Voir par exemple lettre de Montmort à Leibniz, 10 fév. 1714 (sur Wikisource) et ici la Lettre de Leibniz à Montmort du . À ne pas confondre avec la correspondance Leibniz-Rémond, son frère Nicolas François Rémond de Montmort, chef des Conseils du duc d'Orléans, qui commence le 2 juin 1713 par la célèbre adresse « après avoir quitté tous les livres pour m’attacher uniquement à Platon, je me trouve étonné de quitter encore Platon pour un moderne » (sur Wikisource).
Jacques Sesiano, Euler et le parcours du cavalier: Avec une annexe sur le théorème des polyèdes, Presses polytechniques et universitaires romandes, Lausanne, 2015, p. 168-171 (ISBN978-2-88074-857-9) (lire en ligne)
numdam.org
archive.numdam.org
R.Huron, « Un probabiliste disciple de Malebranche : Rémond de Montmort (1678-1719) », Annales de la faculté des sciences de Toulouse, vol. 5e série, tome S2, , p. 1-31 (lire en ligne)
wikisource.org
fr.wikisource.org
Voir par exemple lettre de Montmort à Leibniz, 10 fév. 1714 (sur Wikisource) et ici la Lettre de Leibniz à Montmort du . À ne pas confondre avec la correspondance Leibniz-Rémond, son frère Nicolas François Rémond de Montmort, chef des Conseils du duc d'Orléans, qui commence le 2 juin 1713 par la célèbre adresse « après avoir quitté tous les livres pour m’attacher uniquement à Platon, je me trouve étonné de quitter encore Platon pour un moderne » (sur Wikisource).