Philippe Dallier (French Wikipedia)

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actu.fr

france-politique.fr

interieur.gouv.fr

legifrance.gouv.fr

leparisien.fr

  • « Philippe Dallier élu 1er vice-président du Sénat », Le Parisien, édition de la Seine-Saint-Denis,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  • Marjorie Corcier, « Municipales : Dallier sans crainte aux Pavillons : Tout devrait se jouer en un seul tour. Le sénateur-maire UMP, réélu en 2008 avec près de 70 % des voix, ne compte pour l'heure qu'un seul opposant PS. A 51 ans, il brigue un quatrième mandat », Le Parisien], édition de Seine-Saint-Denis,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  • Sébastien Thomas, « Seine-Saint-Denis : quel candidat à la présidentielle votre élu a-t-il parrainé ? », leparisien.fr, (consulté le )
  • « 93 : Philippe Dallier élu 1er vice-président du Sénat », Le Parisien, édition Seine-Saint-Denis,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  • Hélène Haus, « Les Pavillons-sous-Bois : Philippe Dallier tire sa révérence : Le maire (LR) doit céder sa place à sa première adjointe, ce samedi, lors d’un conseil municipal exceptionnel pour se consacrer à son poste de premier vice-président du Sénat », Le Parisien, édition de la Seine-Saint-Denis,‎ (lire en ligne, consulté le ) {{Une mairie qu’il peut se vanter d’avoir gagnée à deux reprises au 1er tour en 2014 (82,82 % des voix) et en 2008 (69,77 %). Mais malgré sa popularité, l’élu promet de ne pas chaperonner sa successeure. « Je reste conseiller municipal, mais je ne compte pas m’immiscer dans les dossiers », souligne celui qui tire un bilan positif de son passage à l’hôtel de ville. « Lorsque je suis arrivé en 1995, la dette locale explosait, j’ai réussi à assainir les comptes », détaille l’ancien conseiller général, qui a également créé tout un quartier au nord de la commune d’où émergera le fameux centre commercial}}.
  • Alexandre Arlot, « Seine-Saint-Denis : Philippe Dallier renonce à son mandat de sénateur, Thierry Meignen lui succède : S’il avait anticipé l’échec de la droite aux départementales, il avoue qu’il ne se serait pas porté candidat à ce scrutin. Élu dans son canton, le patron des Républicains du 93 a dû choisir entre ses mandats de parlementaire et de conseiller municipal aux Pavillons-sous-Bois. Il a opté pour sa ville. Le maire du Blanc-Mesnil siégera donc à sa place à Paris », Le Parisien,‎ (lire en ligne, consulté le ) « La loi sur le cumul des mandats obligeait Philippe Dallier (LR) à renoncer à son mandat de sénateur ou à celui de conseiller municipal. Il a choisi de conserver le second, à la surprise de nombre d’observateurs ».
  • S. T., « Les Républicains : Dallier renonce à quitter la présidence de la fédération 93 », Le Parisien, édition de Seine-Saint-Denis,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  • Sébastien Thomas, « Seine-Saint-Denis : les Républicains en quête d’un nouveau souffle : Encore traumatisée par la défaite à la présidentielle, la fédération LR espère retrouver la dynamique des municipales de 2014 », Le Parisien, édition de Seine-Saint-Denis,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Le suspense n’était pas intense puisque Philippe Dallier, sénateur LR, était l’unique candidat à sa succession. Il a donc été logiquement élu ».

lesechos.fr

  • Dominique Malecot, « Philippe Dallier : « Il faut que la métropole du Grand Paris absorbe les départements de la petite couronne », Les Échos,‎ (lire en ligne, consulté le ).

liberation.fr

  • « Les nouveaux maires tout frais sortis des urnes - Pedigree express des élus franciliens qui entrent pour la première fois à l'hôtel de ville », Libération,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Les Pavillons-sous-Bois: le RPR Philippe Dallier a réussi à reprendre au PS cette cité que le rocardien Bernard Portel avait emporté par surprise en 1989 ».

localtis.info

  • Laurent Terrade, « Métropole du Grand Paris : "Nous avons tout à construire" : Patrick Ollier, député-maire (LR) de Rueil-Malmaison a été élu vendredi 22 janvier président de la Métropole du Grand Paris (MGP). Il devient ainsi le premier président de cette nouvelle collectivité née le 1er janvier 2016. Retour sur la mise en place et la gouvernance d'une entité aussi inédite que complexe avec ses douze "territoires" se substituant aux anciens EPCI. », Localtis Info,‎ (lire en ligne).

lopinion.fr

politiquemania.com

zdnet.fr