Le des panneaux cellulaires montés sur un vaisseau est plus fort du fait des interférences entre le corps de ce vaisseau et ses panneaux et vice-versa. Bien que ces interférences soient prises en compte par une formule assez simple dans les usages fuséistes (voir(en) James S. BARROWMAN and Judith A. BARROWMAN, THE THEORITICAL PREDICTION OF THE CENTER OF PRESSURE, (lire en ligne) ), il semble plus difficile de les calculer pour les panneaux cellulaires.
Experimental and Analytical Analysis of Grid Fin Configurations, 1988, AIAA-88-0280, R. A. Brooks and J. E. Burkhalter [2]
"Il apparaît, quand la complexité de l'entrecroisement des plans internes s'accroît, que les particules de fluide tendent à être "capturées" et que le corps agit comme un tube qui canalise le flux passant à l'intérieur." Experimental and Analytical Analysis of Grid Fin Configurations, AIAA-88-0280, R. A. Brooks and J. E. Burkhalter [3]
"Il apparaît, quand la complexité de l'entrecroisement des plans internes s'accroît, que les particules de fluide tendent à être "capturées" et que le corps agit comme un tube qui canalise le flux passant à l'intérieur. À cause de cette [canalisation], le décrochage de ce corps est reporté à des angles d'incidence relativement grand, ce qui en fait un dispositif porteur très efficient." Experimental and Analytical Analysis of Grid Fin Configurations, AIAA-88-0280, R. A. Brooks and J. E. Burkhalter [4]