« C’est dans ce contexte que la CGT a gardé le monopole de l’embauche des ouvriers de la presse quotidienne, des clavistes aux camionneurs, dans un secteur où les progrès techniques de mise en page et d’impression ont divisé les besoins réels d’effectifs par cinq. Comme les dockers CGT de Marseille qui ont tué leur port, ils travaillent peu, gagnent beaucoup et embauchent leurs neveux. C’est un système péri-institutionnel qui régente, en toute légalité, un secteur économique à l’unique profit de ses membres. »Ne m’appelez plus jamais NMPP, Pierre-Louis Rozynès, lenouveleconomiste.fr, 4 octobre 2012