Propositions françaises de loi visant à pénaliser les clients de la prostitution (French Wikipedia)

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20minutes.fr

abolition2012.fr

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  • Site du gouvernement français : fiches par pays, le statut de la prostitution tant masculine que féminine se trouve dans la section Compléments : diplomatie

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  • « "Arrêtons la désinformation, la loi prostitution ne met pas les personnes prostituées en danger de mort" », Le Huffington Post,‎ (lire en ligne)

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  • « Meurtre d’une prostituée trans à Paris : les limites de la pénalisation des clients », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne)

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lindependant.fr

  • Le journal L'Indépendant raconte ainsi dans son article : "... Une affaire d'ampleur exceptionnelle liée à l'exploitation de prostituées, vient d'éclater au Dallas, une maison close située à la frontière sur la route nationale entre la Jonquera et Figueres, à quelques dizaines de kilomètres de Perpignan, selon les informations révélées hier par l'agencia catalana de noticias (ACN). 19 personnes interpellées. La police espagnole vient en effet d'interpeller 19 personnes dont les membres et chefs présumés de deux réseaux qui exploitaient sexuellement de jeunes mineures, de nationalité roumaine. Selon les premiers éléments, elles étaient recrutées avec une fausse promesse de travail, leur faisant miroiter que, dès leurs 18 ans, elles prendraient soin de personnes âgées, effectueraient du baby-sitting ou travailleraient pour les services de l'État. Mais à leur arrivée, les suspects les auraient obligé à se prostituer au sein du 'Dallas' et à endurer, sous un régime de semi-esclavage, des journées de 'travail' allant de 12 à 14 h, sous la menace de coups ou de viols. Pas moins de 215 victimes ont été identifiées, qui auraient été contraintes de vendre leur corps dans cette maison close, générant un chiffre d'affaires d'environ 60 000  par jour. L'enquête, débutée il y a un an environ, a permis de mettre au jour deux organisations. La première, une structure pyramidale, était constituée d'habitants de la ville de Braila dont sont originaires la majorité des filles. Les investigations ont montré que la tête du réseau avait pris de nombreuses précautions comme changer d'adresse, de voiture, de portable et se faire accompagner d'un garde du corps. Il se vantait de dépenser jusqu'à 14 000 € en une nuit.Placées sous haute surveillance. Le deuxième réseau était chargé de régenter la maison close d'Agullana, propriété d'un couple domicilié à Valence, d'où il contrôlait en temps réel ce qui se passait dans leur entreprise grâce à un système de vidéosurveillance. Les filles devaient déposer leurs empreintes digitales au début de chaque journée et avant chaque passe. Les données étaient envoyées à un ordinateur central installé dans le club, et permettant de les pister à des centaines de kilomètres à la ronde. Comme cela se pratique ailleurs, les gérants exigeaient que les filles leur versent 70 euros par jour pour le logement et son entretien et ils facilitaient l'accès aux éponges sexuelles pour leur permettre de se prostituer pendant leurs règles et de ne pas être pénalisées. En outre, elles devaient s'acquitter de 5 euros pour l'électricité, 2 pour chaque rouleau de papier toilette, 7 pour le savon et devaient participer à l'achat des préservatifs, lubrifiants, lessive, nourriture, eau, boissons et tabac. Enfin, elles étaient obligées de faire, à leurs frais, un test sanguin chaque mois... " L'indépendant, le 21 février, par Laure Moysset avec l’ACN.

minbuza.nl

npa2009.org

ohchr.org

www2.ohchr.org

pageliberale.org

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strass-syndicat.org

tf1.fr

lci.tf1.fr

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treaties.un.org

vie-publique.fr

web.archive.org

web.ca

action.web.ca

wikiwix.com

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yahoo.com

fr.news.yahoo.com

  • L'ancienne chef d'entreprise est contactée après la faillite de sa société, "pour servir du champagne" à de petits patrons, "dans des bars". "En fatigue psychologique, sans ressource, sans logement", elle accepte.Mais à son insu, elle est "droguée, violée par trois hommes, et filmée". "C'est comme ça que tout a commencé. On m'a montré la vidéo, on m'a menacée." Les deux premiers mois, elle travaille 24 heures sur 24, "séquestrée" comme une "esclave", et se sent "salie" et "honteuse". "Dans la plupart des bars à champagne et maisons closes, on est enfermé", raconte celle qui travaillait pour un "compère de Dodo". "C'est de l'esclavagisme moderne. Pour sortir ou avoir un week-end, on demande l'autorisation. Elle peut être refusée si un client s'est plaint." Les femmes --entre 12 et 16 par établissement, en majorité françaises-- sont souvent en situation précaire. "C'est compliqué d'appeler la famille, c'est honteux, impossible de crier au secours. On s'enferme." - 'Toujours surveillé' - Bien que les maisons closes soient légales en Belgique, elle n'est pas déclarée. Très vite, "il n'y a plus de comptes bancaires, et les papiers disparaissent": "on les donne au tenancier et puis bizarrement, il y a un vol, et on n'a plus de papier d'identité". Les portables sont confisqués. Et même si on les récupère, "tout est filmé", "on est toujours surveillé". Article Yahoo, sur un témoignage d'une ancienne prostituée dans une maison en Belgique