Thomas Bohl. Grande galerie (revue). n° 55, Été 2021 : « Revoir le salon carré - Les Primitifs italiens ». Aussi : Corentin Dury, La redécouverte des Primitifs italiens entre fin XVIIIe et XIXe siècles. Société des amis du Musée des Beaux-Arts de Bordeaux. 2023. [8].
BNF Médailles et antiques : Intaille, "Apollon et Marsyas" [11]
cairn.info
shs.cairn.info
Comme le bienheureux saint François priait devant le Crucifix, une voix lui vint de la croix qui, par trois fois, lui dit, faisant allusion à l'église de Rome : "François va, sauve ma maison qui toute se détruit". L'édifice représente la chapelle San Damiano (Saint Damien) près d'Assise, comme si elle était en ruine : Jacques Le Goff, « Chapitre II. À la recherche du vrai saint François », dans Jacques Le Goff, Saint François d'Assise, Gallimard, (SUDOC04787273X, lire en ligne), p. 38 à 119.
André Chastel, « Simone Martini perdu et retrouvé », Le Monde, (lire en ligne, consulté le ).
louvre.fr
collections.louvre.fr
La Pala Barbadori, au Louvre, est indiquée sur le site des Collections comme une « huile (?) sur bois (peuplier) » [1]. Quant à la « Madonne de la Mer », de la Galleria dell'Accademia de Florence, bien qu'elle apparaisse dans Renaissance Florence, the Age of Lorenzo de Medici ( 1993, (SUDOC011757396)) comme peinture non datée, à l'huile, n'apparaît plus ainsi sur le site de la Web Gallery of Art, WGA, mais comme tempera sur bois daté 1477 [2].
« Le peintre est l'un des premiers à avoir décomposé en un polyèdre à facettes régulières l'armature servant de couvre-chef masculin florentin. Le mazzochio devient au XVe siècle un objet autonome, digne de prendre place parmi les instruments scientifiques, les curiosités et les ouvrages savants les plus raffinés, figurés en trompe-l'œil dans les marquetteries décorant studioli ou sacristies. » : « Paolo Uccelleo : mazzocchio vu en perspective », sur Louvre, collections du département des arts graphiques, (consulté le ).
Apollonio di Giovanni : voir aussi son « Triomphe de l'Amour », à la National Gallery : [4].
openedition.org
journals.openedition.org
Damien Boquet, « Écrire et représenter la dénudation de François d’Assise au XIIIe siècle », Rives Nord Méditerranée, vol. 30 « Le corps dénudé », , p. 39-63 (lire en ligne, consulté le ). Saint Bonaventure, Legenda Major : « C’est ainsi que le serviteur du Grand Roi fut laissé nu (nudum) pour marcher à la suite de son seigneur attaché nu à la croix (nudum crucifixum dominum) ».
books.openedition.org
Jacques Paul, « Une vue de Rome par Cimabue », dans Jacques Paul, Du monde et des hommes : Essais sur la perception médiévale, Presses Universitaires de Provence, 2003 (électronique: 2017) (ISBN2-85399-523-2, SUDOC072484098, lire en ligne), p. 45-63
pourunatlasdesfigures.net
Georges Didi-Huberman a développé ce concept de « dissemblance » en particulier à propos de son étude des peintures de Fra Angelico, dans Fra Angelico : Dissemblance et figuration, en 1990. Sur les termes que ces auteurs emploient, « figura », « dissemblance », on peut lire : Bouvier Mathieu, « Un geste figural. Fra Angelico, La Madone des ombres » [7], in www.pourunatlasdesfigures.net, dir. Mathieu Bouvier, La Manufacture, Lausanne (He.so) 2018, consulté en ligne le 14/12/2024.
provincedesienne.com
Un cuspide désigne le panneau en forme de gâbles dans un polyptyque. (Stephane Mendelssohn, « Cuspide », sur Guide artistique de la Province de Sienne, (consulté le ).)
Une copie romaine de l'original hellénistique représentant les trois Grâces - ou les Charites (sing. Charis) - du IIe siècle avant l'ère commune, appartenait à Francesco Todeschini, archevêque de Sienne et cardinal en 1460, puis pape Pie III. Il la fit placer dans la bibliothèque de la cathédrale qui conservait la précieuse collection de manuscrits du pape Pie II, pape dont il était le neveu. (Stephane Mendelssohn, « Copia romana da originale ellenistico del III secolo, « Tre Grazie » », sur Province de Sienne, (consulté le ). L'original des Trois Grâces aurait été réalisé « par un sculpteur hellénistique au goût éclectique comme le fameux Pasitélès ». Elle offrent des variantes de l'Aphrodite de Cnide, mais avec un allongement des corps disposés sur un plan qui joue avec la conception du corps en deux faces. (Marc Bormand, Beatrice Paolozzi Strozzi et Francesca Tasso, dir., Le corps et l'âme : de Donatello à Michel-Ange : sculptures italiennes de la Renaissance [exposition], Louvre éditions et Officina libraria, (ISBN978-2-35031-697-0, SUDOC250229188), p. 146).
