« Ce que nous savez sûrement pas sur Philippe Martinez, l’homme fort de la CGT : Blocage des raffineries, menaces de blocus sur les centrales nucléaires… depuis quelques semaines, le big-boss de la CGT s’impose comme le principal opposant à François Hollande ! Connaissez-vous le passé de cet ex-technicien de Renault ? Capital avait, il y a peu, levé le voile sur quelques-uns de ces petits secrets. », Capital, (lire en ligne).
challenges.fr
« A peine élu à la tête de la CGT, Philippe Martinez plaide pour les 32 heures », Challenges, (lire en ligne).
À partir de 1945, Léon Jouhaux partage la fonction de secrétaire général avec le communiste Benoît Frachon, à qui il remet sa démission le 19 décembre 1947 : voir Dominique Andolfatto, « Les syndicats en France », Études de la Documentation française, no 5260, , p. 15 (résumé).
humanite.fr
Yves Housson, « Philippe Martinez De Billancourt à Montreuil, parcours d’un métallo », L'Humanité, (lire en ligne).
« Représentativité syndicale (CGT) », L'Humanité, (lire en ligne)
« « Nous n’avons pas à porter le chapeau de tout ce qui se passe dans le pays » : Philippe Martinez dénonce le CGT-bashing », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le )
« Philippe Martinez, candidat à sa propre succession à la tête de la CGT », Le Monde, (lire en ligne, consulté le )
« Pourquoi la CGT empêche la presse de paraître : Le syndicat exigeait que les quotidiens publient un tract. Refus des patrons de presse. En représailles, leurs imprimeries ont été bloquées », Le Point, (lire en ligne).