Nuits sonores (French Wikipedia)

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  • Jean-Pierre Garnier, « Scénographies pour un simulacre : l'espace public réenchanté: », Espaces et sociétés, vol. n° 134, no 3,‎ , p. 67–81 (ISSN 0014-0481, DOI 10.3917/esp.134.0067, lire en ligne, consulté le )
  • Laurent Queige, « L’avenir du tourisme urbain, c’est la nuit !: », L'Observatoire, vol. N° 53, no 1,‎ , p. 42–45 (ISSN 1165-2675, DOI 10.3917/lobs.053.0042, lire en ligne, consulté le )
  • Amaia Errecart, Philippe Fache et Marien Paris, « La gastronomie : de l’institutionnalisation à l’événementialisation. Des usages culturels en mutation pour un patrimoine immatériel. Une approche communicationnelle de la nouvelle « scène » gastronomique lyonnaise: », Marché et organisations, vol. n° 35, no 2,‎ , p. 51–72 (ISSN 1953-6119, DOI 10.3917/maorg.035.0051, lire en ligne, consulté le )
  • Vincent Guillon et Charles Ambrosino, « Penser la métropole à « l’âge du faire » : création numérique, éthique hacker et scène culturelle: », L'Observatoire, vol. N° 47, no 1,‎ , p. 31–36 (ISSN 1165-2675, DOI 10.3917/lobs.047.0031, lire en ligne, consulté le ) :

    « En réponse à la circulaire Pasqua « anti-techno » de 1995, la région lyonnaise devient une place forte de la lutte en faveur des manifestations publiques de musiques électroniques. Contribuant activement à l’essor de cette contre-culture, une poignée de créateurs locaux mènent des expériences informatiques originales en utilisant de façon simultanée et interactive plusieurs médias (sons, images, vidéo, etc.). Ils proposent ces performances dans des clubs lyonnais plus ou moins légaux ou lors de « free parties » organisées clandestinement. Émerge ainsi localement une petite communauté de créateurs numériques qui exploitent les potentialités de décloisonnement offertes par la micro-informatique. Tenues à l’écart des institutions culturelles, plusieurs générations d’entre eux se rencontrent régulièrement dans un lieu alternatif du quartier de la Guillotière, ouvert à l’initiative du label musical Bee Records. Les soirées « Freeday », notamment, y mélangent quelques pionniers du multimédia avec d’autres participants qui deviendront plus tard les principaux artistes, producteurs et entrepreneurs lyonnais des arts numériques : par exemple, les fondateurs des Nuits Sonores, de XLR Project, de l’association AADN, d’Aimez-Vous Brahms ?, etc. »

  • Alice-Anne Jeandel, « Quand la nuit vampirise le jour : réinventer les codes de la « club culture » », L'Observatoire, vol. 53, no 1,‎ , p. 52–54 (ISSN 1165-2675, DOI 10.3917/lobs.053.0052, lire en ligne, consulté le ) :

    « On vit une vraie révolution à Lyon avec Le Sucre et Nuits sonores : la fin de journée, le début de soirée et même le dimanche après-midi attirent plus de monde que la nuit. On va même enfoncer le clou puisque, pour les futures éditions, les étapes de jour du festival vont prendre davantage de place que les étapes de nuit. On réinvente les codes de la « club culture ». Pour autant, l’expérience que nous faisons vivre au public n’en est pas moins forte. La nuit vampirise le jour en quelque sorte. »

  • Cédric Dujardin, Vincent Guillon et Alice-Anne Jeandel, « Quand la nuit vampirise le jour : réinventer les codes de la « club culture »: », L'Observatoire, vol. N° 53, no 1,‎ , p. 52–54 (ISSN 1165-2675, DOI 10.3917/lobs.053.0052, lire en ligne, consulté le ) :

    « À Lyon, la bienveillance des pouvoirs publics est telle qu’ils ont été très favorables à ce qu’un établissement comme Le Sucre ouvre en centre-ville et non pas très loin dans la campagne. Nous avons réalisé un énorme investissement pour respecter les normes acoustiques drastiques qui nous ont été imposées. (...) à Nuits sonores et au Sucre, on défend plutôt un point de vue inverse en considérant que tout ce qui anime la ville n’est pas en concurrence avec nos établissements pérennes mais que cela nourrit l’écosystème sur lequel nous reposons. Nous préférons soutenir ces petites structures underground pour les aider à être dans les clous et ne pas mettre en danger la vie d’autrui, à ouvrir des établissements en connaissant les normes. On essaye de porter une fonction d’incubation et de soutien à la vie associative nocturne afin qu’elle soit riche et diverse, mais qu’elle soit aussi gérée le plus professionnellement possible. »

