Provençal (French Wikipedia)

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20minutes.fr

acjp.fr

aquodaqui.info

  • Aquo d'Aqui, magazine provençal d'expression classique et mistralienne, exemple d'utilisation populaire du -ien pour remplacer le -ion, https://www.aquodaqui.info/

archive.org

archives-ouvertes.fr

hal.archives-ouvertes.fr

  • Jean Sibille, « Écrire l’occitan : essai de présentation et de synthèse. », Écrits divers – Ecrits ouverts, Inalco / Association Universitaire des Langues de France,‎ , p. 17-37 (lire en ligne)

bnf.fr

gallica.bnf.fr

books.google.com

c-oc.org

cieldoc.com

biblio.cieldoc.com

  • Jules Ronjat, L'Ourtougràfi Prouvençalo : Pichot tratat à l'usage di prouvençau (lire en ligne) :

    « Ue, coumo voucalo simplo, es particuliero au parla dóu Rose ; à sa plaço s’entènd dins d’àutri dialèite la ditongo ue, que s’escriéu emé li mémi letro (ansin vue se legis en Avignoun pèr lou son simple, que li Franchimand escrivon eu, à Marsiho pèr l’unioun di voucalo u e e reünido en un son coumpausa). »

  • Charles Arnoux, Le Bréviaire de la langue provençale où sont groupés par ordre d'idées les mots et expressions des divers domaines de la vie. : Avant-propos pour faire connaissance avec le lecteur et lui présenter la douce langue provençale. (lire en ligne)
  • (oc) Jules Ronjat, L’ourtougràfi prouvençalo, Avignon, Vivo Prouvènço!, , 19 p. (lire en ligne)
  • Charles Arnoux, Le Bréviaire de la langue provençale où sont groupés par ordre d'idées les mots et expressions des divers domaines de la vie. : Avant-propos pour faire connaissance avec le lecteur et lui présenter la douce langue provençale. (lire en ligne)
  • Marius Jouveau, Grammaire provençale : Essai de pédagogie régionale IV, Aix-en-Provence, Porto Aigo, (lire en ligne)

cieldoc.com

cnrs.fr

ddl.cnrs.fr

  • Michel Bert (dir.) et James Costa (dir.), ICAR ; INRP ; Laboratoire Dynamique du Langage ; Centre de dialectologie de Grenoble ; Institut Pierre Gardette, Francoprovençal et occitan en Rhône-Alpes, Région Rhône-Alpes, (lire en ligne), p. 18 ; 21.

collectifprovence.com

  • « l’abrogation de la graphie dite « classique » (ou occitane) en Provence ». "7 lettres essentielles pour la reconnaissance du provençal ". Site du Collectif Provence. Lire en ligne

degruyter.com

  • Constanze WETH. « L'occitan / provençal ». Manuel des langues romanes, Edited by Klump, Andre / Kramer, Johannes / Willems, Aline. DE GRUYTER. 2014. Pages: 491–509. ISBN (lire en ligne): 9783110302585

