Florence Willaert, « De rouille et d'os Marion Cotillard Marineland », sur Grazia.fr, (consulté le ) : « ...en passant par Orca, chef-d’oeuvre kitsch seventies où un papa orque assiste, la larme à l’oeil, au meurtre de sa petite amie orque par un humain très méchant. C’est émouvant, certes, mais dans la vraie vie, les orques ne pleurent jamais. ».