J. M., « Joëlle Ceccaldi-Raynaud élue à la tête de l'Epad : La députée-maire de Puteaux a remporté le vote face au maire PCF de Nanterre Patrick Jarry… », 20 minutes, (lire en ligne, consulté le )« Jean Sarkozy en rêvait, c'est une autre « fille de » qui rafle la mise. La députée-maire UMP de Puteaux Joëlle Ceccaldi-Raynaud a été élue ce vendredi à la tête de l'Epad par 14 voix contre 4 ».
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
AFP, « Mort de l’ancien maire de Puteaux Charles Ceccaldi-Raynaud : Il était l’un des derniers représentants de cette génération d’élus incarnée par Charles Pasqua, symbole de la transformation des Hauts-de-Seine en un département riche après avoir été une banlieue ouvrière », Le Monde, (lire en ligne, consulté le ).
AFP, « Asnières, Puteaux, Clichy… trois élections municipales annulées pour irrégularités », Le Monde, (lire en ligne).
Béatrice Jérôme, « À Puteaux, le clientélisme de la mairie ruine l’opposition », Le Monde, (lire en ligne).
AFP, « Mort de l’ancien maire de Puteaux Charles Ceccaldi-Raynaud : Il était l’un des derniers représentants de cette génération d’élus incarnée par Charles Pasqua, symbole de la transformation des Hauts-de-Seine en un département riche après avoir été une banlieue ouvrière », Le Monde, (lire en ligne, consulté le )« Surnommé « le Renard argenté », ce Corse avait commencé sa carrière politique à la SFIO avant de rejoindre les rangs du mouvement gaulliste à la fin des années 1960. Élu pour la première fois à Puteaux en 1969, il avait été contraint de passer la main à sa fille en 2004 pour des raisons de santé (…) L’ancien homme fort de la ville a également occupé les fonctions de député entre 1993 et 1995 lors du passage au ministère du budget de Nicolas Sarkozy, dont il était le suppléant, puis sénateur de 1995 à 2004. Il a aussi été conseiller général et conseiller régional ».
Eric Nunès, « Joëlle Ceccaldi-Raynaud, toujours sur la voie de son père : A 58 ans, la maire de Puteaux (Hauts-de-Seine) poursuit son chemin politique dans les pas de son père, Charles Ceccaldi-Raynaud », Le Monde, (lire en ligne, consulté le ).
leparisien.fr
Réélue le 19 juin 2015 après l'annulation des élections municipales de 2014 : Ariane Riou, « Joëlle Ceccaldi-Raynaud réélue triomphalement », Le Parisien, édition des Hauts-de-Seine, (lire en ligne)« la maire (LR) a été réélue, quelques semaines après l'annulation par le Conseil d'Etat de sa première élection en 2014 pour irrégularités (…) Dimanche dernier, la fille de Charles Ceccaldi-Raynaud, son prédécesseur aux manettes de la ville depuis 1969, avait reçu 60,77% des voix, obtenant ainsi trente-sept sièges de conseillers municipaux, soit trois de plus que lors de l'élection de l'année dernière. Une quatrième victoire consécutive à Puteaux pour Joëlle Ceccaldi-Raynaud (…) À l'issue du conseil, onze adjoints ont été nommés, dont Vincent Franchi, fils de la maire en place, conseiller départemental des Hauts-de-Seine et également fraîchement nommé président de la SEM 92 (société d'aménagement de droit privé) ».
F.M., « En avril 2004, il avait démissionné de son mandat de maire », Le Parisien, édition des Hauts-de-Seine, (lire en ligne, consulté le ).
Florence Hubin, « L’ancien maire de Puteaux, Charles Ceccaldi-Raynaud, est mort : A la tête de la ville pendant 35 ans, Charles Ceccaldi-Raynaud, père de Joëlle -l’actuelle maire- s’est éteint ce jeudi à l’âge de 94 ans », Le Parisien, édition des Hauts-de-Seine, (lire en ligne, consulté le )« A son arrivée en France, il est d'abord élu à Bondy (Seine-Saint-Denis), avant de rejoindre Puteaux en 1965. Il dirige l'office HLM de la ville et rejoint la liste du maire socialiste Georges Dardel. Il lui succède en 1969, et se représente aux municipales de 1971 sans l'investiture du PS ».
D.L., « Municipales à Puteaux : les adversaires de Joëlle Ceccaldi-Raynaud resserrent les rangs : Préambule à la constitution d’une liste pour les municipales, l’opposition de gauche lance, ce jeudi, le « Printemps putéolien », Le Parisien, édition des Hauts-de-Seine, (lire en ligne, consulté le ).
Florence Hubin, « A Puteaux, la mère reste maire, le fils devient premier adjoint : Onzième et dernier adjoint en 2008, super-adjoint avec six délégations en 2014, Vincent Franchi devient pour cette nouvelle mandature le premier adjoint de sa mère, Joëlle Ceccaldi-Raynaud (LR) », Le Parisien, édition des Hauts-de-Seine, (lire en ligne, consulté le )« Réélue haut la main le 15 mars dernier avec 65 % des suffrages exprimés, Joëlle Ceccaldi-Raynaud, maire (LR) de Puteaux depuis avril 2004, présidait ce lundi matin le premier conseil municipal de sa cinquième mandature (…) De quoi renforcer les craintes des opposants, qui avaient assuré pendant toute leur campagne que « Joëlle Ceccaldi mettrait son fils à sa place pendant le prochain mandat » et raviver leurs critiques face à cette « dynastie familiale », la ville étant dirigée par la famille Ceccaldi depuis cinquante ans ».
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
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