Gustave-Armand-Henri de Reiset et Madame Éloffe, Modes et usages au temps de Marie-Antoinette : Livre-journal de Mme Éloffe, marchande de modes, couturière lingère ordinaire de la Reine et des dames de sa cour, Paris, Firmin-Didot, (lire en ligne), p. 174, 191, &c.
Adolphe Kopp, « Naphtaline (couleurs de) », dans Ad. Wurtz, Supplément au Dictionnaire de chimie pure et appliquée, 1892-1908 (lire en ligne), p. 1049 ; Colour Index PR9, PR17 « Poppy Red ».
Johann Rudolf von Wagner (trad. Léopold Gautier), Nouveau traité de chimie industrielle, Paris, (lire en ligne), p. 583.
Michel-Eugène Chevreul, « Moyen de nommer et de définir les couleurs », Mémoires de l'Académie des sciences de l'Institut de France, t. 33, , p. 120 (lire en ligne) 1 rouge touche à la raie C à 656 nm, on peut évaluer sa longueur d'onde dominante à 653,3 nm ; la pureté colorimétrique maximale qui peut se convertir en couleur sRGB est 58 %, le ton 10 correspond à une clarté moyenne, aussi la couleur est-elle calculée pour une clarté CIE Lab de 50 %. Voir aussi Furetière 1701, p. s.n. « Rouge ».