Georges Poisson, Le comte de Chambord : Henri V, Pygmalion, , 360 p. (ISBN978-2-7564-0324-3, lire en ligne), p. 241-242. L'auteur ajoute que la phrase « prêtée à Chambord : « Croyez, mon cousin que je trouve tout naturel que vous conserviez les opinions politiques de votre famille, dans lesquelles vous avez été élevé ; l’héritier du trône peut avoir ses idées comme le roi a les siennes », n'a certainement jamais été prononcée, d'autant plus qu'Henri se gardait bien de qualifier le comte de Paris d'héritier du trône », et que cette phrase « a peut-être été fabriquée par les Orléans ». Et dans le même ouvrage, Georges Poisson écrit que Chambord « croyait fermement que les aînés de la famille étaient les Bourbons d'Espagne, ce qu'ils étaient effectivement, et n'admettait pas le traité d'Utrecht : la couronne, don de Dieu, est indisponible, elle ne se négocie pas, elle vous échoit par primogéniture, et son titulaire ne peut en disposer à son gré » (p. 244 : lire en ligne).
http://www.lebrelblanco.com/anexos/images/acte_abdicationlouis_philippe_1848.jpg : « J'abdique cette Couronne que la voix nationale m'avait appellée [sic] à porter, en faveur de mon petit fils le Comte de Paris. Puisse t'il [sic] réussir dans la grande tâche qui lui echeoit aujourd hui. — Louis Philippe — 24 Fev.r 1848 »