(en) Stella Nyanzi and Ousman Bah, « Rice, Rams and Remittances: Bumsters and Female Tourists in The Gambia », dans Felicity Thomas, Mary Haour-Knipe, Peter Aggleton, Mobility, Sexuality and AIDS, Routledge, , 240 p. (ISBN978-1-13524-810-9, lire en ligne), p. 109 ou ici.
beaumonde.net
Sánchez Taylor, J.1997.‘Marking the Margins:Research in the Informal Economy in Cuba and the Dominican Republic’.Discussion Papers in Sociology, No.S97/1. [1]
Christine Salomon, « Antiquaires et "businessmen" de la Petite Côte du Sénégal. Le commerce des illusions amoureuses (Antique Dealers and Businessmen from Petite Côte in Senegal: The Trade in Amorous Illusions) », Cahiers d'études africaines, vol. 49, nos 193-194, , p. 147-173 (ISBN978-2-71322-207-8, lire en ligne)
doi.org
dx.doi.org
Dunne, Bruce, « Power and Sexuality in the Middle East », (journal) Middle East Report, édition 206, page 8, (DOI10.2307/3012472, consulté le ). « Les prostitués pouvaient accepter la pénétration pour gagner de l'argent plutôt que par plaisir ; les gamins n'étant pas encore des adultes pouvaient être pénétrés sans perdre leur appartenance à la lignée d'homme potentiel ; un adulte prenant du plaisir dans une activité sexuelle inférieure et/ou en se soumettant à la pénétration, était réputé inexplicable, et pouvait exclusivement être du domaine de la pathologie. Avoir des relations sexuelles avec des gamins ou des prostitués était peu toléré mais n'altéraient en rien leur position d'homme et/ou ne menaçaient pas les valeurs sociales importantes comme la virginité ou l'honneur familial »
enmp.org
voir, par exemple, European Network Male Prostitution ACTIVITY REPORT november 2003 (fichier pdf), "Practical experiences of Men in Prostitution" (Suède, Danemark, Stockholm), p. 23–26: « Tous [les] hommes interrogés [au Danemark] sont informés de la perception négative de la prostitution auprès de la société et font leur possible pour dissimuler. Le résultat est qu'ils ont une double vie et s'éloignent de plus en plus de leurs entourage et de la société en général. Leur isolement et leur souffrance de ne pouvoir partager avec autrui les expériences d'une prostitution sont profonds. Certains décrivent/décrivaient comment leur(s) client(s) sont/étaient leur principal voire unique relation avec la société, et considèrent leurs relations comme une de l'amitié ou le client comme l'image du père »
erudit.org
Joseph Lévy, Stéphanie Laporte, Mansour El Feki, « Tourisme et sexualité en Tunisie », Anthropologie et sociétés, vol. 25, no 2, , p. 143-150 (p. 144) (lire en ligne).
(en) Dra. Patricia A. Taus, The Ecumenical violence from a gender perspective, Lulu.com, , 360 p. (lire en ligne), p. 265.
Hugues Séraphin, Le Tourisme : l'ouverture pour le peuple de Toussaint ? Précis sur le tourisme en Haïti, Paris, Editions Publibook, , 148 p. (ISBN978-2-924312-69-8, lire en ligne), p. 93.
(en) Stella Nyanzi and Ousman Bah, « Rice, Rams and Remittances: Bumsters and Female Tourists in The Gambia », dans Felicity Thomas, Mary Haour-Knipe, Peter Aggleton, Mobility, Sexuality and AIDS, Routledge, , 240 p. (ISBN978-1-13524-810-9, lire en ligne), p. 109 ou ici.
Dunne, Bruce, « Power and Sexuality in the Middle East », (journal) Middle East Report, édition 206, page 8, (DOI10.2307/3012472, consulté le ). « Les prostitués pouvaient accepter la pénétration pour gagner de l'argent plutôt que par plaisir ; les gamins n'étant pas encore des adultes pouvaient être pénétrés sans perdre leur appartenance à la lignée d'homme potentiel ; un adulte prenant du plaisir dans une activité sexuelle inférieure et/ou en se soumettant à la pénétration, était réputé inexplicable, et pouvait exclusivement être du domaine de la pathologie. Avoir des relations sexuelles avec des gamins ou des prostitués était peu toléré mais n'altéraient en rien leur position d'homme et/ou ne menaçaient pas les valeurs sociales importantes comme la virginité ou l'honneur familial »