Pierre Péan, franc-tireur, le 18 juin 2003, dans Jeune Afrique[1]
Pétrole, la troisième guerre mondiale, par Pierre Péan aux éditions Calmann-Lévy sur les conseils de François-Henri de Virieu, qui se vendra à 15 000 exemplaires [2].
Voir notamment, par une universitaire plutôt distante du courant qui critique l'action de la France : Claudine Vidal, « Un livre important et contestable », le Monde, 8 décembre 2005 : « Le livre de Pierre Péan sur le Rwanda fourmille d'erreurs, d'approximations. Pour n'en citer qu'une : affirmer que la mission d'information parlementaire française a « oublié » de s'intéresser à l'attentat du 6 avril 1994 perpétré contre l'avion du président rwandais, c'est révéler qu'il n'a pas lu le rapport de la mission dont un chapitre est précisément consacré à une enquête minutieuse sur l'attentat. Il s'inscrit sans nuance dans une vision ethniciste très largement partagée : la certitude qui fait nécessairement dépendre les conflits politiques africains des identités communautaires, ethniques, voire raciales. ».
« Nécrologie Décédé jeudi soir, Pierre Péan avait ses attaches près de Nantes », Presse Océan, (lire en ligne)
reforme.net
Non à la désinformation Jacques Maury, « Non, Pierre Péan, pas cela ! » – Marcel Manoël, « Rien dans les archives de l'Église réformée », Réforme, no 3156, 22 décembre 2005.
rfi.fr
rfi.fr
« France: Pierre Péan condamné pour diffamation contre Ali Bongo - RFI », RFI Afrique, (lire en ligne, consulté le ).
« Il y a 40 ans: le scandale des avions renifleurs et le décor du Château de Rivieren à Ganshoren » par Karim Fadoul, sur le site de la RTBF le mercredi 2 mars 2016 [3].