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  • Jean-Pierre Garnier, « Scénographies pour un simulacre : l'espace public réenchanté: », Espaces et sociétés, vol. n° 134, no 3,‎ , p. 67–81 (ISSN 0014-0481, DOI 10.3917/esp.134.0067, lire en ligne, consulté le )
  • Laurent Queige, « L’avenir du tourisme urbain, c’est la nuit !: », L'Observatoire, vol. N° 53, no 1,‎ , p. 42–45 (ISSN 1165-2675, DOI 10.3917/lobs.053.0042, lire en ligne, consulté le )
  • Amaia Errecart, Philippe Fache et Marien Paris, « La gastronomie : de l’institutionnalisation à l’événementialisation. Des usages culturels en mutation pour un patrimoine immatériel. Une approche communicationnelle de la nouvelle « scène » gastronomique lyonnaise: », Marché et organisations, vol. n° 35, no 2,‎ , p. 51–72 (ISSN 1953-6119, DOI 10.3917/maorg.035.0051, lire en ligne, consulté le )
  • Vincent Guillon et Charles Ambrosino, « Penser la métropole à « l’âge du faire » : création numérique, éthique hacker et scène culturelle: », L'Observatoire, vol. N° 47, no 1,‎ , p. 31–36 (ISSN 1165-2675, DOI 10.3917/lobs.047.0031, lire en ligne, consulté le ) :

    « En réponse à la circulaire Pasqua « anti-techno » de 1995, la région lyonnaise devient une place forte de la lutte en faveur des manifestations publiques de musiques électroniques. Contribuant activement à l’essor de cette contre-culture, une poignée de créateurs locaux mènent des expériences informatiques originales en utilisant de façon simultanée et interactive plusieurs médias (sons, images, vidéo, etc.). Ils proposent ces performances dans des clubs lyonnais plus ou moins légaux ou lors de « free parties » organisées clandestinement. Émerge ainsi localement une petite communauté de créateurs numériques qui exploitent les potentialités de décloisonnement offertes par la micro-informatique. Tenues à l’écart des institutions culturelles, plusieurs générations d’entre eux se rencontrent régulièrement dans un lieu alternatif du quartier de la Guillotière, ouvert à l’initiative du label musical Bee Records. Les soirées « Freeday », notamment, y mélangent quelques pionniers du multimédia avec d’autres participants qui deviendront plus tard les principaux artistes, producteurs et entrepreneurs lyonnais des arts numériques : par exemple, les fondateurs des Nuits Sonores, de XLR Project, de l’association AADN, d’Aimez-Vous Brahms ?, etc. »

  • Alice-Anne Jeandel, « Quand la nuit vampirise le jour : réinventer les codes de la « club culture » », L'Observatoire, vol. 53, no 1,‎ , p. 52–54 (ISSN 1165-2675, DOI 10.3917/lobs.053.0052, lire en ligne, consulté le ) :

    « On vit une vraie révolution à Lyon avec Le Sucre et Nuits sonores : la fin de journée, le début de soirée et même le dimanche après-midi attirent plus de monde que la nuit. On va même enfoncer le clou puisque, pour les futures éditions, les étapes de jour du festival vont prendre davantage de place que les étapes de nuit. On réinvente les codes de la « club culture ». Pour autant, l’expérience que nous faisons vivre au public n’en est pas moins forte. La nuit vampirise le jour en quelque sorte. »

  • Cédric Dujardin, Vincent Guillon et Alice-Anne Jeandel, « Quand la nuit vampirise le jour : réinventer les codes de la « club culture »: », L'Observatoire, vol. N° 53, no 1,‎ , p. 52–54 (ISSN 1165-2675, DOI 10.3917/lobs.053.0052, lire en ligne, consulté le ) :

    « À Lyon, la bienveillance des pouvoirs publics est telle qu’ils ont été très favorables à ce qu’un établissement comme Le Sucre ouvre en centre-ville et non pas très loin dans la campagne. Nous avons réalisé un énorme investissement pour respecter les normes acoustiques drastiques qui nous ont été imposées. (...) à Nuits sonores et au Sucre, on défend plutôt un point de vue inverse en considérant que tout ce qui anime la ville n’est pas en concurrence avec nos établissements pérennes mais que cela nourrit l’écosystème sur lequel nous reposons. Nous préférons soutenir ces petites structures underground pour les aider à être dans les clous et ne pas mettre en danger la vie d’autrui, à ouvrir des établissements en connaissant les normes. On essaye de porter une fonction d’incubation et de soutien à la vie associative nocturne afin qu’elle soit riche et diverse, mais qu’elle soit aussi gérée le plus professionnellement possible. »

