Occupation soviétique de la Bessarabie et de la Bucovine du Nord (French Wikipedia)

Analysis of information sources in references of the Wikipedia article "Occupation soviétique de la Bessarabie et de la Bucovine du Nord" in French language version.

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  • (en) Research Divi Federal Research Division, Federal Research Division Romania a Country Study: A Country Study, Kessinger Publishing, 2004 (ISBN 1-4191-4531-2), Google Print, p. 79
  • (en) Dov Levin, The Lesser of Two Evils: Eastern European Jewry Under Soviet Rule, 1939–1941, Jewish Publication Society, 1995, (ISBN 0-8276-0518-8), Google Print, p. 37
  • Livezeanu Irina, Cultural Politics in Greater Romania: Regionalism, Nation Building & Ethnic Struggle, Cornell University Press, (ISBN 0-8014-8688-2 et 978-0-8014-8688-3, lire en ligne), p. 92.
  • Ferdinand Feldbrugge, Gerard Pieter van den Berg et William B. Simons, Encyclopedia of Soviet law, BRILL, (ISBN 90-247-3075-9, lire en ligne), p. 461

    « On March 26, 1949, the US Department of State issued a circular letter stating that the Baltic countries were still independent nations with their own diplomatic representatives and consuls. »

    .
  • Bruce Parrott, State building and military power in Russia and the new states of Eurasia, M.E. Sharpe, (ISBN 1-56324-360-1, lire en ligne), « Reversing Soviet Military Occupation », p. 112–115

dacoromania.org

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  • Peter Van Elsuwege, Russian-speaking minorities in Estonian and Latvia : Problems of integration at the threshold of the European Union, Flensburg Germany, European Centre for Minority Issues, (lire en ligne), p. 2

    « The forcible incorporation of the Baltic states into the Soviet Union in 1940, on the basis of secret protocols to the Molotov-Ribbentrop Pact, is considered to be null and void. Even though the Soviet Union occupied these countries for a period of fifty years, Estonia, Latvia and Lithuania continued to exist as subjects of international law. »

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  • (en) Renaud Dehousse, « The International Practice of the European Communities: Current Survey », European Journal of International Law, vol. 4, no 1,‎ , p. 141 (lire en ligne [archive du ], consulté le )

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  • Vlad Mischevca, „Tratatul ruso-turc de prietenie și frăție din 16 martie 1921” in : Limba Română n° 4, 24-ème année, Chişinău, 2014, article 6 : „Обе договаривающиеся стороны признают, что все договоры, до сего времени заключенные между обеими странами, не соответствуют обоюдным интересам. Они соглашаются поэтому признать эти договоры отмененными и не имеющими силы. Правительство Российской Социалистической Федеративной Советской Республики заявляет, в частности, что оно считает Турцию свободной от всяких к нему денежных или иных обязательств, основанных на международных актах, ранее заключенных между Турцией и царским правительством” sur [1] consulté le 28.05.2014) et aussi dans Дипломатический словарь,т. III. С-Я, Наука, Moscou 1986, с. 312-313; Документы внешней политики СССР, т. III, Moscou 1959 et Документы внешней политики СССР, т. III, Госполитиздат, Moscou 1959, с. 597-604.

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moldova.org

romanism.ro

  • Pendant l'entre-deux-guerres, l'Office Nansen avait attribué plus de 53 000 passeports de réfugiés apatrides à des Russes blancs, d'anciens aristocrates, bourgeois, marchands (dont un grand nombre de juifs russes), soi-disant « koulaks », intellectuels, indépendantistes ukrainiens, anarchistes et paysans affamés, tous indistinctement classés comme « éléments contre-révolutionnaires » par les autorités soviétiques dont ils fuyaient les persécutions et la terreur. Ces réfugiés essaient de passer le Dniestr à la nage ou sur la glace sous les balles des garde-frontière soviétiques : certains parviennent à passer, surtout de nuit, mais rares sont ceux qui parviennent à emporter des bagages, et beaucoup sont tués, noyés, ou capturés et envoyés au Goulag : parmi ceux qui s'échappent, plus d'un est rançonné par les garde-frontière roumains avant d'être pris en charge par l'Office Nansen, comme en témoignent Anthony Babel dans La Bessarabie, éd. Félix Alcan, Genève et Paris, 1932 et Anatol Petrencu, Les déportations staliniennes, Journal de Chisinau, no 294 du 2 juillet 2004.

