Voir Roger de Piles, Cours de peinture par principes, Paris, Jombert, (1re éd. 1706) (lire en ligne) ; Lacombe, Dictionnaire portatif des beaux-arts, ou Abrégé de ce qui concerne l'architecture, la sculpture, la peinture, la gravure, la poésie et la musique, Paris, vve Estienne et fils et J.-T. Hérissant, (lire en ligne) ; Claude-Henri Watelet, « Académie », dans Encyclopédie méthodique. Beaux-arts, Paris, Panckoucke, (lire en ligne) ; Aubin Louis Millin de Grandmaison, Dictionnaire des Beaux-arts, Paris, Chapelet, (lire en ligne).
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« Henri Gervex Rolla », sur Musée d'Orsay, (consulté le ) : « Gervex raconte le plaisir qu'il eu à voir le "défilé ininterrompu de visites", sans que l'on sache s'il avait anticipé la réaction des autorités et provoqué volontairement la polémique ».
Igor Kon (trad. du russe par Véronique Patte), « Le nu masculin dans les arts plastiques russes », Cahiers slaves, no 9, , p. 263-291 (lire en ligne).
Norbert Rouland, « Normes et nus. Réflexions sur le statut juridique et social de la nudité dans la civilisation occidentale », dans Pierre Noreau et Louise Rolland, Mélanges Andrée Lajoie, Montréal, Thémis, (lire en ligne), p. 421-492
wikipedia.org
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« L'hypothèse sous-jacente à ce nouvel intérêt pour le corps restreint à lui-même réside dans un optimisme général qui tend à minimiser l'idée chrétienne de « chute » ou de péché au profit de la perfection divine projetée, sous forme d'image, en sa créature. L'homme, fait « à l'image de Dieu(en) », comporte en l'ensemble de son être une part de cette perfection, y compris dans sa configuration matérielle, charnelle, corporelle. Nous parlons bien entendu ici de la période glorieuse de la Renaissance, et non de l'ensemble du XVIe siècle. Au milieu des troubles et des violences guerrières, l'image glorieuse laisse place aux corps blessés, mutilés, torturés, dévastés, créant une répulsion qui vise plus un objet de dégoût que les violences qui lui sont faites ». Cf Claude-Gilbert Dubois, Le bel aujourd'hui de la Renaissance, Seuil, , p. 91
Scribe Accroupi, « [Louvre] Aphrodite, mythe de la Grèce Antique », sur YouTube, (consulté le ). D’après le conservateur du patrimoine chargé des sculptures grecques, étrusques et romaines du musée du Louvre, Ludovic Laugier.