Page "Sir Joseph Arthur Crowe" / Royal Academy of Arts : [17].
sudoc.fr
La Pala Barbadori, au Louvre, est indiquée sur le site des Collections comme une « huile (?) sur bois (peuplier) » [1]. Quant à la « Madonne de la Mer », de la Galleria dell'Accademia de Florence, bien qu'elle apparaisse dans Renaissance Florence, the Age of Lorenzo de Medici ( 1993, (SUDOC011757396)) comme peinture non datée, à l'huile, n'apparaît plus ainsi sur le site de la Web Gallery of Art, WGA, mais comme tempera sur bois daté 1477 [2].
À propos de l'image (en tant que représentation spirituelle) et de l'icône (en tant que représentation visible) dans la culture catholique d'après le deuxième concile de Nicée, contre les iconoclastes : Nicéphore (Antirrhétiques : traduction du grec, présentation et notes par Marie-José Mondzain-Baudinet), Discours contre les iconoclastes, Éditions Klincksieck, (ISBN2-252-02669-3, SUDOC001528947), p. 24 : in « Présentation » : « L'image, en tant qu'image naturelle c'est le Fils en tant qu'il est image du Père. C'est le seul et unique cas où image et modèle sont non seulement identiques mais consubstanciels, puisque le Père et le Fils sont un seul et même Dieu. [...] (Concernant) l'icône, c'est-à-dire l'image artificielle [...] il n'y a pas d'hétérogénéité entre l'icône et la divinité qu'elle rend visible, mais ce qu'elle rend visible n'est pas tout l'invisible de la divinité, seulement la filiation incarnationnelle. La filiation est elle-même relation de toute éternité et l'incarnation de cette relation filiale ouvre à l'image qu'est le Fils de Dieu, son destin icônique. (Concernant la relation icône/image) : L'invisibilté de l'image est à la source de la visibilité de l'icône. La relation est donc établie par le regard, c'est-à-dire la nature spirituelle de la vision du contemplateur ».
Une copie romaine de l'original hellénistique représentant les trois Grâces - ou les Charites (sing. Charis) - du IIe siècle avant l'ère commune, appartenait à Francesco Todeschini, archevêque de Sienne et cardinal en 1460, puis pape Pie III. Il la fit placer dans la bibliothèque de la cathédrale qui conservait la précieuse collection de manuscrits du pape Pie II, pape dont il était le neveu. (Stephane Mendelssohn, « Copia romana da originale ellenistico del III secolo, « Tre Grazie » », sur Province de Sienne, (consulté le ). L'original des Trois Grâces aurait été réalisé « par un sculpteur hellénistique au goût éclectique comme le fameux Pasitélès ». Elle offrent des variantes de l'Aphrodite de Cnide, mais avec un allongement des corps disposés sur un plan qui joue avec la conception du corps en deux faces. (Marc Bormand, Beatrice Paolozzi Strozzi et Francesca Tasso, dir., Le corps et l'âme : de Donatello à Michel-Ange : sculptures italiennes de la Renaissance [exposition], Louvre éditions et Officina libraria, (ISBN978-2-35031-697-0, SUDOC250229188), p. 146).
Comme le bienheureux saint François priait devant le Crucifix, une voix lui vint de la croix qui, par trois fois, lui dit, faisant allusion à l'église de Rome : "François va, sauve ma maison qui toute se détruit". L'édifice représente la chapelle San Damiano (Saint Damien) près d'Assise, comme si elle était en ruine : Jacques Le Goff, « Chapitre II. À la recherche du vrai saint François », dans Jacques Le Goff, Saint François d'Assise, Gallimard, (SUDOC04787273X, lire en ligne), p. 38 à 119.
Lizzie Boubli, L'atelier du dessin italien à la Renaissance : variante et variation, CNRS ed., (ISBN2-271-06112-1, SUDOC072328843).
Daniel Arasse (Recueil de textes), Désir sacré et profane ; le corps dans la peinture de la Renaissance italienne, Le Regard, (SUDOC188668268).
Guillaume Cassegrain, Représenter la vision : Figurations des aparitions miraculeuses dans la peinture italienne de la Renaissance, Actes Sud, , 300 p., 23 cm (ISBN978-2-330-08167-6, SUDOC204339103), p. 30, numérique : (SUDOC244327793)
Luciano Bellosi (Traduit de l'édition italienne de 1998), Cimabue, Actes Sud/Motta, (ISBN2-7427-1925-3, SUDOC010921974), p. 170-176.
Jacques Paul, « Une vue de Rome par Cimabue », dans Jacques Paul, Du monde et des hommes : Essais sur la perception médiévale, Presses Universitaires de Provence, 2003 (électronique: 2017) (ISBN2-85399-523-2, SUDOC072484098, lire en ligne), p. 45-63
Roger Osborne, Civilization: A New History of the Western World, Jonathan Cape, (ISBN0-224-06241-7, SUDOC112743803), p. 183.
La Pala Barbadori, au Louvre, est indiquée sur le site des Collections comme une « huile (?) sur bois (peuplier) » [1]. Quant à la « Madonne de la Mer », de la Galleria dell'Accademia de Florence, bien qu'elle apparaisse dans Renaissance Florence, the Age of Lorenzo de Medici ( 1993, (SUDOC011757396)) comme peinture non datée, à l'huile, n'apparaît plus ainsi sur le site de la Web Gallery of Art, WGA, mais comme tempera sur bois daté 1477 [2].