doi.org

dx.doi.org

  • James Costa et Médéric Gasquet-Cyrus, « Introduction », Lengas. Revue de sociolinguistique, no 72,‎ , p. 9–21 (ISSN 0153-0313, DOI 10.4000/lengas.109, lire en ligne, consulté le )
  • Joseph Salvat, « Provençal ou occitan ? », Annales du Midi, vol. 66, no 27,‎ , p. 229–241 (DOI 10.3406/anami.1954.5998, lire en ligne, consulté le )
  • Gérard Bodé, « L'imposition de la langue (1789-1815). », Revue du Nord, vol. 78, no 317,‎ , p. 771–780 (DOI 10.3406/rnord.1996.5155, lire en ligne, consulté le ).
  • Quentin Garnier, « Le vivaro-alpin : progrès d’une définition », Géolinguistique, no 20,‎ (ISSN 0761-9081, DOI 10.4000/geolinguistique.1992, lire en ligne, consulté le )
  • Danièle Dossetto, « La langue comme clé mais d’autres clefs que la langue : douze ans de recompositions mistraliennes en Provence‑Alpes‑Côte‑d’Azur », Lengas, no 72 - Aspects idéologiques des débats linguistiques en Provence et ailleurs,‎ (DOI 10.4000/lengas.114, lire en ligne).
  • Philippe Martel, « À la naissance de deux graphèmes-symboles : LH et NH », Lengas. Revue de sociolinguistique, no 88,‎ (ISSN 0153-0313, DOI 10.4000/lengas.4827, lire en ligne, consulté le )
  • Hervé Lieutard, « Les systèmes graphiques de l’occitan. Un kaléidoscope des représentations et des changements linguistiques », Lengas. Revue de sociolinguistique, no 86,‎ (ISSN 0153-0313, DOI 10.4000/lengas.4076, lire en ligne, consulté le )
  • Hervé Lieutard, « Les systèmes graphiques de l’occitan », Lengas. Revue de sociolinguistique, no 86,‎ (ISSN 0153-0313, DOI 10.4000/lengas.4076, lire en ligne, consulté le )
  • Pierrette Bérengier, « D’hier à demain : la mise à jour du dictionnaire provençal-français de Frédéric Mistral », dans La communication littéraire et ses outils : écrits publics, écrits privés, Éditions du Comité des travaux historiques et scientifiques, coll. « Actes des congrès nationaux des sociétés historiques et scientifiques », (ISBN 978-2-7355-0863-1, DOI 10.4000/books.cths.4041, lire en ligne), p. 7–14

e-periodica.ch

  • Jean-Claude Bouvier, « L'occitan en Provence. Le dialecte provençal, ses limites et ses variétés », Revue de Linguistique Romane, Lyon, vol. 43, no 169,‎ , p. 46-62 (ISSN 0035-1458, lire en ligne)

erudit.org

  • Philippe Blanchet, « Usages actuels du provençal dans la signalétique urbaine en Provence : motivations, significations et enjeux sociolinguistiques », Revue de l'Université de Moncton, vol. 36, no 1,‎ , p. 255–287 (lire en ligne, consulté le )

felibrige.org

  • « La langue d’Oc », sur Site officiel du Félibrige (consulté le ) : « Le Félibrige considère à égalité les différents parlers réunis sous le vocable de langue d’Oc. Strictement conforme à l’idée mistralienne, le Félibrige ne peut considérer tel ou tel parler d’Oc comme une langue à part entière. Tous les parlers d’oc sont la langue d’oc.
    Par la délibération suivante ; le Félibrige a tenu à rappeler, lors de son congrès annuel du 24 mai 2010 à Castillonnès (Lot et Garonne), que la seule terminologie de langue d’oc doit être retenue, employée et défendue :
    Le Félibrige réaffirme sa décision adoptée en Conseil Général lors de la Santo-Estello de Grasse en 1999 : « Le Félibrige retient comme seule terminologie pour être employée et défendue : la langue d’oc dans la diversité de ses parlers (Auvergnat, Gascon, Languedocien, Limousin, Provençal).
    Il rejoint en cela la définition établie par la DGLFLF (Délégation générale à la langue française et aux langues de France) Observatoire des pratiques linguistiques du Ministère de la Culture et de la Communication : « Chaque variété [de la langue d’oc] est l’expression pleine et entière de la langue qui n’existe qu’à travers ses composantes ».
    Cette définition n’est autre que celle que Frédéric Mistral retient pour l’intitulé complet de son Tresor dóu Felibrige « Dictionnaire provençal-français embrassant les divers dialectes de la langue d’oc moderne ». »
    .
  • « La langue d’Oc », sur Felibrige.org

francetvinfo.fr

france3-regions.francetvinfo.fr

free.fr

prouvenco.presso.free.fr

ieoparis.free.fr

  • Damase Arbaud, De l'orthographe provençale : Lettre à M. Anselme Mathieu, Aix-en-Provence, Makaire, (lire en ligne) :

