« Éléonore », trentenaire désenchantée, la-croix.com, 22 septembre 2020 par Céline Rouden :"Nora Hamzawi revêt, sans effort apparent, les habits de cette trentenaire désespérée, tout à la fois drôle et pathétique, et malgré quelques maladresses de réalisation, nous attache avec subtilité à son personnage d’Éléonore"
Sandrine Blanchard, « Un apéro avec Nora Hamzawi : Rien ne m’angoisse plus que quelqu’un qui va toujours bien », Le Monde, (lire en ligne)
« Nora Hamzawi s’oppose à la sortie du dernier film de Jacques Doillon, mis en cause pour des violences sexuelles par plusieurs actrices », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le )
Nora Hamzawi, la thérapie par le rire, lemonde.fr, 25 janvier 2024, par Sandrine Blanchard : "Avec son nouveau show, cette ex-chroniqueuse de l’émission « Quotidien », sur TMC, offre à son public une thérapie par le rire, un rire libérateur et non racoleur, comme un hymne à la joie, malgré la fureur du monde qui nous entoure. Le pilulier n’est qu’un des nombreux sujets abordés dans ce stand-up d’une grande franchise"
Véronique Cauhapé, « Mostra de Venise : les premières de Nora Hamzawi », Le Monde, (lire en ligne, consulté le )
Le Bloc-notes de Jérôme Garcin : Pascal Bonitzer plein cadre et les bonheurs de Sophie Avon, nouvelobs.com, 29 avril 2024, par Jérôme Garcin : "Alex Lutz, Léa Drucker, Nora Hamzawi jouent très bien la partition du cynisme dans ce monde argenté où la passion des beaux-arts mène à la folie des grandeurs, mais c’est un inconnu qu’il faut saluer : Arcadi Radeff, exemplaire dans le rôle de l’innocent aux mains pleines, du travailleur de nuit projeté dans la lumière, du garçon modeste qu’étourdissent des enchères vertigineuses."
L'échappée avec Nora Hamzawi : "À un moment, il se passe quelque chose, ce serait bien qu'on soit à l'écoute", radiofrance.fr, 15 mars 2024, par Rebecca Manzoni : "(...) j’ai réfléchi au personnage. Je l'ai pensé un peu comme un dessin, une BD ou un cartoon. Comme à un speed dating, on a peu de temps pour identifier la personne. Le jean et le tee-shirt blanc sont mes préférés et sont venus très vite et les lunettes, c’est au début parce que je ne voulais pas voir les gens, ce qui n’est plus le cas, et aussi parce que je n’aime pas jouer avec les lentilles. Le chignon est arrivé parce que je transpire énormément sur scène."
savemybrain.net
Agnès Papillard, « Nora à la Loge », sur savemybrain.net, (consulté le ).
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“Le Tableau volé” : portrait savoureusement acerbe du marché l’art, par Pascal Bonitzer, telerama.fr, 30 avril 2024, par Samuel Douhaire : "Autour d’eux gravitent de nombreux et beaux personnages, qui n’ont besoin que de quelques scènes pour exister avec force, de la mère au franc-parler de Martin (Laurence Côte, irrésistible) à son avocate bienveillante (Nora Hamzawi, toujours juste) en passant par le père très aimant d’Aurore (Alain Chamfort, décidément formidable comédien)."
Stand-up et humour : les meilleurs spectacles à voir à Paris en mars 2024, telerama.fr, 7 mars 2024, par Rossana Di Vincenzo : " Armée d’une autodérision sans faille et d’un hilarant sens de la formule, Nora Hamzawi continue de capter l’air du temps tout en se confiant sur son intimité et ses névroses.