« Terrible accent provençal », in Georges Rivière, Cézanne. Le peintre solitaire, Paris, Floury, 1933, p. 72, lire en ligne sur Gallica ; Paul Cézanne. La peinture couillarde, lettres et propos choisis par Jean-Paul Morel, Paris, Mille et une nuits, 2006 ; Ambroise Vollard note également qu'il jure et prononce « ottres » pour « autres » ou prononce « temmperamment », par exemple ; Émile Bernard dans ses souvenirs (p. 16) note la difficulté à le comprendre, tant son accent « faisant sauter bizarrement les syllabes » et le rend risible.
Henri Rochefort, « L'amour du laid », L'Intransigeant, 9 mars 1903 lire en ligne sur Gallica.
A. Javary, Traité de géométrie descriptive, tome II, Cônes et cylindres, sphères et surfaces du second degré, Delagrave, 1882 lire en ligne sur Gallica.
« En quarante ans de peinture, en cinquante ans de peinture, je sais plus, qu‘est ce qu’il a compris ? Et Lawrence a une formule splendide, il dit : il a compris une pomme et un ou deux vases, et il dit : eh bien, quand on a fait ça, quand on est peintre et qu’on est arrivé à ça en cinquante ans, on peut se dire qu’on est bien heureux », Gilles Deleuze, Spinoza, cours 5 du 13 janvier 1981 http://www2.univ-paris8.fr/deleuze/article.php3?id_article=29.