Catherine Virlouvet (dir.) et Claire Sotinel, Rome, la fin d'un empire : De Caracalla à Théodoric 212 apr. J.-C - fin du Ve siècle, Paris, Éditions Belin, coll. « Mondes anciens », , 687 p. (ISBN978-2-7011-6497-7, présentation en ligne), chap. 4 (« La reconstruction d'un empire cohérent (270-306) »), p. 190-192.
Catherine Virlouvet (dir.) et Claire Sotinel, Rome, la fin d'un empire : De Caracalla à Théodoric 212 apr. J.-C - fin du Ve siècle, Paris, Éditions Belin, coll. « Mondes anciens », , 687 p. (ISBN978-2-7011-6497-7, présentation en ligne), chap. 4 (« La reconstruction d'un empire cohérent (270-306) »), p. 190-192.
cairn.info
Dans ces deux états, si la répression est systématisée sur plusieurs confessions chrétiennes, essentiellement protestantes, elle relève d'une attitude vis-à-vis des religions en général dans le cadre d'un durcissement autoritaire qui n'épargne pas l'Islam. cf. Sébastien Peyrouse, Le christianisme en Asie centrale. Miroir des évolutions politiques, in Le Courrier des Pays de l’Est, no 1045, mai 2004, p. 51-61, résumé en ligne
Les historiens et biblistes européens contemporains envisagent la date de 135, correspondant à la révolte de Bar Kokhba, qui coïnciderait avec la Birkhat ha Minim (cf. Étienne Trocmé, L'Enfance du christianisme, éd. Noesis, 1997), tandis que l'école anglo-saxonne considère que le christianisme n'existe que depuis la période des conciles christologiques du IVe siècle (cf. AA. VV., The Ways That Never Parted: Jews and Christians in Late Antiquity and the Early Middle Ages, éd. Fortress Press, 2007). Simon Claude Mimouni évoque plutôt une « distinction », davantage qu'une « séparation », « entre le christianisme et les autres formes de judaïsme » dans un conflit qui a été essentiellement « interjudéen » « du moins jusqu'au IIe siècle, voire jusqu'au IVe siècle dans certains cas » (cf. Simon Claude Mimouni, « Christianisme, judaïsme et rabbinisme », Le Monde de la Bible, no 202, , p. 21). Pour un état de la question en 2012, voir « Juifs et chrétiens, de l'identité à la séparation », Le Monde de la Bible, no 202, (ISSN0006-0712, lire en ligne).
Sylvie Honigman, Les Conditions de diffusion du christianisme dans l'Empire romain, université de Caen, conférence pour l'APHG Basse-Normandie, juillet 1996, résumé en ligne
mediterranees.net
Correspondance de Pline le Jeune et de Trajan sur les chrétiens de Bithynie - Cité dans L'Empire romain et le christianisme, Claude Lepelley, Questions d'histoire/Flammarion page 29 et 90 Pline le Jeune, Lettres, tome X, 97-98
mondedelabible.com
Les historiens et biblistes européens contemporains envisagent la date de 135, correspondant à la révolte de Bar Kokhba, qui coïnciderait avec la Birkhat ha Minim (cf. Étienne Trocmé, L'Enfance du christianisme, éd. Noesis, 1997), tandis que l'école anglo-saxonne considère que le christianisme n'existe que depuis la période des conciles christologiques du IVe siècle (cf. AA. VV., The Ways That Never Parted: Jews and Christians in Late Antiquity and the Early Middle Ages, éd. Fortress Press, 2007). Simon Claude Mimouni évoque plutôt une « distinction », davantage qu'une « séparation », « entre le christianisme et les autres formes de judaïsme » dans un conflit qui a été essentiellement « interjudéen » « du moins jusqu'au IIe siècle, voire jusqu'au IVe siècle dans certains cas » (cf. Simon Claude Mimouni, « Christianisme, judaïsme et rabbinisme », Le Monde de la Bible, no 202, , p. 21). Pour un état de la question en 2012, voir « Juifs et chrétiens, de l'identité à la séparation », Le Monde de la Bible, no 202, (ISSN0006-0712, lire en ligne).