Pébrine (French Wikipedia)

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1911encyclopedia.org

  • Guérin-Méneville, « Études sur les maladies des vers à soie (...) », Bulletin de la Société nationale et centrale d'agriculture de France, 2e sér., V, 1849-1850, p. 251-259. Voir Classic Encyclopedia, article « Silk », d'après l'Encyclopaedia Britannica de 1911. Sur la découverte des corpuscules de la pébrine par Guérin-Méneville en 1849, voir aussi L. Pasteur, Études sur la maladie des vers à soie, 1870, Œuvres complètes de L. Pasteur, t. 4, pp. 29-32, consultable sur Gallica.

archive.org

  • En 1884, G. Balbiani (G. Balbiani, Leçons sus les sporozoaires, Paris, 1884, pp. 167-168 En ligne.) reconnaissait que le procédé pratique de Pasteur avait remédié aux ravages de la pébrine, mais ajoutait que ce résultat tendait à être contrebalancé par le développement de la flacherie, moins bien connue et plus difficile à prévenir. En 1878, au Congrès international séricicole, Pasteur avait admis que « si la pébrine est vaincue, la flacherie exerce toujours ses ravages. » (Comptes rendus sténographiques du Congrès international séricicole, tenu à Paris du 5 au 10 septembre 1878; Paris, 1879, pp. 27-38. Reproduit dans les Œuvres complètes de Pasteur, t. 4, pp. 698-713, spéc. 699 et 713; consultable sur Gallica.) En 1886, la Société des Agriculteurs de France émettait le vœu « que le gouvernement examine s'il n'y avait pas lieu de procéder à de nouvelles études scientifiques et pratiques sur le caractère épidémique des maladies des vers à soie et sur les moyens de combattre cette influence. » (Cité par Philippe Decourt, Les Vérités indésirables, Paris, 1989, p. 301.)

bnf.fr

gallica.bnf.fr

  • Guérin-Méneville, « Études sur les maladies des vers à soie (...) », Bulletin de la Société nationale et centrale d'agriculture de France, 2e sér., V, 1849-1850, p. 251-259. Voir Classic Encyclopedia, article « Silk », d'après l'Encyclopaedia Britannica de 1911. Sur la découverte des corpuscules de la pébrine par Guérin-Méneville en 1849, voir aussi L. Pasteur, Études sur la maladie des vers à soie, 1870, Œuvres complètes de L. Pasteur, t. 4, pp. 29-32, consultable sur Gallica.
  • Leydig (Fr.) « Ueber Parasiten niederer Thiere », Archiv für pathologische Anatomie und Physiologie (Virchow), XIII, 1858, p. 280-282; id., Naturgeschichte der Daphniden (crustacea cladocera), Tübingen, 1860. (Cités par L. Pasteur, Études sur la maladie des vers à soie, Paris, 1870, Œuvres complètes de Pasteur, t. 4, p. 35, consultable sur Gallica.)
  • Ce nom lui fut donné par Quatrefages. Voir récit de Quatrefages reproduit dans L. Pasteur, Études sur la maladie des vers à soie, Paris, 1870, Œuvres complètes de Pasteur, t. 4, p. 27, consultable sur Gallica.
  • Louis Figuier, L'année scientifique et industrielle, Paris, Librairie de L. Hachette & Cie, (lire en ligne), p. 419 Maladie du ver à soie

gallica2.bnf.fr

  • En 1884, G. Balbiani (G. Balbiani, Leçons sus les sporozoaires, Paris, 1884, pp. 167-168 En ligne.) reconnaissait que le procédé pratique de Pasteur avait remédié aux ravages de la pébrine, mais ajoutait que ce résultat tendait à être contrebalancé par le développement de la flacherie, moins bien connue et plus difficile à prévenir. En 1878, au Congrès international séricicole, Pasteur avait admis que « si la pébrine est vaincue, la flacherie exerce toujours ses ravages. » (Comptes rendus sténographiques du Congrès international séricicole, tenu à Paris du 5 au 10 septembre 1878; Paris, 1879, pp. 27-38. Reproduit dans les Œuvres complètes de Pasteur, t. 4, pp. 698-713, spéc. 699 et 713; consultable sur Gallica.) En 1886, la Société des Agriculteurs de France émettait le vœu « que le gouvernement examine s'il n'y avait pas lieu de procéder à de nouvelles études scientifiques et pratiques sur le caractère épidémique des maladies des vers à soie et sur les moyens de combattre cette influence. » (Cité par Philippe Decourt, Les Vérités indésirables, Paris, 1989, p. 301.)