« (...) il faut dire que, sur le plan visuel, le bonhomme sait y faire. Un joli noir et blanc qui fait penser à l'expressionnisme des années 20, un univers glauque et oppressant qui semble directement inspiré de Lynch (j'ai beaucoup pensé à une version simpliste de Eraserhead en voyant ce film). des mouvements de caméra qui cherchent à représenter la folie du personnage, à nous faire rentrer dans son univers mental. Tout cela est fort réussi, et c'est là que le film est le meilleur : dans son ambiance, son atmosphère de folie obsédante. »[2]
« Il rejoint l'univers dérangeant d'Eraserhead. Je n'ai jamais vu un film où la douleur a été tournée de manière aussi réaliste, oppressante, angoissante à l'idée qu'elle revienne... »[3]