[d'Huy & Le Quellec 2012] Julien d'Huy et Jean-Loïc Le Quellec, « Les Ihizi: et si un mythe basque remontait à la préhistoire? », Mythologie française, no 246, , p. 64-67 (lire en ligne [PDF] sur halshs.archives-ouvertes.fr, consulté le ).
Arnaud Faille, Charles Bourdeau, Philippe Deliot et Javier Fresneda Gaspar, « Description du mâle d'Aphaenops catalonicus Escolà & Canció (Coleoptera, Trechinae) », Bulletin de la Société entomologique de France, vol. 111, no 2, , p. 247–250 (DOI10.3406/bsef.2006.16321, lire en ligne, consulté le )
[Lebel 1992] S. Lebel, « Mobilité des hominidés et système technique d'exploitation des ressources au Paléolithique ancien : la Caune de l'Arago (France) », Canadian Journal of Archaeology, vol. 16, , p. 48-69 (résumé).
« Autrefois elles étaient en grande partie couvertes de bois épais et touffus ; mais elles furent, dit-on, incendiées par quelques pâtres qui y avaient mis le feu. L'incendie ayant duré continuellement pendant un grand nombre de jours, la superficie de la terre fut brûlée, et c'est de là que l'on a donné à ces montagnes le nom de Pyrénées. La combustion du sol fit fondre des masses de minerai d'argent et produisit de nombreux ruisseaux d'argent pur. » Dans Diodore de Sicile, (trad. Ferdinand Hoefer), Bibliothèque historique, livre V, chap. XXXV, (1851).
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books.openedition.org
(...) lei Pirenèus, au masculin, segon la primiera reïntroduccion sabenta d’aqueu nom dins lei lengas modèrnas, que comencèt tot bèu just dins un document en occitan de 1660: "als confins dels Pireneus" (Dauzat & al. 1978. 196). Pasmens lo francisme las/eras Pirenèas* s'es espandit a causa dau francés les Pyrénées que sa finala -ées sembla tau femenina. Ara lo conseu generau deis Auts Pirenèus (Hauts/Nauts Pirenèus en gascon) se sent obligat de promòure la forma Hautas Pirenèas*, en se fabricant una autenticitat factícia qu’ignora tot de l’istòria occitana dau nom (cf. Atau que’s ditz 1998. 8)., L’occitan, lenga fantasmada : l’exemple de la toponimia, Domergue Sumien(oc)Nouvelle recherche en domaine occitan - L’occitan, lenga fantasmada : l’exemple de la toponimia - Presses universitaires de la Méditerranée.
« Filière bois », sur Parc naturel régional des Pyrénées catalanes (consulté le )
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Arnaud Faille, Charles Bourdeau, Philippe Deliot et Javier Fresneda Gaspar, « Description du mâle d'Aphaenops catalonicus Escolà & Canció (Coleoptera, Trechinae) », Bulletin de la Société entomologique de France, vol. 111, no 2, , p. 247–250 (DOI10.3406/bsef.2006.16321, lire en ligne, consulté le )
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(de) Konrad Mannert, Geographie der Griechen und Römer, E.C. Grattenauer, (lire en ligne).
Charles Romey, Histoire d'Espagne depuis les premiers temps jusqu'à nos jours, t. II, Furne et cie, (lire en ligne), p. 384.
Étienne François Dralet, Description des Pyrénées, Bertrand, (lire en ligne).
remacle.org
« C'est le nom de la vierge, fille de Bébryce, qu'ont pris ces montagnes : l'hospitalité donnée à Hercule fut l'occasion d'un crime. Alcide se rendait, pour l'accomplissement de ses travaux, dans les vastes campagnes du triple Gérion. Sous l'empire du dieu du vin, il laissa dans le redoutable palais de Bébryce la malheureuse Pyrène déshonorée ; et ce dieu, s'il est permis de le croire, oui, ce dieu fut ainsi la cause de la mort de cette infortunée. En effet, à peine eut-elle donné le jour à un serpent, que, frémissant d'horreur à l'idée d'un père irrité, elle renonça soudain, dans son effroi, aux douceurs du toit paternel, et pleura, dans les antres solitaires, la nuit qu'elle avait accordée à Hercule, racontant aux sombres forêts les promesses qu'il lui avait faites. Elle déplorait aussi l'ingrat amour de son ravisseur, quand elle fut déchirée par les bêtes féroces. En vain elle lui tendit les bras, et implora son secours pour prix de l'hospitalité. Hercule, cependant, était revenu vainqueur; il aperçoit ses membres épars, il les baigne de ses pleurs, et, tout hors de lui, ne voit qu'en pâlissant le visage de celle qu'il avait aimée. Les cimes des montagnes, frappées des clameurs du héros, en sont ébranlées. Dans l'excès de sa douleur, il appelle en gémissant sa chère Pyrène : et tous les rochers, tous les repaires des bêtes fauves retentissent du nom de Pyrène. Enfin il place ses membres dans un tombeau, et les arrose pour la dernière fois de ses larmes. Ce témoignage d'amour a traversé les âges, et le nom d'une amante regrettée vit à jamais dans ces montagnes. » Silius Italicus, "La Guerre punique", tome III, trad. sous la direction de Désiré Nisard (1878).
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[Lumley et al. 1984] Henri de Lumley, A. Fournier, Y.C. Park, , Y. Yokoyama et A. Demouy, « Stratigraphie du remplissage pléistocène moyen de la Caune de l'Arago à Tautavel - Étude de huit carrotages effectués de 1981 à 1983 », L'Anthropologie, t. 88, no 1, , p. 5-18 (résumé).
(...) lei Pirenèus, au masculin, segon la primiera reïntroduccion sabenta d’aqueu nom dins lei lengas modèrnas, que comencèt tot bèu just dins un document en occitan de 1660: "als confins dels Pireneus" (Dauzat & al. 1978. 196). Pasmens lo francisme las/eras Pirenèas* s'es espandit a causa dau francés les Pyrénées que sa finala -ées sembla tau femenina. Ara lo conseu generau deis Auts Pirenèus (Hauts/Nauts Pirenèus en gascon) se sent obligat de promòure la forma Hautas Pirenèas*, en se fabricant una autenticitat factícia qu’ignora tot de l’istòria occitana dau nom (cf. Atau que’s ditz 1998. 8)., L’occitan, lenga fantasmada : l’exemple de la toponimia, Domergue Sumien(oc)Nouvelle recherche en domaine occitan - L’occitan, lenga fantasmada : l’exemple de la toponimia - Presses universitaires de la Méditerranée.
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Plutarque (vers 46 - 125 ap. J.-C.) : Vie de Sertorius, chap. 7.