  • Francesco Sottile, Jacopo Foglietti, Claudio Pastrone et Maurizio A. Spirito, « IoT Solutions for Large Open-Air Events », dans Internet of Things – The Call of the Edge, River Publishers, (ISBN 978-1-003-33861-1, DOI 10.1201/9781003338611-5/iot-solutions-large-open-air-events-francesco-sottile-jacopo-foglietti-claudio-pastrone-maurizio-spirito-antonio-defina-markus-eisenhauer-shreekantha-devasya-arjen-schoneveld-nathalie-frey-hors-pierre-yves-paolo-remagnino-mahdi-maktabdar-oghaz-karim-haddad-charalampos-kouzinopoulos-georgios-stavropoulos-patricio-munoz-s%C3%A9bastien-carra-peeter-kool-peter-rosengren, lire en ligne)

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  • Laurent Queige, « L’avenir du tourisme urbain, c’est la nuit !: », L'Observatoire, vol. N° 53, no 1,‎ , p. 42–45 (ISSN 1165-2675, DOI 10.3917/lobs.053.0042, lire en ligne, consulté le )
  • Amaia Errecart, Philippe Fache et Marien Paris, « La gastronomie : de l’institutionnalisation à l’événementialisation. Des usages culturels en mutation pour un patrimoine immatériel. Une approche communicationnelle de la nouvelle « scène » gastronomique lyonnaise: », Marché et organisations, vol. n° 35, no 2,‎ , p. 51–72 (ISSN 1953-6119, DOI 10.3917/maorg.035.0051, lire en ligne, consulté le )
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    « En réponse à la circulaire Pasqua « anti-techno » de 1995, la région lyonnaise devient une place forte de la lutte en faveur des manifestations publiques de musiques électroniques. Contribuant activement à l’essor de cette contre-culture, une poignée de créateurs locaux mènent des expériences informatiques originales en utilisant de façon simultanée et interactive plusieurs médias (sons, images, vidéo, etc.). Ils proposent ces performances dans des clubs lyonnais plus ou moins légaux ou lors de « free parties » organisées clandestinement. Émerge ainsi localement une petite communauté de créateurs numériques qui exploitent les potentialités de décloisonnement offertes par la micro-informatique. Tenues à l’écart des institutions culturelles, plusieurs générations d’entre eux se rencontrent régulièrement dans un lieu alternatif du quartier de la Guillotière, ouvert à l’initiative du label musical Bee Records. Les soirées « Freeday », notamment, y mélangent quelques pionniers du multimédia avec d’autres participants qui deviendront plus tard les principaux artistes, producteurs et entrepreneurs lyonnais des arts numériques : par exemple, les fondateurs des Nuits Sonores, de XLR Project, de l’association AADN, d’Aimez-Vous Brahms ?, etc. »

  • Alice-Anne Jeandel, « Quand la nuit vampirise le jour : réinventer les codes de la « club culture » », L'Observatoire, vol. 53, no 1,‎ , p. 52–54 (ISSN 1165-2675, DOI 10.3917/lobs.053.0052, lire en ligne, consulté le ) :

    « On vit une vraie révolution à Lyon avec Le Sucre et Nuits sonores : la fin de journée, le début de soirée et même le dimanche après-midi attirent plus de monde que la nuit. On va même enfoncer le clou puisque, pour les futures éditions, les étapes de jour du festival vont prendre davantage de place que les étapes de nuit. On réinvente les codes de la « club culture ». Pour autant, l’expérience que nous faisons vivre au public n’en est pas moins forte. La nuit vampirise le jour en quelque sorte. »

  • Cédric Dujardin, Vincent Guillon et Alice-Anne Jeandel, « Quand la nuit vampirise le jour : réinventer les codes de la « club culture »: », L'Observatoire, vol. N° 53, no 1,‎ , p. 52–54 (ISSN 1165-2675, DOI 10.3917/lobs.053.0052, lire en ligne, consulté le ) :

    « À Lyon, la bienveillance des pouvoirs publics est telle qu’ils ont été très favorables à ce qu’un établissement comme Le Sucre ouvre en centre-ville et non pas très loin dans la campagne. Nous avons réalisé un énorme investissement pour respecter les normes acoustiques drastiques qui nous ont été imposées. (...) à Nuits sonores et au Sucre, on défend plutôt un point de vue inverse en considérant que tout ce qui anime la ville n’est pas en concurrence avec nos établissements pérennes mais que cela nourrit l’écosystème sur lequel nous reposons. Nous préférons soutenir ces petites structures underground pour les aider à être dans les clous et ne pas mettre en danger la vie d’autrui, à ouvrir des établissements en connaissant les normes. On essaye de porter une fonction d’incubation et de soutien à la vie associative nocturne afin qu’elle soit riche et diverse, mais qu’elle soit aussi gérée le plus professionnellement possible. »

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  • Dorothée Aznar, « Nuits Sonores, le bilan », sur le petit Bulletin, Lyon (France), (consulté le )

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