Dominique Baffier, Les Derniers Néandertaliens : le Châtelperronien, Paris, la Maison des roches, coll. « Histoire de la France prehistorique -36 000 à -3 000 ans », , 128 p. (ISBN2-912691-04-4, lire en ligne).
Les travaux pionniers conduits notamment par John Frere à Hoxne en 1797, « François Jouannet en Dordogne à partir de 1812 (Ecorneboeuf, Pech de l’Azé, Combe-Grenal, Badegoule), William Buckland au Pays de Galles (grotte de Paviland) en 1822, Paul Tournal dans l’Aude (grottes de Bize) en 1826, Philippe-Charles Schmerling en Belgique (grottes d’Engis) en 1830, Auguste Aymard dans le Velay (Volcan Denise) en 1844 ou Jean-Baptiste Noulet en Haute-Garonne (site de l’Infernet à Clermont-le Fort) en 1851-1853, révèlent progressivement la coexistence de l’homme, ou plutôt de certaines de ses productions (silex taillés), et des espèces disparues sans pour autant affirmer sa très haute antiquité. Ces découvertes plongent la plupart des auteurs dans une certaine perplexité ». Cf Patrick Paillet, « Le mammouth de la Madeleine (Tursac, Dordogne). Dans son siècle et aujourd’hui », Paléo, no 22, , p. 223-270 (ISSN1145-3370, DOI10.4000/paleo.2143).
(en) Daniel Richter, Jean-Jacques Hublin, Shannon P. McPherron et al., « The age of the hominin fossils from Jebel Irhoud, Morocco, and the origins of the Middle Stone Age », Nature, vol. 546, , p. 293-296 (DOI10.1038/nature22335)
hominides.com
Hominidés.com, Découverte au Kenya des plus anciens outils acheuléens, 1er septembre 2011, lire en ligne
issn.org
portal.issn.org
Les travaux pionniers conduits notamment par John Frere à Hoxne en 1797, « François Jouannet en Dordogne à partir de 1812 (Ecorneboeuf, Pech de l’Azé, Combe-Grenal, Badegoule), William Buckland au Pays de Galles (grotte de Paviland) en 1822, Paul Tournal dans l’Aude (grottes de Bize) en 1826, Philippe-Charles Schmerling en Belgique (grottes d’Engis) en 1830, Auguste Aymard dans le Velay (Volcan Denise) en 1844 ou Jean-Baptiste Noulet en Haute-Garonne (site de l’Infernet à Clermont-le Fort) en 1851-1853, révèlent progressivement la coexistence de l’homme, ou plutôt de certaines de ses productions (silex taillés), et des espèces disparues sans pour autant affirmer sa très haute antiquité. Ces découvertes plongent la plupart des auteurs dans une certaine perplexité ». Cf Patrick Paillet, « Le mammouth de la Madeleine (Tursac, Dordogne). Dans son siècle et aujourd’hui », Paléo, no 22, , p. 223-270 (ISSN1145-3370, DOI10.4000/paleo.2143).