Période Jōmon (French Wikipedia)

Analysis of information sources in references of the Wikipedia article "Période Jōmon" in French language version.

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akarenga-h.jp

archive.org

doi.org

  • (en) Shuichi NOSHIRO et Yuka SASAKI, « Pre-agricultural management of plant resources during the Jomon period in Japan—a sophisticated subsistence system on plant resources », Journal of Archaeological Science, vol. 42,‎ 2014, février, p. 93-106 (lire en ligne, consulté le ).

guimet.fr

  • Site de Ebisuda, Tajiri Kabukuri, Osaki-shi, préfecture de Miyagi, Nord-est du Japon. Sur les dogu : [1] : page Dogu à lunettes de neige, sur le site du Musée Guimet, Paris.

hjcc.jp

  • Dogu découvert à Chobonaino, Jomon Récent, terre cuite portant des traces de laque, H. 41,5 cm : site d' Hakodate Jomon Culture Center. D'autres objets laqués sont conservés dans ce musée.

hominides.com

jomon-japan.jp

  • Jomon-japan : Secretariat for the Promotion of the World Heritage Inscription of Jomon Archaeological Sites. Article plus détaillé sur Wold-archaeology.com du 07-09-2003 et The origin of early pottery in Northeast Asia in the content of environnemental change, Hiroshi Kajiwara and Aleksei V. Kononenko, 1999, pdf. Cette date étant assurée et enseignée au Japon depuis longtemps, elle est reprise, en 2018, d'une part, par Jean-Paul Demoule qui l'arrondi à « vers 13 500 » et par Masayuki Harada, commissaire de l'exposition « Jômon » à la Maison de la Culture du Japon à Paris, et directeur de recherche en archéologie (Masayuki Harada, 2018, p. 47, dans cette revue Jean-Paul Demoule, p. 10). Mais Masayuki Harada précise, plus loin, que « récemment des datations par spectrométrie de masse par accélérateur se sont développées, et il semblerait que la période Jômon ait commencé plus tôt encore, il y a environ 15 000 ans », sous-entendu BP, avant le présent. Ce qui semble correspondre au site d'Odai Yamamoto).
  • Jean-Paul Demoule, 2011, p. 149, ainsi que Li Liu dans Jean-Paul Demoule (dir), 2009, p. 67, pour plus de précision. En 2013, Koji Mitzoguchi donne pour le Proto-Jōmon ou initial : vers 12 000-10 000 B.P., Jōmon archaïque : v. 10 000-6000, Jōmon Ancien : 6000-5000, Jōmon Moyen : 5000-4000, Jōmon Récent : 4000-3000, Jōmon Final : 3000-2500/2400. : Mizoguchi, 2013, p. 76-77. Plus précisément, il indique que les fragments de céramique d'Odai Yamamoto, mêlés avec un assemblage lithique du Paléolithique final / Proto-Jōmon ou initial, sont datés avant calibration 13 780 B.P. [NUTA-6510], et après calibration 16 520 BP. [calibration par le programme Mac CALIB 3.0]. Cela ne signifie pas pour autant que la poterie a joué un rôle décisif dans la transformation de la société. Ces bols auraient servi à faire bouillir de la nourriture sur un foyer creusé ((en) hearth-like pit), et dans un cadre de vie encore mobile où la céramique aurait été un obstacle à la mobilité. Voir aussi : (en) « Odai-Yamamoto Site », sur jomon/japan, (consulté le ) et, plus détaillé : (en) « Historic site Odai-Yamamoto Site » [PDF], sur jomon-japan.jp, Sotogahama Town Municipal Board of Education, .
  • Junko Habu 2004, p. 31 et : (en) « Historic site Odai-Yamamoto Site » [PDF], sur jomon-japan.jp, Sotogahama Town Municipal Board of Education, .
  • (en) [4] page dédiée sur le site jomon-japan.jp.
  • (en) Oyu Stone Circles, sur jomon-japan.jp

jst.go.jp

jstage.jst.go.jp

metmuseum.org

  • [5] : page correspondant sur le site du Met. Cette pratique de peindre en rouge est peu commune, mais elle est significative d'une pratique antérieure à l'apport coréen (en particulier les vases globulaires, avec la technologie propre à la culture du riz en rizière inondée). La couleur rouge sera appliquée sur les « nouvelles » poteries globulaires Yayoi. Elle servira ainsi à marquer les vases destinés à conserver le riz, et ceux destinés à « conserver » les morts dans un parallèle avec le riz, revitalisable au printemps suivant. : Mizoguchi, 2002, p. 126.

nabunken.go.jp

sitereports.nabunken.go.jp

  • (ja) « 縄文人の一生 », sur Comprehensive Database of Archaeological Site Reports in Japan,‎ (consulté le )

nature.com

openedition.org

journals.openedition.org

  • Inada Takashi, Laurent Nespoulos et Jean Paul Demoule, « Art et Préhistoire au Japon : Les Jōmon », Perspective « Japon »,‎ , p. 28 (21-42) (lire en ligne, consulté le )

pref.aomori.jp

sannaimaruyama.pref.aomori.jp

  • Dates relevées sur le site de Sannai-Maruyama en Mai 2021 (référence Wikipédia en Japonais) (ja)[3]

researchgate.net

  • En ce qui concerne le site de Shimomouchi, la datation de 17 000 BP. est contestée par Yaroslav V. Kuzmin en 2017 : [2] sur researchgate.net.

scahome.org

sciencedirect.com

  • (en) Shuichi NOSHIRO, Yuka SASAKI, Kazutaka KOBAYASHI, Mitsuo SUZUKI et Iwao NISHIDA, « Material selection and weaving techniques for the oldest basketry in Japan found at the Higashimyou site, Saga Prefecture », Journal of Archaeological Science : Reports, vol. 23,‎ 2019, 1er février, p. 12-24 (lire en ligne, consulté le ).

world-archaeology.com

worldcat.org

  • Hérail Francine, Carré Guillaume, Jean (1923-) Esmein et François (1947- ) Macé, Histoire du Japon : des origines à nos jours, Hermann éditeurs, impr. 2012, cop. 2009, 1413 p. (ISBN 978-2-7056-8474-7, OCLC 690383991, lire en ligne)