timpul.md

  • Télégramme du major Sazykine à Laurent Béria : Strict secret Au commissaire du Peuple pour les Affaires internes de l'Union Soviétique, le commissaire de 1re classe de Sécurité, le camarade Beria L. P. Je vous expédie pour examen le dossier pénal de quatorze membres actifs du mouvement contre-révolutionnaire „Sfatul Țării”: 1. Teodor Onciu, né en 1887, député au „Sfatul Țării”, fonctionnaire. 2. Cojuhari Teodor, né en 1879, colonel de l'armée tsariste, député au „Sfatul Țării”, ministre de la défense de la prétendue „Rép. Dém. moldave”, puis député au parlement monarchiste roumain. 3. Teodor Neag, né en 1878, koulak (tout rural autre que les ouvriers agricoles, était qualifié par les Bolcheviks de koulak et considéré comme un ennemi de classe). 4. Vladimir Budescu, né en 1868, ancien procureur de la Cour d'Appel. 5. Ivan Ignatiouk, né en 1893, koulak. 6. Panteleimon Sinadinos, né en 1875, député à la Douma tsariste de 1907 à 1917, propriétaire terrien, jusqu'à la réforme agraire de 1918 il avait 4 500 ha. 7. Constantin Bivol, né en 1885, koulak. 8. Ion Codreanu, né en 1879, koulak. 9. Emmanuele Cotelli, né en 1883 a. n., ancien officier de l'armée tsariste, propriétaire terrien. 10. Luca Știrbeț, né en 1889, membre du parti paysan, koulak. 11. Alexandru Baltaga, né en 1861, député au „Sfatul Țării”, a 12 médailles du gouvernement roumain, prêtre, ancien métropolite de Bessarabie. 12. Nicolae Sacară, né en 1894, ancien député au „Sfatul Țării”, koulak. 13. Grigore Turcoman, né en 1890, ancien officier de l'armée tsariste, koulak. 14. Stefan Botnariouk, né en 1875, membre important des partis bourgeois, propriétaire terrien. Notre enquête (NT : les Soviétiques sont arrivés en Bessarabie 48 heures auparavant) a confirmé que toutes ces personnes ont, en 1918, commis la rupture par la force de la Bessarabie hors de l'Union Soviétique (NT : l'URSS n'a été proclamée qu'en 1922) pour la donner à la Roumanie, acte pour lequel ils ont reçu du gouvernement roumain 50 ha chacun (NT : la réforme agraire roumaine de 1921-1923 a donné à tout paysan non-propriétaire travaillant la terre entre 0,5 et 1 ha de terrain (selon les caractéristiques du sol et des eaux) pris sur les domaines latifundiaires des boyards ; cette mesure ne concernait pas les personnes déjà propriétaires de terres agricoles). En plus, ces personnes ont exercé une activité contre-révolutionnaire sur le territoire de la Bessarabie jusqu'à l'arrivée de l'Armée rouge. Leur activité criminelle contre le peuple moldave est totalement démontrée, tant par les résultats de l'enquête, que par les documents trouvés dans les archives des administrations roumaines et de la sûreté roumaine. Pensant que ce dossier pourrait avoir une grande importance politique, mais aussi une valeur de propagande pour les travailleurs moldaves, je vous prie d'approuver l'organisation d'un procès public pour ces cas, afin de condamner la livraison ouverte de la Bessarabie à la Roumanie par l'intermédiaire des affaires mystérieuses des associations secrètes moldaves avec le gouvernement roumain et la Rada ukrainienne. Signé: major Sazykine, chef du NKVD à Chișinău Tandis que des milliers de détenus rejoignent en prison les 14 arrêtés, le dossier de Sazykine tourne durant 4 mois dans les services de Béria à Moscou, puis revient sans aucune annotation : le procès n'aura pas lieu. Sans jugement, les 14 détenus mourront en détention : 1. Teodor Onciu : † 22.XI.1940, pénitencier Chișinău ; 2. Teodor Cojuhari : † 23.I.1941, pénitencier Chișinău ; 3. Teodor Neaga : † 6.XII.1941, Goulag, Penza, Russie ; 4. Vladimir Bodescu : † 28.XI.1941, Goulag, camp no 4 de Tchistopol, Russie ; 5. Ivan Ignatiouk : † 26.I.1943, Goulag, camp no 2 de Tchistopol, Russie ; 6. Panteleimon Sinadinos : † Goulag, URSS, ? ; 7. Constantin Bivol : † 12.III.1942, Goulag, camp no 4 de Tchistopol, Russie ; 8. Emmanuele Cotelli : † 18.II.1943, Goulag, camp no 5 de Sverdlovsk, Russie ; 9. Luca Știrbeț: † 15.III.1942, Goulag, camp no 4 de Tchistopol, Russie ; 10. Alexandru Baltaga : † 7.VIII.1941, pénitencier de Kazan, Russie ; 11. Nicolae Sacară : † 24.II.1942, Goulag, Penza, Russie ; 12. Grigore Turcoman : † 28.V.1942, Goulag, Penza, Russie ; 13. Stefan Botnariouk : † 22.VIII.1941, Goulag, Penza, Russie. Les documents intégraux sont dans le doctorat en droit de Mihai Tașcă, publié sur le site du journal moldave Timpul : [2].

un.org

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  • (en) « Seventh session Agenda item 9 »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), United Nations, Human Rights Council, Mission to Estonia, (consulté le ) : « The Molotov–Ribbentrop Pact in 1939 assigned Estonia to the Soviet sphere of influence, prompting the beginning of the first Soviet occupation in 1940. After the German defeat in 1944, the second Soviet occupation started and Estonia became a Soviet republic. »

web.archive.org

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  • (en) European Parliament, « Resolution on the situation in Estonia, Latvia, Lithuania », Official Journal of the European Communities, vol. 42/78,‎ (lire en ligne)

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