Hubert Vialatte, « La 2e igne du tram-bus de Nîmes mise en service le 7 janvier : Les rames de ce bus développeront une motorisation hybride électrique/gaz. Cette deuxième ligne représente un investissement de 118 millions d'euros, dont 80 millions de travaux », Les Échos, (lire en ligne, consulté le ).
En 2016, une analyse génétique de squelettes provenant de trois tombes musulmanes découvertes à Nîmes en 2007, réalisée par Gleize et al., a montré qu'il s'agissait de personnes originaires d'Afrique du Nord, appartenant à l'haplogroupe paternel E-M81 très fréquent au Maghreb. Ces personnes étaient âgées respectivement de 20 à 29 ans pour l'un, d'une trentaine d'années pour le deuxième, et de plus de 50 ans pour le troisième. Selon l'Inrap « L’ensemble de ces données suggère que les squelettes découverts dans les tombes de Nîmes appartenaient à des soldats berbères enrôlés dans l’armée omeyyade durant l’expansion arabe en Afrique du Nord ». Pour Yves Gleize, l'auteur principal de l'étude, « l'analyse archéologique, anthropologique et génétique de ces sépultures du début de l'époque médiévale à Nîmes fournit des preuves matérielles d'une occupation musulmane au VIIIe siècle dans le sud de la France », 3 tombes musulmanes, les plus anciennes de France, découvertes à Nîmes« Copie archivée » (version du sur Internet Archive), Sciences et Avenir, 26 février 2016, Gleize et al. 2016, Early Medieval Muslim Graves in France: First Archaeological, Anthropological and Palaeogenomic Evidence, Published: February 24, 2016 DOI: 10.1371/journal.pone.0148583
En 2016, une analyse génétique de squelettes provenant de trois tombes musulmanes découvertes à Nîmes en 2007, réalisée par Gleize et al., a montré qu'il s'agissait de personnes originaires d'Afrique du Nord, appartenant à l'haplogroupe paternel E-M81 très fréquent au Maghreb. Ces personnes étaient âgées respectivement de 20 à 29 ans pour l'un, d'une trentaine d'années pour le deuxième, et de plus de 50 ans pour le troisième. Selon l'Inrap « L’ensemble de ces données suggère que les squelettes découverts dans les tombes de Nîmes appartenaient à des soldats berbères enrôlés dans l’armée omeyyade durant l’expansion arabe en Afrique du Nord ». Pour Yves Gleize, l'auteur principal de l'étude, « l'analyse archéologique, anthropologique et génétique de ces sépultures du début de l'époque médiévale à Nîmes fournit des preuves matérielles d'une occupation musulmane au VIIIe siècle dans le sud de la France », 3 tombes musulmanes, les plus anciennes de France, découvertes à Nîmes« Copie archivée » (version du sur Internet Archive), Sciences et Avenir, 26 février 2016, Gleize et al. 2016, Early Medieval Muslim Graves in France: First Archaeological, Anthropological and Palaeogenomic Evidence, Published: February 24, 2016 DOI: 10.1371/journal.pone.0148583
En 2016, une analyse génétique de squelettes provenant de trois tombes musulmanes découvertes à Nîmes en 2007, réalisée par Gleize et al., a montré qu'il s'agissait de personnes originaires d'Afrique du Nord, appartenant à l'haplogroupe paternel E-M81 très fréquent au Maghreb. Ces personnes étaient âgées respectivement de 20 à 29 ans pour l'un, d'une trentaine d'années pour le deuxième, et de plus de 50 ans pour le troisième. Selon l'Inrap « L’ensemble de ces données suggère que les squelettes découverts dans les tombes de Nîmes appartenaient à des soldats berbères enrôlés dans l’armée omeyyade durant l’expansion arabe en Afrique du Nord ». Pour Yves Gleize, l'auteur principal de l'étude, « l'analyse archéologique, anthropologique et génétique de ces sépultures du début de l'époque médiévale à Nîmes fournit des preuves matérielles d'une occupation musulmane au VIIIe siècle dans le sud de la France », 3 tombes musulmanes, les plus anciennes de France, découvertes à Nîmes« Copie archivée » (version du sur Internet Archive), Sciences et Avenir, 26 février 2016, Gleize et al. 2016, Early Medieval Muslim Graves in France: First Archaeological, Anthropological and Palaeogenomic Evidence, Published: February 24, 2016 DOI: 10.1371/journal.pone.0148583