« Quatre organisations trotskystes ont décidé d'opérer un rapprochement en vue d'une éventuelle réunification. Il s'agit de l'Union communiste (Voix ouvrière), du Parti communiste internationaliste (section française de la IVe Internationale), de la Jeunesse communiste révolutionnaire et des Groupes marxistes révolutionnaires. L'Organisation communiste internationaliste et la Fédération des étudiants révolutionnaires, également trotskystes, restent en dehors de ce mouvement », Le Monde, (lire en ligne)
lutte-ouvriere.org
Cercle Léon Trotsky, Les problèmes du Parti Mondial de la Révolution et la reconstruction de la IVème Internationale (brochure), coll. « Exposés du Cercle Léon Trotsky » (no 154), (lire en ligne)
theses.fr
Cécile Denis, Continuités et divergences dans la presse clandestine de résistants allemands et autrichiens en France pendant la Seconde Guerre mondiale : KPD, KPÖ, Revolutionäre Kommunisten et trotskystes, (thèse de doctorat réalisée sous la direction d’Hélène Camarade, soutenue publiquement le 10 décembre 2018 à l’université Bordeaux-Montaigne) (lire en ligne).
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Jeanne Menjoulet, Jean-René Chauvin, Centre d'histoire sociale du XXe siècle, 9 février 2012 : « En 1948, après des mois de dissensions internes, le PCI se désagrège. L’ex-majorité (Yvan Craipeau, dont Chauvin suit la tendance) pense qu’il est nécessaire de s’ouvrir aux autres courants de la gauche révolutionnaire et de construire des alliances. La référence révolutionnaire reste, mais elle n’est plus considérée comme portée par le seul mouvement trotskyste. La même année David Rousset et Jean-Paul Sartre créent le RDR (Rassemblement Démocratique Révolutionnaire). Chauvin est exclu du PCI en mars 1948 en raison de son adhésion au RDR. »