En 2003 Pride and Prejudice a été élu au Royaume-Uni comme « le roman écrit par une femme le plus aimé »[50] et arrive en deuxième position, derrière The Lord of The Ring (Le Seigneur des anneaux) au Top 21 de « The Big Read », sur BBC 2 (consulté le ).
Jane Austen (trad. Jean-Paul Pichardie), Œuvres romanesques complètes volume 1, Orgueil et préjugé, Gallimard, coll. « Bibliothèque de La Pléiade », , 1111 p. (ISBN978-2-07-011323-1, lire en ligne)
Cependant dans A Jane Austen Encyclopedy paru en 1998, Paul Poplawski, à l'article « First Impressions » n'exclut pas la possibilité que Jane Austen ait déjà retravaillé son manuscrit avant 1811.
Théorie défendue, entre autres, dans « Character and Caricature in Jane Austen » de D.W. Harding in Critical Essays on Jane Austen (Edition B.C. Southam, Londres 1968) et par Brian Southam dans Jane Austen's Literary Manuscripts (2001)
Dans A Jane Austen Encyclopedy, « article : Criticism » (p. 106) Paul Poplawski relève et étudie les principales publications relatives à Jane Austen et ses œuvres jusqu'en 1996.
The British novelists: with an essay, and prefaces, biographical and critical, Volume 42, Partie 3, F. C. and J. Rivington, (lire en ligne), p. 351
En 1989, Stephen Derry se demande, dans (en) « The Two Georgianas » si le nom Pemberley n'est pas une contraction de Beverley (le nom de famille de Cecilia) et de Pemberton, nom qui se trouve dans le roman de Fanny Burney, et qu'elle a aussi pu emprunter à The Sylph (1779), un roman attribué à Georgiana Cavendish, duchesse du Devonshire.
Le soir du bal de Netherfield, Elizabeth ne peut lui faire comprendre combien il est inconvenant d'aller, sans lui avoir été présenté, saluer Monsieur Darcy, remarque John McAleer dans (en) « The Comedy of Social Distinction », et Norman Page dans The Language of Jane Austen (Oxford: Basil Blackwell, 1972) p. 94 souligne ses impropriétés de langage, comme l'emploi abusif du mot « élégant ».
À consulter sur Pemberley.com, « Guide to the Places in the Novel » pour situer tous les lieux réels cités dans le roman. Pour les autres, « seule Jane Austen sait où ils se trouvent, et elle ne l'a pas dit ».
L'aphorisme est non seulement connu, mais souvent parodié (avec plus ou moins de bonheur comme le montre « ce relevé du 6-09-11 »), par exemple, dans le film Le Journal de Bridget Jones : « It is a truth universally acknowledged that when one part of your life starts going okay, another falls spectacularly to pieces » (« C'est une vérité universellement reconnue que lorsqu'une partie de votre vie commence à aller bien, une autre vole en éclats de façon spectaculaire »).