Maxime Massey, Sylvain Bureau et Philippe Naccache, « Comment les organisations pirates construisent-elles leur légitimité ? », Revue française de gestion, no 312, (lire en ligne)
Droit pénal français, « code pénal français sur la piraterie : article 224-6 », (consulté le ).
Le fait de s'emparer ou de prendre le contrôle par violence ou menace de violence d'un aéronef, d'un navire ou de tout autre moyen de transport à bord desquels des personnes ont pris place, ainsi que d'une plate-forme fixe située sur le plateau continental.
lemonde.fr
Le Monde avec AFP, « Hausse de 50 % de la piraterie dans le golfe de Guinée en 2019 », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le )
Francesca Fattori, Riccardo Pravettoni et Eric Dedier, « Le golfe de Guinée, mer de tous les dangers et royaume de la piraterie mondiale », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le )
[PDF](en) Peter T. Leeson (George Mason University), « An-arrgh-chy: The Law and Economics of Pirate Organization », Journal of Political Economy, vol. 115, no 6, , p. 1065 (lire en ligne).
pirates-corsaires.com
« "Cul rouge", "rat de cale", "marin d'eau douce" (marin médiocre et inexpérimenté), "écrevisse de rempart", bois d'ébène (esclave noir), bois-sans-soif (ivrogne), capon (lâche), gibier de potence (qui mérite d'être pendu), forban (bandit), morbleu ! Parsambleu ! ». Cf « Quels gros-mots / jurons employaient les pirates ? », sur pirates-corsaires.com,
« Non seulement les pirates préféraient dépenser tout de suite leur butin en alcool et en femmes mais, de surcroit, enfouir un trésor dans le sable était une manœuvre risquée à cause des marées ». Cf Alice Kriescher, « La véritable histoire des pirates », sur telepro.be, .