Analysis of information sources in references of the Wikipedia article "Provençal" in French language version.
« Ue, coumo voucalo simplo, es particuliero au parla dóu Rose ; à sa plaço s’entènd dins d’àutri dialèite la ditongo ue, que s’escriéu emé li mémi letro (ansin vue se legis en Avignoun pèr lou son simple, que li Franchimand escrivon eu, à Marsiho pèr l’unioun di voucalo u e e reünido en un son coumpausa). »
« (À propos de la lettre« r ») D'ailleurs pourquoi cet ostracisme, pourquoi traiter cette lettre avec plus de rigueur que tant d'autres qui ont été conservées par vous bien que l'oreille ne les perçoit pas davantage ? »
« Ceux qui ont mal à propos substitué l'o à l'a final des substantifs et des adjectifs féminins n'ont pas fait attention qu'ils n'étaient pas conséquents avec eux-mêmes : car lorsqu'ils ont voulu former des mots composés, ils ont, comme toujours, été obligés de revenir au mot non altéré. C'est ainsi qu'en ajoutant la désinence ment (esprit, manière de faire), à regla, par exemple ils ont fait reglament, tandis qu'ils auraient dû écrire ce mot, d'après leurs principes, regloment, parce qu'il est composé de règlo, et de ment, suivant leur orthographe »
« Il existe, çà et là, dans l’espace occitan, quelques velléités localistes, refusant de reconnaître l’unité de la langue d’oc, se référant à « des langues d’oc » [...]. Les tenants de ces positions sont cependant extrêmement minoritaires, en termes de reconnaissance populaire (même si leur influence est parfois sensible en Provence, Béarn ou Auvergne). L’immense majorité des universitaires, comme l’immense majorité des militants, y compris les tenants actuels de la graphie mistralienne, admet l’unité de la langue d’oc dans sa diversité dialectale. »
« Honnorat, à qui la linguistique est si redevable, intercale pour adoucir le g, un e devant a, o, u : Encouragear, encourager. Cet expédient emprunté à l’orthographe d’oïl n’a pas fait fortune. Nul ne doit s’en plaindre. »
« Les anciens lexiques, comme d’ailleurs tous autre ouvrages confondaient le u et le v ; ainsi on écrivait usuellement : sviure, suivre ; uezi, vezi, voisin, etc. De là, par exemple mouer pour mover, mouvoir. De là, le mov de Bernat de Ventadour et le mou de Bertrans de Born. L’École d’Avignon tourne la difficulté en recourant à un procédé de son invention : pour mov et pour mou, elle écrirait móu. Le tour est ingénieux, je l’avoue. Seulement, ainsi que nous le dirons en son lieu, la langue limousine (par conséquent le dialecte provençal) n’avait non plus que le latin, aucun accent d’aucune sorte, pas même le tréma (le point sur l’i n’est pas un accent, mais une partie intégrante de ce signe). »
« Il existe, çà et là, dans l’espace occitan, quelques velléités localistes, refusant de reconnaître l’unité de la langue d’oc, se référant à « des langues d’oc » [...]. Les tenants de ces positions sont cependant extrêmement minoritaires, en termes de reconnaissance populaire (même si leur influence est parfois sensible en Provence, Béarn ou Auvergne). L’immense majorité des universitaires, comme l’immense majorité des militants, y compris les tenants actuels de la graphie mistralienne, admet l’unité de la langue d’oc dans sa diversité dialectale. »
prv
avant son retrait et sa fusion avec oci
en 2007. Le code oci-prv
est utilisé sur Endangered Languages Project (en).prv
avant son retrait et sa fusion avec oci
en 2007. Le code oci-prv
est utilisé sur Endangered Languages Project (en).