Sabourin Pierre, « Catherine Reverzy. Une femme d'aventure s'en est allée », Le Coq-héron 3/ 2008 (no 194), p. 114-119 : « il y a aussi des jeunes femmes non encore connues, comme la fille de son mari, devenue sa propre fille, Priscilla Telmon, âgée alors de 23 ans [...] En 1998, Michel Morcrette et Catherine s’étaient mariés dans leur belle maison de Pinson, à deux pas de Malesherbes ».
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Catherine Reverzy, Femmes d'aventure : du rêve à la réalisation de soi, Éditions Odile Jacob, 2001, chap. 3 (p. 37-42) : Priscilla Telmon. De l'ascension des monuments de Paris aux steppes d'Asie centrale, en part. p. 37 : « Les clientes attentives aux vitrines des pharmacies auront repéré son visage sur une publicité qui montre l'efficacité d'une crème de beauté : être mannequin lui avait permis, l'année du bac, de trouver son autonomie. »
Catherine Reverzy, De l'ascension des monuments de Paris aux steppes de l'Asie centrale, Éditions Odile Jacob, 2001, (ISBN2738110142), p. 37-41 : Femmes d’aventure : Du rêve à la réalisation de soi, en part. p. 37 : « Les lecteurs de magazine auront vu des photographies de Priscilla Telmon, vingt ans, en mariée romantique escaladant la tour Eiffel ou en Cat woman sur le Dôme du Sacré-Cœur, ou encore assise à Califourchon sur une gargouille de Notre-Dame aux côtés d'Alain Robert, l'« homme araignée », grimpeur de l'extrême. »
Catherine Reverzy, De l'ascension des monuments de Paris aux steppes de l'Asie centrale, Éditions Odile Jacob, 2001, (ISBN2738110142), p. 37-41 : Femmes d’aventure : Du rêve à la réalisation de soi, en part. p. 38 : « En quelques années, elle est passée des castings fastidieux aux études de psychomotricité, du travail de reporter à des cours d'ethnomédecine, en relation avec ses projets. Elle se cherche et sillonne la planète de missions humanitaires en voyages aventureux. Elle écrit, photographie le monde ou utilise l'aquarelle. »
Jean-Louis Tremblais, « Le drapeau noir flotte sur les JO », Le Figaro, 14 avril 2008 : « La nuit du 6 au 7 avril, à quatre (dont Robert Ménard et la réalisatrice Priscilla Telmon), nous avons atteint la charpente de la nef (qu'on appelle la forêt). Trois d'entre nous se sont installés et ont attendu 16 h 30 le lendemain. C'est là que Robert Ménard a déployé une banderole RSF (avec les menottes en guise d'anneaux olympiques) de 8 × 8 mètres, plus un drapeau tibétain. Juste au-dessus de la rosace ! ».
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Martine Silber, « 17.50 France 3 Voyage au Tibet interdit », Le Monde, (lire en ligne, consulté le )