Titre Regimen animarum ou Incipit liber qui vocat[ur] a[n]i[marum] regime[m] [com]pliat[us] i[n] anno D[omi]ni Mo CCCmo xliijo (1343) ; Explicit liber qui vocatur ani[marum] regimen compositus anno D[omi]ni mill[esi]mo t[re]centesimo q[ua]dragesimo t[er]cio Deo gracias q[uo]do Beche nomen sc[ri]ptoris Will[er]m[u]s plenus amoris Amen. I[esu] C[riste] (Site Harold B. Library [30]
Il est probable que - l'évêque d'Autun Étienne de Baugé († 1140) employait déjà ce mot (I. Vie de Messire Antoine Arnauld, docteur de la maison de société de Sorbone, p. 271, 1783 [7]) ; II. Jacques Collin de Plancy, Grande vie des saints, p. 289, 1872 [8] ; III. Jean-Robert Armogathe, Theologia Cartesiana, p. 8, 2012 [9] - ou par l'évêque de Tours Hildebert de Lavardin († 1133) (I. Antoine de baron Ponnat, Histoire des variations et contradiction de l'Église romaine, tome II, p. 315, 1882 [10] ; II. Martin Jugie, Le mot transsubstantiation chez les Grecs avant 1629, Revue des études byzantines, tome 62, p. 5, 1907 [11]) ; - texte original à retrouver pour ces deux évêques ; - selon Dom Robert Le Gall, l'idée est très ancienne et se trouve dans l'œuvre de Tertullien († vers 220) [12] ; voir aussi Dictionnaire encyclopédique de la théologie catholique, tome XXIV, p. 59, 1865 [13] ; - quoi qu'il en soit, cette idée théologique ne devint le dogme de l'Église qu'en 1215.
Il est probable que - l'évêque d'Autun Étienne de Baugé († 1140) employait déjà ce mot (I. Vie de Messire Antoine Arnauld, docteur de la maison de société de Sorbone, p. 271, 1783 [7]) ; II. Jacques Collin de Plancy, Grande vie des saints, p. 289, 1872 [8] ; III. Jean-Robert Armogathe, Theologia Cartesiana, p. 8, 2012 [9] - ou par l'évêque de Tours Hildebert de Lavardin († 1133) (I. Antoine de baron Ponnat, Histoire des variations et contradiction de l'Église romaine, tome II, p. 315, 1882 [10] ; II. Martin Jugie, Le mot transsubstantiation chez les Grecs avant 1629, Revue des études byzantines, tome 62, p. 5, 1907 [11]) ; - texte original à retrouver pour ces deux évêques ; - selon Dom Robert Le Gall, l'idée est très ancienne et se trouve dans l'œuvre de Tertullien († vers 220) [12] ; voir aussi Dictionnaire encyclopédique de la théologie catholique, tome XXIV, p. 59, 1865 [13] ; - quoi qu'il en soit, cette idée théologique ne devint le dogme de l'Église qu'en 1215.
Adolphe Charles Peltier, Dictionnaire universel et complet des conciles, p. 1057 - 1058 (concile p. 1057 - 1079), 1843 [14]
Helmut Hoping, My Body Given for You, p. 209, 2019 (en)[15]
George Ambrose Bradbury, The Life of St.Juliana of Cornillon, p. 98, 1873 (en)[23]
Constant Mews (éd.), Guy of Saint-Denis, Tractatus de Tonis, p. xvii, 2017 (en)[24]
Ainsi, pour cette raison, la Fête-Dieu fut supprimée, en 1548, en Angleterre (Anne Glyn-Jones, Holding Up a Mirror, p. 255, 1996 (en)[27]).
Alain Lottin, Lille, citadelle de la Contre-Réforme ?, p. 337, Presses universitaires du Septentrion, 2013 [28]
Klaus-Peter Todt, Reception of Aquinas in the East dans le livre The Oxford Handbook of the Reception of Aquinas, p. 191, Oxford University Press 2021 (en)[29]
Le titre de saint Thomas était l’Officium de festo Corporis Christi, Thomas O'Loughlin, The Eucharist : Origins and Contemporary Understandings, p. 33, note n° 32, 2015 (en)[32]
T. E. Muir, Roman Catholic Church Music in England, 1791 - 1914, p. 220 - 221, 2016 (en)[33]
Félix Clément, Histoire générale de la musique religieuse, p. 539, 1861 [35]
Il est probable que - l'évêque d'Autun Étienne de Baugé († 1140) employait déjà ce mot (I. Vie de Messire Antoine Arnauld, docteur de la maison de société de Sorbone, p. 271, 1783 [7]) ; II. Jacques Collin de Plancy, Grande vie des saints, p. 289, 1872 [8] ; III. Jean-Robert Armogathe, Theologia Cartesiana, p. 8, 2012 [9] - ou par l'évêque de Tours Hildebert de Lavardin († 1133) (I. Antoine de baron Ponnat, Histoire des variations et contradiction de l'Église romaine, tome II, p. 315, 1882 [10] ; II. Martin Jugie, Le mot transsubstantiation chez les Grecs avant 1629, Revue des études byzantines, tome 62, p. 5, 1907 [11]) ; - texte original à retrouver pour ces deux évêques ; - selon Dom Robert Le Gall, l'idée est très ancienne et se trouve dans l'œuvre de Tertullien († vers 220) [12] ; voir aussi Dictionnaire encyclopédique de la théologie catholique, tome XXIV, p. 59, 1865 [13] ; - quoi qu'il en soit, cette idée théologique ne devint le dogme de l'Église qu'en 1215.
Bernard Dompnier, Un aspect de la dévotion eucharistique dans la France du XVIIe siècle, p. 5 - 6 [26]
saintpothin-immaculee.com
Exemple, répertoire des chants en français dans le Carnet-de-Chant de la paroisse Saint-Pothin, p. 155 - 214, y compris Anima christi, Ave verum corpus et Pange lingua (n° 422, Tantum ergo avec la partition) [2]
ucpress.edu
online.ucpress.edu
Thomas Mathiesen, The Office of the New Feast of Corps Christi in the Regimen Animarum at Brigham Young University, p. 1, 1983 (en)[16]