
bl.uk
idp.bl.uk
(en) British Library, International Dunhuang Project, «Or.8212/175 Recto», sur idp.bl.uk (consulté le ) Remarque concernant ce document: dans la rubrique « Catalogues » (colonne de gauche) on lit: «Nila-kantha-dhāraṇī in Sanskrit and Sogdian.», alors que le titre du journal cité en bibliographie mentionne: «Fragment Final de la Nilakanthadharani': En Brahmi et en Transcription Sogdienne ».
Lokesh Chandra, dans une étude antérieure publiée en 1979: Origin of The Avalokiteśvara of Potala p.9, identifiait cinq parties : 1. Salutation initiale ; 2. Récitation du nom Avalokiteśvara ; 3. Énonciation des mérites de la dharani; 4. Corps de la dharani, commençant par l’expression classique «tad yathā »; 5. Salutation finale. Lire en ligne: (en) Lokesh Chandra, « Origin of The Avalokitesvara of Potala, p.9 », sur repository.cam.ac.uk, (consulté le ). Mais ultérieurement, après plusieurs années de recherches, il a proposé la division en quatre parties, au lieu de cinq (cf.The Thousand-armed Avalokiteśvara, 1988, p. 32 et 330).
cbeta.org
tripitaka.cbeta.org
Dans la traduction de Silfong Tsun, les «quarante mudras» sont seulement décrits. Les représentations dessinées figurent dans Taisho Tn201064, qui est le commentaire d'Amoghavajra, de la version de Bhagavaddharma.
Il s'agit de la version longue de VajrabodhiT20n1061_001 , Koreana: K.1270, qui est analysée dans la suite de l'article.
La phrase «To One who sports a lotus (?) in His hand hail »: en l’occurrence, « sports » (verbe conjugé) semble devoir être compris comme synonyme de « wear » (porter , être paré/ orné d’un lotus). Les textes originaux consultés par Chandra étant détériorés, la formulation n’est pas claire, d’où son incertitude, qu’il a signalée par un (?). Autre source consultée, lire en ligne (en) Dictionnaire en ligne Collins Dictionary, « entrée « sport »(1. verb in the sense of wear) », sur collinsdictionary.com (consulté le )
Versets 81,82,83 : les quatre mots en dix syllabes de ces versets constituent une seule phrase: «Án. Tất điện đô Mạn đá ra Bạt đà da (Om. Que les mots de ce mantra puissent se réaliser)». Dans le cadre rituélique elle doit être prononcée 3 fois, ainsi que cela est indiqué dans les recueils de textes Kính chú thường tụng (Sutras à réciter) ou Kinh Dược Sư (Sutras Guérisseurs) , dans lesquels les versets ne sont pas numérotés, mais écrits à la suite (lire en ligne: (vi) « Kinh Dược Sư (Sutras Guérisseurs), p.11 », sur books.google, (consulté le )). La mention: « répéter 3 fois » ne figure pas dans la version numérotée présentée ici.
(en) Benoytosh Bhattacharyya, The Indian Buddhist Iconography,1958, p.262 et List of illustrations, n°116, p. XXIII, lire : [1]. Consulté le .
Gérard Huet, lire en ligne : « nīlakaṇṭha », sur sanskrit.inria.fr (consulté le ) et « lokeśvara », sur sanskrit.inria.fr (consulté le ).
Gérard Huet, lire en ligne : « bhāṣita », sur sanskrit.inria.fr (consulté le ).
Gérard Huet, lire en ligne : « varāha », sur sanskrit.inria.fr (consulté le ).
Gérard Huet, lire en ligne : « narasiṃha », sur sanskrit.inria.fr (consulté le ).
Gérard Huet, lire en ligne : « viśvarūpa », sur sanskrit.inria.fr (consulté le ).
Gérard Huet, lire en ligne : « kṛṣṇasarpa », sur sanskrit.inria.fr (consulté le ).
Gérard Huet, lire en ligne : « sahasrabāhu », sur sanskrit.inria.fr (consulté le ).
Gérard Huet, lire en ligne : « purusa », sur sanskrit.inria.fr (consulté le ).
Gérard Huet, lire en ligne : « purusasukta », sur sanskrit.inria.fr (consulté le ).
Gérard Huet: « tad-yathā » ou « tadyathā » formé de: « तद् tad », lire en ligne: « tad », sur sanskrit.inria.fr et de « yathā » lire: « yatha », sur sanskrit.inria.fr (consulté le ), est un adverbe signifiant : « ainsi ce qui suit , comme suit ».
Gérard Huet:«Śaṇkara» ou «Śaṃkara»: «celui qui apporte le bonheur, qui accorde sa bénédiction», lire en ligne: « śaṃkara », sur sanskrit.inria.fr (consulté le ).
%20sanskrit.inria.fr
Gérard Huet, lire en ligne : « nīlakaṇṭha », sur sanskrit.inria.fr (consulté le ) et « lokeśvara », sur sanskrit.inria.fr (consulté le ).
La dharani, version Sōtō en japonais rōmaji , lire en ligne: International Zen Association United Kingdom, « Daihi Shin Darani », sur izauk.org, (consulté le )
La dharani, version Rinzaï et Ōbaku en japonais rōmaji , lire en ligne : (en) Rinzai-Obaku Zen, « Dharani of Great Compassion », sur zen.rinnou.net (consulté le ).
(en) Alexandre von Staël-Holstein, The Emperor Ch'ien-Lung and the Larger Śūraṃgama Sūtra. Harvard Journal of Asiatic Studies (1), Cambridge (Massachusetts), Harvard–Yenching Institute(en), , p.145 , où il est precisé: « La Traduction du soutra a été commencée en 1752 et s’est terminée en 1763 (The translation of the sutra were begun in A.D. 1752 and finished in A.D. 1763). »