Les distributions de terres par le monarque en vue d’un repeuplement sont fréquentes à cette époque. Emilio Cabrera estime qu’à la fin du Moyen Âge à peine plus du quart de l’Estrémadure dépend encore directement de la couronne (realengo(es)) car près de la moitié des terres appartient aux ordres militaires de Santiago et d'Alcántara, et près d’un quart est aux mains de seigneuries nobles (comme dans le cas d’Orellana la Vieja).
Selon Antonio Adámez, les positions prises par Pedro Alfonso Altamirano en faveur d'Enrique de Trastámara ont pu pousser Pierre Ier de Castille à supprimer la seigneurie d'Orellana ; les terres seraient alors revenues un temps sous le régime du realengo(es) mais Enrique de Trastámara, une fois devenu roi de Castille, a eu toute latitude pour renouveler ou rétablir la seigneurie.