Mines de Kaiping, sur britannica.com (consulté le 14 février 2010)
das-klassische-china.de
Un excellent portrait de Paul Splingaerd de cette époque dans Portrait de Paul Splingaert consulté 6 mars 2010
goens-pourbaix.be
C'est le nom qui lui avait été donné pour le passeport collectif des missionnaires lors de son entrée en Chine: Lin Fuchen, sur goens-pourbaix.be (consulté le 27 juillet 2011); voir également Spae page 36; le passeport original daté du 23 novembre 1865 est conservé in Archives Kadoc - Katholieke Universiteit Leuven en A II a.2.1.12
On retrouve son nom chinois sur l'inscription de la statue de Lin Fuchen à Suzhou et également sur la pierre tombale de son fils Jean-Baptiste Splingaerd au cimetière chrétien de Chala à Pékin. Ce cimetière fut saccagé à l'époque de la Révolution culturelle et cette tombe (ainsi que celle de Paul Splingaerd) n'existe plus. Voir une photographie sur site privé Tombe de Jean-Baptiste Splingaerd visité le 28 février 2010
Un résumé des compilations de Spae dans les archives des CICM concernant cette affaire est visible sur site privé goens-pourbaix.be consulté le 28 mars 2010
Ces documents chinois et traduits peuvent être vus sur site privé [1] consulté le 3 mars 2010.
Cette relation datait de l’époque où il était commerçant. Le principal témoignage se trouve dans un livret non publié intitulé Chine-Mongolie 1879, extrait des carnets de voyage de Alfred Blondel, jeune ingénieur faisant le tour du monde et qui voyagea trois semaines avec Paul Splingaerd ; voir également Anne Splingaerd Megowan 2008, p. 85. Concernant le livret non publié, il est possible d'en voir une extrait sur site privé goens-pourbaix.be
Il est certain qu’à l’heure actuelle, les historiens chinois en connaissent davantage que les Occidentaux sur ces projets élaborés dans le Gansu par le vice-roi, le gouverneur et les fonctionnaires, dont Lin Fuchen. L’accès à leur documentation est cependant difficile pour un Européen. Voir l’article de He Duan Zhong en version chinoise (avec traduction anglaise) sur site privé goens-pourbaix.be consulté le 24 juillet 2011.
voir le panégyrique de Splingaerd par Monseigneur Otto Josef Spae, CICM, Ph.D. 1986, p. 189 en néerlandais mais aussi Panégyrique de Paul Splingaerd en français sur goens-pourbaix.be (consulté le 2 septembre 2011). La version originale française dactylographiée mais signée se trouve en dépôt in Archives Kadoc - Katholieke Universiteit Leuven en A.IV.b.4.1
Ce terme est tout à fait exagéré si l'on considère les très nombreuses lettres qu'il a écrites en flamand, actuellement conservées au Kadoc à Leuven (consulté le 25 juillet 2011) ainsi que Josef Spae, CICM, Ph.D. 1986, p. 185. Il n’est pas certain que Paul Splingaerd écrivait facilement en français. Voir une lettre de celui-ci vers le Commandant Wittamer datée du 5 février 1905 qui aurait été écrite et traduite par le Père Leo Van Dijck (1878-1951) en français, Paul se contentant de signer. Voir original in Archives Kadoc - Katholieke Universiteit Leuven en DII.f.Zenkel spt...
Robert Hart (1835-1911), un Anglais et Gustav Detring dirigeaient les douanes maritimes chinoises car il faisait partie de la politique de Li Hongzhang d’utiliser des occidentaux pour ses postes importants de douane. La raison était que les occidentaux n’étaient pas corrompus et rapportaient au Trésor trois fois plus de taxes que les fonctionnaires chinois. Il faut voir dans cette attitude du ministre la raison pour laquelle Paul Splingaerd fut nommé officier des douanes sur la Route de la soie à Suzhou.