"Chronique des actes du Saint-Siège", Revue apologétique, 30e année, tome 59, 1934, p. 470, note 1, document en ligne (consulté le 30 août 2010)
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Prosper Alfaric, De la Foi à la Raison, éd. Union rationaliste, 1955, p. 235, cité par Albert Marty, L'Action française racontée par elle-même, éd. Nouvelles éditions latines, 1968, p. 448, extrait en ligne.
« Nous ne sommes plus au temps où B. Bauer (1840), ou P. L. Couchoud (1937) s'ingéniaient à nier que Jésus eut existé : le sens de ses faits et gestes, non son existence fait aujourd'hui débat » » introduction de Daniel Marguerat à Jésus de Nazareth: nouvelles approches d'une énigme (Daniel Marguerat, Michel Bouttier, Enrico Norelli, Jean-Michel Poffet), Labor et Fides, 1998, p. 13 [1]. Selon Pierre Geoltrain, fondateur de la chaire des origines du christianisme à la Section des sciences religieuses de l'École pratique des hautes études : « quant aux thèses des mythologues qui, devant les difficultés rencontrées par l'historien, ont pensé les résoudre toutes en expliquant les Évangiles comme un mythe solaire ou un drame sacré purement symbolique, elle ne résiste pas à l'analyse. L'étude des Évangiles permet de dire, non seulement que Jésus a existé, mais encore bien plus. » (Pierre Geoltrain, Encyclopædia Universalis, art. Jésus, éditions de 1965 à 2002.)
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Claude Lorentz, Les fonds anciens de l’université Marc-Bloch de Strasbourg : historique, essai d’évaluation et situation générale, Mémoire d'étude pour l'École nationale supérieure des sciences de l’information et des bibliothèques, 2000 document en ligne.
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Comme le reconnaît le mythiste Earl Doherty : « Le problème est que, à l'exception de Robert M. Price, […] personne dans le milieu académique n'a mis sérieusement en question l'existence de Jésus[…]. Cela montre que la communauté des "extérieurs", centrée sur l'Internet et les ouvrages à compte d'auteur est toujours en avance sur l'établissement académique et universitaire en matière d'innovation et de courage » (The « problem is, with the exception of Robert M. Price, […], no one inside mainstream academia has been seriously questioning Jesus’ existence, […]. It shows that the ‘outsider’ community, centered on the Internet and privately produced books, is still miles ahead of established, university-based academia in its innovation and courage. » [2] -
Alexander Roper Vidler in A Variety of Catholic Modernists, éd Cambridge University Press, 1970, cité par Antoine Guillaumont citant, Chroniques in Revue de l'histoire des religions, tome 186 no 2, 1974, p. 232, extrait en ligne
Il convient de distinguer ce cercle de la Société Ernest Renan, fondée en 1919 par Paul Alphandéry pour enseigner l'histoire des religions (on a parlé par la suite de fait religieux dans l’enseignement scolaire) et vulgariser l'histoire du christianisme, et du comité de laquelle Alfaric sera membre. Cf. Bulletin de la société Ernest Renan, Revue de l'histoire des religions, t. 143, no 1, 1953, Bulletin.
« Cette dernière interprétation était celle de Proudhon et de sa théorie de la Messianose exposée dans un ouvrage au titre proche de celui-ci et récemment réédité. » « À cette mythisation d'un personnage historique, P. ALfaric finit par préférer l'historicisation d'un personnage mythique (p. 363-4), en faisant appel à quelque chose d'ailleurs d'équivalent à la messianose proudhonienne » archive de sciences sociales des religions, 1959, volume 8.