J. de la Passardière, Topologie des paroisses du Léon, in Revue de Bretagne, p. 61, Lafolye Frères, Vannes, 1811.
ia800205.us.archive.org
Alfred Sommerfelt, Le Breton parlé à Saint-Pol-de-Léon : phonétique et morphologie, Paris, Édouard Champion, (lire en ligne), p. 119-120.
archives-ouvertes.fr
hal-brgm.archives-ouvertes.fr
Eric Marcoux, Alain Cocherie, Gilles Ruffet, Jean-René Darboux, Catherine Guerrot, « Géochronologie revisitée du dôme du Léon (Massif armoricain, France) », Géologie de la France, no 1, , p. 19-20 (lire en ligne).
Coupe du domaine du Léon. D'après (en) Ballève et al., « Palaeozoic history of the Armorican Massif : Model for tectonic evolution of the suture zones », Comptes rendus Geoscience, vol. 341, nos 2-3, , p. 174-201.
free.fr
commune.plozevet.free.fr
Cf. la note rédigée par l'inventeur sur le site en ligne de la commune de Plozevet Fouilles à Plouhinec.
Paul-François Broucke, « L’emblématique de la maison de Léon aux XIIe – XIVe siècles et les prééminences de Daoulas et La Roche-Maurice aux XVe – XVIe siècles », Mémoires de la Société d'histoire et d'archéologie de Bretagne, t. XC, , p. 65-66 (lire en ligne).
On dit : « Var pont Landerneff e vezer ar pen e Leon ac ar reour e Cerneff », c’est-à-dire : « Sur le Pont de Rohan à Landerneau, on a la tête en Léon et le cul en Cornouaille », ou, de façon plus policée, « Paz oun var pont Landerneff meuz eun troad e Leon ac eun all e Cerneff », « quand je suis sur le pont de Rohan, j'ai un pied en Léon et un autre en Cornouaille ». Cf.Un-peu-d-histoire sur le site de Landerneau.