La préservation des collectes se fait dans des fosses rondes, souvent groupées. Voir, dans cet article sur un site - dont la partie ancienne (5100–4600 cal BP)- des fosses à glands (ici il ne restait que des épluchures et des tessons de céramique) : (en) Hopil Yun, Min-Jung Ko & Gyoung-Ah Lee, « The Pyeonggeo-dong settlements: sustained farming villages of prehistoric and early historic Korea », Antiquity, après 2011 (lire en ligne, consulté le ).
anu.edu.au
openresearch-repository.anu.edu.au
En 1987, Francis Macouin (conservateur au musée Guimet) évoque des ondols de l'âge du fer sur des sites de Sejuk-ri (Yongbyon, Pyongan du Nord): Francis Macouin, « Aux origines de l'hypocauste coréen (ondol) », Arts Asiatiques, no 87, , p. 77-88 (lire en ligne, consulté le ). Le système de l'ondol a été clairement mis en évidence lors d'une fouille en Mongolie et sur un site de l'Empire xiongnu de l'âge du fer,Boroo Gol, occupé probablement de la fin du IIIe siècle de notre ère. : Denis Ramseyer et Guilhem André (exposition, Neuchâtel, Laténium, 2015-2016), Derrière la grande muraille : Mongolie et Chine au temps des premiers empereurs (209 avant à 220 après J.-C.), Hauterive, Laténium : fondation Kerma,, , 91 p., 23 cm (ISBN978-2-9701062-0-3), p. 14-15. Une « découverte » faite dans les années 1920, et datée à l'époque vers 1000 avant notre ère, Unggi, Hamgyeongbuk-do, ne semble plus d'actualité en 2013. "The Encyclopaedia of Korea - ANU Repository"[1] de YH Choe-Wall publié en 2013 continue de ne faire mention d'ondol qu'à l'âge du fer.
dossiers-archeologie.com
Bahain (J.-J.) - Moule (P.-E.) - Cauche (D.) - Vialet (A.) - Dambricourt-Malassé (A.), « Les gisements de Dingcun », Dossier d'archéologie, no 292, (ISSN1141-7137, lire en ligne, consulté le ) (en ligne : uniquement le résumé de l'article).
Bahain (J.-J.) - Moule (P.-E.) - Cauche (D.) - Vialet (A.) - Dambricourt-Malassé (A.), « Les gisements de Dingcun », Dossier d'archéologie, no 292, (ISSN1141-7137, lire en ligne, consulté le ) (en ligne : uniquement le résumé de l'article).
jhu.edu
muse.jhu.edu
(en) Seung-Og KIM, Recent Developments and Debates in Korean Prehistoric Archaeology, vol. 54, t. 1, Asian Perspectives, (lire en ligne), p. 11-30, qui sert de référence pour la suite de cette sous-partie.
Pointes à pédoncule du Solutréen français avec gravures : Harper Kelley, 1955, sur Persée. Voir aussi : (en) Christopher.J..Norton,.Kidong.Bae,.Hanyong.Lee,.and. John.W.K.Harris, A review of korean microlithic industries, FSU Library Digital Publishing (lire en ligne), p. 91-102, postérieur à 2004.
En 1987, Francis Macouin (conservateur au musée Guimet) évoque des ondols de l'âge du fer sur des sites de Sejuk-ri (Yongbyon, Pyongan du Nord): Francis Macouin, « Aux origines de l'hypocauste coréen (ondol) », Arts Asiatiques, no 87, , p. 77-88 (lire en ligne, consulté le ). Le système de l'ondol a été clairement mis en évidence lors d'une fouille en Mongolie et sur un site de l'Empire xiongnu de l'âge du fer,Boroo Gol, occupé probablement de la fin du IIIe siècle de notre ère. : Denis Ramseyer et Guilhem André (exposition, Neuchâtel, Laténium, 2015-2016), Derrière la grande muraille : Mongolie et Chine au temps des premiers empereurs (209 avant à 220 après J.-C.), Hauterive, Laténium : fondation Kerma,, , 91 p., 23 cm (ISBN978-2-9701062-0-3), p. 14-15. Une « découverte » faite dans les années 1920, et datée à l'époque vers 1000 avant notre ère, Unggi, Hamgyeongbuk-do, ne semble plus d'actualité en 2013. "The Encyclopaedia of Korea - ANU Repository"[1] de YH Choe-Wall publié en 2013 continue de ne faire mention d'ondol qu'à l'âge du fer.
Pointes à pédoncule du Solutréen français avec gravures : Harper Kelley, 1955, sur Persée. Voir aussi : (en) Christopher.J..Norton,.Kidong.Bae,.Hanyong.Lee,.and. John.W.K.Harris, A review of korean microlithic industries, FSU Library Digital Publishing (lire en ligne), p. 91-102, postérieur à 2004.