Camille Case, L'atéchisme, BoD - Books on Demand France, , 192 p. (ISBN978-2-8106-1153-9, lire en ligne), « L'athéisme, une histoire de la libre pensée », p. 23).
Jean-Marc Colletta et Anna Tcherkassof, Les émotions : cognition, langage et développement, vol. 247, Editions Mardaga, coll. « Psychologie et sciences humaines », , 288 p. (ISBN978-2-87009-823-3, lire en ligne), p. 138.
Martin Leprince, Fini de rigoler : peut-on encore se marrer quand on est de Gauche?, Paris, Jacob-Duvernet, , 263 p. (ISBN978-2-84724-273-7, lire en ligne).
« J'étais déjà misanthrope avant de vivre dans une chambrée, mais quand on vit vingt-huit mois au milieu de gens qui font des concours de pets... Ma haine du groupe s'est confirmée là. »Extrait de article des Inrocks de 1995 qui reprend une interview de 1986.
« J'ai écrit une biographie de Dalida qui racontait qu'elle avait connu Peyrac dans les chiottes de l'hôpital Cochin. Son frère me courait après dans les couloirs de l'Olympia avec un couteau, Coquatrix faisait un rempart de son ventre.. » - Extrait de l'article des Inrocks de 1995 reprenant une interview de 1986.
« C'est un modèle d'humanité, Brassens. Quelqu'un qui est arrivé au sommet dans ce métier si tant est qu'il y ait un sommet. […] Brassens est arrivé très haut sans jamais se compromettre, il ne s'est jamais abaissé vers le public ». - Extrait de l'article des Inrocks de 1995 reprenant une interview de 1986.
« (Interviewer) — Dans ton spectacle, un de tes sketches commence par "On me dit que des Juifs se sont glissés dans la salle." C'est sur le fil du rasoir. (Desproges) — J'adore ça, c'est le meilleur moment pour moi, arriver en scène et dire cette phrase. Les antisémites n'osent pas rire dans ce sketch, et les Juifs se croient obligés de rire (rires) » - Extrait de l’interview de Desproges de 1986, reprise en 1995.
« Toutes les formes de fascisme m'ennuient, me font peur surtout. Les gens qui croient, qui sont derrière un drapeau. » - Extrait de l’interview de Desproges de 1986, reprise en 1995.
« J'ai l'impression que, quand les individus se multiplient, les intelligences se divisent. C'est pour ça que je ne participe pas à une manif, que je ne signe pas une pétition. Même si on manifestait pour la survie de mes enfants, je n'irais pas. Le dessinateur belge Philippe Geluck a une très belle phrase, que je devrais mettre sur mon mur : “Quand quelqu'un partage mon opinion, j'ai l'impression de ne plus avoir qu'une demi-opinion.” C'est ce que je ressens, à tort ou à raison. » - Extrait de l’interview de Desproges de 1986, reprise en 1995.
« Les femmes et le bordeaux, je crois que ce sont les deux seules raisons de survivre. » - Extrait de l’interview de Desproges en 1986 reprise en 1995.
Florence Leca Mercier et Anne-Marie Paillet, « L'ADN desprogien : filiations littéraires et panthéon personnel », Revue des Deux Mondes, no 7, , p. 26-34 (lire en ligne [PDF], consulté le ).