    « (À propos de la lettre« r ») D'ailleurs pourquoi cet ostracisme, pourquoi traiter cette lettre avec plus de rigueur que tant d'autres qui ont été conservées par vous bien que l'oreille ne les perçoit pas davantage ? »

  • Lou Felibre de Bello Visto (pseudonyme de F. Mistral), "La lengo prouvençalo o lengo d'O", Armana Prouvençau, 1856. Réédition Frederic Mistral, "La lenga provençala o lenga d'Òc", Documents per l'estudi de la lenga occitana no 106, Paris: IEO París, 2016.

google.fr

books.google.fr

  • Alfred Jeanroy, Histoire sommaire de la poésie occitane, des origines à la fin du XVIIIe siècle, (réimpr. 1973) (lire en ligne)
  • Simon-Jude Honnorat cité par Joseph Roumanille, La part dau bon Diéu : Précédée d'une dissertation sur l'orthographe Provençale, Seguin ainé, (lire en ligne) :

    « Ceux qui ont mal à propos substitué l'o à l'a final des substantifs et des adjectifs féminins n'ont pas fait attention qu'ils n'étaient pas conséquents avec eux-mêmes : car lorsqu'ils ont voulu former des mots composés, ils ont, comme toujours, été obligés de revenir au mot non altéré. C'est ainsi qu'en ajoutant la désinence ment (esprit, manière de faire), à regla, par exemple ils ont fait reglament, tandis qu'ils auraient dû écrire ce mot, d'après leurs principes, regloment, parce qu'il est composé de règlo, et de ment, suivant leur orthographe »

ina.fr

issn.org

portal.issn.org

  • Jean-Claude Bouvier, « L'occitan en Provence. Le dialecte provençal, ses limites et ses variétés », Revue de Linguistique Romane, Lyon, vol. 43, no 169,‎ , p. 46-62 (ISSN 0035-1458, lire en ligne)
  • Marie-Jeanne Verny, « Enseigner l’occitan au XXIe siècle. Défis et enjeux », Tréma - revue internationale en sciences de l'éducation et didactique, Montpellier, Faculté d'Éducation de Montpellier, vol. 31 « L'enseignement des langues régionales en France aujourd'hui : état des lieux et perspectives »,‎ , p. 69-83 (ISSN 2107-0997, lire en ligne) :

    « Il existe, çà et là, dans l’espace occitan, quelques velléités localistes, refusant de reconnaître l’unité de la langue d’oc, se référant à « des langues d’oc » [...]. Les tenants de ces positions sont cependant extrêmement minoritaires, en termes de reconnaissance populaire (même si leur influence est parfois sensible en Provence, Béarn ou Auvergne). L’immense majorité des universitaires, comme l’immense majorité des militants, y compris les tenants actuels de la graphie mistralienne, admet l’unité de la langue d’oc dans sa diversité dialectale. »

  • James Costa et Médéric Gasquet-Cyrus, « Introduction », Lengas. Revue de sociolinguistique, no 72,‎ , p. 9–21 (ISSN 0153-0313, DOI 10.4000/lengas.109, lire en ligne, consulté le )
  • Quentin Garnier, « Le vivaro-alpin : progrès d’une définition », Géolinguistique, no 20,‎ (ISSN 0761-9081, DOI 10.4000/geolinguistique.1992, lire en ligne, consulté le )
  • Philippe Martel, « À la naissance de deux graphèmes-symboles : LH et NH », Lengas. Revue de sociolinguistique, no 88,‎ (ISSN 0153-0313, DOI 10.4000/lengas.4827, lire en ligne, consulté le )
  • Hervé Lieutard, « Les systèmes graphiques de l’occitan. Un kaléidoscope des représentations et des changements linguistiques », Lengas. Revue de sociolinguistique, no 86,‎ (ISSN 0153-0313, DOI 10.4000/lengas.4076, lire en ligne, consulté le )
  • Hervé Lieutard, « Les systèmes graphiques de l’occitan », Lengas. Revue de sociolinguistique, no 86,‎ (ISSN 0153-0313, DOI 10.4000/lengas.4076, lire en ligne, consulté le )

