Географічна енциклопедія України: в 3-х томах / Редколегія: О. М. Маринич (відпов. ред.) та ін. — К.: «Українська радянська енциклопедія» імені М. П. Бажана, 1989 ; Les plus hauts sommets des Carpates ukrianiennes ; Travaux du Musée national d'histoire naturelle « Grigore Antipa » 1996 :
« Les montagnes du Maramureș s'étendent de la vallée de la Bistrița jusqu'à la frontière ukrainienne, sur la rive droite de la rivière Vișeu, et se composent d'un large sommet fragmenté, orienté Sud-Est, Nord-Ouest. Du point de vue géologique le territoire est très varié, avec des schistes cristallins au pic Pop-Ivan (1 937 m) percés de roches éruptives (Toroioaga, 1 930 m) ou de basaltesmésozoïques de la zone du Farcău (1 957 m) et du Mihăileț (1 918 m) ».
Contrairement à une idée répandue, les États communistes ne pratiquaient pas la laïcité qui n’interdit ni les cultes ni le prosélytisme, mais sépare l’État des religions qu’elle laisse libres : la laïcité ne promeut ni l’athéisme, ni l’incroyance, ni la croyance, et assure la liberté de conscience dans le respect de la loi ; pour leur part, les régimes communistes, après la consolidation de leur pouvoir et la mort en détention des hiérarques et des clercs insoumis ou réfractaires, prirent le contrôle de la pratique religieuse en rémunérant les clercs. Certains des lieux de formation théologique fermés dans la période initiale (jusqu’en 1941 en URSS, jusqu’en 1960 dans les autres pays communistes) furent remis en fonction, sous étroite surveillance de la police politiquecommuniste ; les lieux de culte encore debout furent progressivement rouverts (d’abord seulement pour les fêtes majeures) et les nouveaux clercs tolérés par le régime devinrent, bon gré mal gré, des collaborateurs des autorités : une « blague dissidente » affirmait : « Si tu veux dénoncer quelque chose ou quelqu’un à la police politique sans te dévoiler comme délateur, va te confesser à l'église ! » (en) Victor A. Pogadaev, « The origin and classification of Russian anecdotes as a folklore genre », Folklore and Folkloristics, Université de Malaya, vol. 5, no 2, , p. 9-17 (lire en ligne [PDF]).