Le continuo ou basse continue laisse aux interprètes le choix de l'instrumentation. Exemples : dans son enregistrement de 1973, Nikolaus Harnoncourt emploie basson, violoncelle, violone et orgue[3]; Peter Schreier (1987) utilise violoncelle, contrebasse, basson, orgue et clavecin[4]; René Jacobs en 1997 choisit violoncelle, contrebasse, luth, basson, orgue et clavecin[5] ; Jos van Veldhoven(en) en 2003 opte pour violoncelle, contrebasse, basson, orgue, clavecin et théorbe[6].