laprovence.com

larousse.fr

  • La langue se divise en trois grandes aires dialectales : le nord-occitan (limousin, auvergnat, vivaro-alpin), l’occitan moyen, qui est le plus proche de la langue médiévale (languedocien et provençal au sens restreint), et le gascon (à l’ouest de la Garonne). in Encyclopédie Larousse

lexilogos.com

limoges.fr

bnl-bfm.limoges.fr

  • Joseph Roux, Grammaire limousine, Lemozi, 1893-1895 (lire en ligne) :

    « Honnorat, à qui la linguistique est si redevable, intercale pour adoucir le g, un e devant a, o, u : Encouragear, encourager. Cet expédient emprunté à l’orthographe d’oïl n’a pas fait fortune. Nul ne doit s’en plaindre. »

  • Joseph Roux, Grammaire limousine, Lemozi, 1893-1895 (lire en ligne) :

    « Les anciens lexiques, comme d’ailleurs tous autre ouvrages confondaient le u et le v ; ainsi on écrivait usuellement : sviure, suivre ; uezi, vezi, voisin, etc. De là, par exemple mouer pour mover, mouvoir. De là, le mov de Bernat de Ventadour et le mou de Bertrans de Born. L’École d’Avignon tourne la difficulté en recourant à un procédé de son invention : pour mov et pour mou, elle écrirait móu. Le tour est ingénieux, je l’avoue. Seulement, ainsi que nous le dirons en son lieu, la langue limousine (par conséquent le dialecte provençal) n’avait non plus que le latin, aucun accent d’aucune sorte, pas même le tréma (le point sur l’i n’est pas un accent, mais une partie intégrante de ce signe). »

locongres.org

msn.com

fr.encarta.msn.com

  • On distingue plusieurs aires dialectales au sein même de l’occitan. […] À l’est du gascon et au sud du nord-occitan, une troisième aire, l’occitan moyen, comprend le languedocien, le provençal et le niçard (Nice). Le provençal se particularise notamment par des traits grammaticaux résultant de la disparition des consonnes finales. in Encarta « Copie archivée » (version du sur Internet Archive)

openedition.org

journals.openedition.org

  • Marie-Jeanne Verny, « Enseigner l’occitan au XXIe siècle. Défis et enjeux », Tréma - revue internationale en sciences de l'éducation et didactique, Montpellier, Faculté d'Éducation de Montpellier, vol. 31 « L'enseignement des langues régionales en France aujourd'hui : état des lieux et perspectives »,‎ , p. 69-83 (ISSN 2107-0997, lire en ligne) :

    « Il existe, çà et là, dans l’espace occitan, quelques velléités localistes, refusant de reconnaître l’unité de la langue d’oc, se référant à « des langues d’oc » [...]. Les tenants de ces positions sont cependant extrêmement minoritaires, en termes de reconnaissance populaire (même si leur influence est parfois sensible en Provence, Béarn ou Auvergne). L’immense majorité des universitaires, comme l’immense majorité des militants, y compris les tenants actuels de la graphie mistralienne, admet l’unité de la langue d’oc dans sa diversité dialectale. »

  • James Costa et Médéric Gasquet-Cyrus, « Introduction », Lengas. Revue de sociolinguistique, no 72,‎ , p. 9–21 (ISSN 0153-0313, DOI 10.4000/lengas.109, lire en ligne, consulté le )
  • Quentin Garnier, « Le vivaro-alpin : progrès d’une définition », Géolinguistique, no 20,‎ (ISSN 0761-9081, DOI 10.4000/geolinguistique.1992, lire en ligne, consulté le )
  • Danièle Dossetto, « La langue comme clé mais d’autres clefs que la langue : douze ans de recompositions mistraliennes en Provence‑Alpes‑Côte‑d’Azur », Lengas, no 72 - Aspects idéologiques des débats linguistiques en Provence et ailleurs,‎ (DOI 10.4000/lengas.114, lire en ligne).
  • Philippe Martel, « À la naissance de deux graphèmes-symboles : LH et NH », Lengas. Revue de sociolinguistique, no 88,‎ (ISSN 0153-0313, DOI 10.4000/lengas.4827, lire en ligne, consulté le )
  • Hervé Lieutard, « Les systèmes graphiques de l’occitan. Un kaléidoscope des représentations et des changements linguistiques », Lengas. Revue de sociolinguistique, no 86,‎ (ISSN 0153-0313, DOI 10.4000/lengas.4076, lire en ligne, consulté le )
  • Hervé Lieutard, « Les systèmes graphiques de l’occitan », Lengas. Revue de sociolinguistique, no 86,‎ (ISSN 0153-0313, DOI 10.4000/lengas.4076, lire en ligne, consulté le )

books.openedition.org

  • Pierrette Bérengier, « D’hier à demain : la mise à jour du dictionnaire provençal-français de Frédéric Mistral », dans La communication littéraire et ses outils : écrits publics, écrits privés, Éditions du Comité des travaux historiques et scientifiques, coll. « Actes des congrès nationaux des sociétés historiques et scientifiques », (ISBN 978-2-7355-0863-1, DOI 10.4000/books.cths.4041, lire en ligne), p. 7–14

ouest-france.fr

persee.fr

  • Joseph Salvat, « Provençal ou occitan ? », Annales du Midi, vol. 66, no 27,‎ , p. 229–241 (DOI 10.3406/anami.1954.5998, lire en ligne, consulté le )
  • Gérard Bodé, « L'imposition de la langue (1789-1815). », Revue du Nord, vol. 78, no 317,‎ , p. 771–780 (DOI 10.3406/rnord.1996.5155, lire en ligne, consulté le ).
  • Salvat Joseph. "Provençal ou occitan ?". In: Annales du Midi : revue archéologique, historique et philologique de la France méridionale, Tome 66, No 27, 1954. Hommage à la mémoire d’Alfred Jeanroy. p. 229-241. Consulté le 20 août 2015.

presse.fr

histoire.presse.fr

  • «Qu’est-ce que le Midi ? Une vaste région qui se caractérise d’abord par l’existence de ce qu’on peut appeler les pays d’oc, c’est-à-dire de langue provençale ou occitane.» Emmanuel Le Roy Ladurie. "Portrait historique de la France du Sud". L’’Histoire, no 255 (juin 2001). p. 34. (lire en ligne)

researchgate.net

  • Philippe Blanchet, Le provençal : essai de description sociolinguistique et différentielle, Peeters, (ISBN 90-6831-428-9 et 978-90-6831-428-1, OCLC 29377832, lire en ligne).
  • Philippe Blanchet, « Contacts et dynamique des identités culturelles : les migrants italiens en Provence dans la première partie du XXe siècle », La France latine, Paris, no 137,‎ , p. 141-166 (lire en ligne, consulté le )
  • (en) James Costa Wilson et Médéric Gasquet-Cyrus, « What is language revitalization really about? Competing language revitalization movements in Provence », dans Mari C. Jones et Sarah Ogilvie, Keeping Languages Alive: Documentation, Pedagogy and Revitalization, Cambridge University Press, (ISBN 978-1-107-02906-4, lire en ligne), p. 212-224

revistadoc.com

  • (oc) Domergue Sumien, « Classificacion dei dialècles occitans », Linguistica occitana - VII,‎ (lire en ligne)

revues.org

lengas.revues.org

  • Sur l’espace couvert, voir l’article de Danièle Dossetto. "La langue comme clé mais d’autres clefs que la langue : douze ans de recompositions mistraliennes en Provence‑Alpes‑Côte‑d’Azur". Lengas no 72, 2016. p. 51-82. lire en ligne
  • Sylvie Sagnes. "Unité et (ou) diversité de la (des) langue(s) d’oc : histoire et actualité d’une divergence". Lengas no 71, 2012. Pp. 51-78. Lire en ligne.
  • Sylvie Sagnes. "Unité et (ou) diversité de la (des) langue(s) d’oc : histoire et actualité d’une divergence". Lengas no 71, 2012. Pp. 51-78. Lire en ligne.

sil.org

iso639-3.sil.org

  • Le code ISO 639-3 était prv avant son retrait et sa fusion avec oci en 2007. Le code oci-prv est utilisé sur Endangered Languages Project (en).
  • UNESCO, Atlas des langues en péril dans le monde, p. 29. La partie européenne de cet atlas, réalisée par le linguiste finlandais Talpani Salminen, spécialiste du finno-ougrien, individualise les différents dialectes de la langue d'oc. L'UNESCO, dans d'autres publications, et le Summer Institute of Linguistics, dans la norme ISO 639-3, rendent compte parallèlement d'une unité de la langue d'oc dans sa diversité.

sourgentin.org

  • « Progresser en nissart, Leçon 13 : Mais pourquoi écrivez-vous… una plassa de Nissa, una plaça de Nissa ou una plaça de Niça ? », sur Lou Sourgentin : « Ce qui, par contre, était critiquable, c’était la prétention de certains félibres de faire écrire, dans notre langue, niçard, avec un d final : en effet ce -d, parfaitement compatible avec la prononciation du provençal (d final muet), ne l’était pas avec la prononciation niçoise (t final sonore) qui rendait nécessaire le recours à la forme niçart conforme à la spécificité phonétique du niçois et employée par les bons auteurs. »
  • « Progresser en nissart, leçon 11 : Mais pourquoi écrivez-vous…falhita, bulhì, filha, travalhà, travalh ? Ou du bon usage du lh », sur Lou Sourgentin : « Plus précisément, on trouvera chez ces deux auteurs le gli en position intervocalique. Exemple : la fueglia (la feuille). Micèu, influencé par le français, fait souvent précéder le gli d’un i inutile et écrit vieiglia, paiglia, taiglia, alors que Rancher écrit vieglia, taglia, paglia. En position finale, nos deux auteurs adoptent des solutions différentes : Micèu conserve la notation gli (réduite à gl) et écrit donc travaigl, rouigl (la rouille), recueigl (le recueil). Rancher, lui, est influencé par l’orthographe du français et écrit travail, badail (bâillement), douil, (broc, cruche), ueil (œil), rail (braiment), ferrouil (verrou), tail, buil (ébullition), etc. »

unesco.org

unesco.org

  • Moseley, Christopher (ed.). 2010. "langues de France", Atlas interactif UNESCO des langues en danger dans le monde, 3e édition, en ligne.

portal.unesco.org

  • UNESCO, Atlas des langues en péril dans le monde, p. 29. La partie européenne de cet atlas, réalisée par le linguiste finlandais Talpani Salminen, spécialiste du finno-ougrien, individualise les différents dialectes de la langue d'oc. L'UNESCO, dans d'autres publications, et le Summer Institute of Linguistics, dans la norme ISO 639-3, rendent compte parallèlement d'une unité de la langue d'oc dans sa diversité.

web.archive.org

  • On distingue plusieurs aires dialectales au sein même de l’occitan. […] À l’est du gascon et au sud du nord-occitan, une troisième aire, l’occitan moyen, comprend le languedocien, le provençal et le niçard (Nice). Le provençal se particularise notamment par des traits grammaticaux résultant de la disparition des consonnes finales. in Encarta « Copie archivée » (version du sur Internet Archive)

wikipedia.org

en.wikipedia.org

worldcat.org