María Soledad Catoggio (dir.), Las Iglesias ante la violencia en América Latina, Mexico, Flacso, (ASINB01ACKTXP0), « Tiempos violentos: catolicismo y dictadura en la Argentina de los años setenta ».
(es) Juan Brodersen, « Raanan Rein: "Perón no era nazi, catapultó a los judíos a la vida pública argentina" », Clarín, Buenos Aires, (lire en ligne, consulté le ).
Voir la thèse récente d'Ernesto Laclau, qui compare le péronisme à un signifiant vide, lequel fait l'objet d'affrontements politiques et idéologiques pour lui donner un contenu effectif (E. Laclau, La razón populista, FCE, Buenos Aires, 2005 (version fr. : La Raison populiste, Paris, Seuil, 2008. Compte-rendu par Évelyne Grossman dans La Vie des idées, Vous avez dit « populisme » ?, . Voir aussi Marc Saint-Upéry, Margot Geiger, Argentine: le retour à la normale, (originellement publié en français dans Mouvements, no 47/48, septembre-décembre 2006.
(es) Mariana Pozzoni, « La Tendencia Revolucionaria del peronismo en la apertura política. Provincia de Buenos Aires, 1971-1974 », Estudios Sociales, vol. 36, , p. 173–202 (DOI10.14409/es.v36i1.2637, lire en ligne)
Felipe Pigna, « Alfredo Palacios », El Historiador, (consulté le ) : « Dans ce contexte, la défense du président de la Cour suprême de justice fut assumée par le docteur Antonio Sagarna, qui avait mis des obstacles à la législation du travail impulsée par Perón, la même que celle pour laquelle Palacios avait lutté tant d’années. Perón se défend en disant qu’il ‘n’a rien fait d’autre que d’exécuter ce que les socialistes pensaient et disaient’. ».
Pour une étude comparée des différents mouvements se réclamant du péronisme, on peut consulter le site (en castillan) El Topo Blindado qui présente sous forme numérisée des revues proches des Montoneros (El Descamisado et La Causa Peronista) ou même son organe officiel (Evita Montonera). De l'autre côté du spectre politique, on consultera El Caudillo(droite péroniste; lopez-reguisme). La lecture de Movimiento ( seules les unes sont visibles sur la toile) permettra de compléter le tour d'horizon des revues péronistes. Cette revue est l'organe de la JP Lealtad (Loyauté) issue d'une scission des Montoneros restée favorable au leadership de Peron (le nom officiel est très explicite Montoneros Soldatos (Soldats) de Peron) . Par ailleurs, ce mouvement s'opposait à la dérive vers la violence politique des Montoneros après le retour de Peron.
Le site El Topo Blindado (page en français disponible) est un collectif de chercheurs intéressés dans l’histoire récente de l'Argentine et plus particulièrement sur les organisations politico-militaires des années 60-70.
Carlos Ariel Díaz, « Peronismo, Estado de Bienestar, Kirchnerismo », Frente Para la Victoria, (consulté le ) : « Il est un fait historique que la construction de l’État-providence a été tributaire de la formation de coalitions politiques ; cela commença le 17 octobre 1945, et sans cette mobilisation, l’État-providence ne serait pas apparu. ».
(es) Jaime Rosemberg, « Miguel Ángel Pichetto: "El Gobierno tiene una cosmovisión clasista y ataca a quienes no lo votaron" », La Nación, (lire en ligne)
laviedesidees.fr
Voir la thèse récente d'Ernesto Laclau, qui compare le péronisme à un signifiant vide, lequel fait l'objet d'affrontements politiques et idéologiques pour lui donner un contenu effectif (E. Laclau, La razón populista, FCE, Buenos Aires, 2005 (version fr. : La Raison populiste, Paris, Seuil, 2008. Compte-rendu par Évelyne Grossman dans La Vie des idées, Vous avez dit « populisme » ?, . Voir aussi Marc Saint-Upéry, Margot Geiger, Argentine: le retour à la normale, (originellement publié en français dans Mouvements, no 47/48, septembre-décembre 2006.
« Argentina shifts to the right after Mauricio Macri wins presidential runoff », The Guardian, (lire en ligne)
translate.goog
web-archive-org.translate.goog
Pour une étude comparée des différents mouvements se réclamant du péronisme, on peut consulter le site (en castillan) El Topo Blindado qui présente sous forme numérisée des revues proches des Montoneros (El Descamisado et La Causa Peronista) ou même son organe officiel (Evita Montonera). De l'autre côté du spectre politique, on consultera El Caudillo(droite péroniste; lopez-reguisme). La lecture de Movimiento ( seules les unes sont visibles sur la toile) permettra de compléter le tour d'horizon des revues péronistes. Cette revue est l'organe de la JP Lealtad (Loyauté) issue d'une scission des Montoneros restée favorable au leadership de Peron (le nom officiel est très explicite Montoneros Soldatos (Soldats) de Peron) . Par ailleurs, ce mouvement s'opposait à la dérive vers la violence politique des Montoneros après le retour de Peron.
Le site El Topo Blindado (page en français disponible) est un collectif de chercheurs intéressés dans l’histoire récente de l'Argentine et plus particulièrement sur les organisations politico-militaires des années 60-70.
(es) Mariana Pozzoni, « La Tendencia Revolucionaria del peronismo en la apertura política. Provincia de Buenos Aires, 1971-1974 », Estudios Sociales, vol. 36, , p. 173–202 (DOI10.14409/es.v36i1.2637, lire en ligne)
La liste complète des élues de 1951 s’établit comme suit : Judith Elida Acuña (Corrientes), Generosa D. Aguilar de Medina (Salta), Magdalena Álvarez (Buenos Aires), Celia Argumedo de Pedroza (Mendoza), Josefa Biondi (Santa Fe), Josefa D. Brigada de Gómez (Santa Fe), María Elena Casuccio (Buenos Aires), María C. Caviglia de Boeykens (Entre Ríos), Angélica Esperanza Dacunda (Corrientes), Juana Alicia Espejo de Ramos (Capital Federal), Francisca Ana Flores (Buenos Aires), Dora Matilde Gaeta de Iturbida (Capital Federal), Ana Carmen Macri (Capital Federal), Dominga Ortiz de Sosa Vivas (Santiago del Estero), Mafalda Piovano de Castro (Santiago del Estero), Zulema Noemí Pracánico (Buenos Aires), S. del Carmen Rodríguez de Copa (Salta), Celina E. Rodríguez (Buenos Aires), Carmen Salaber (Buenos Aires), María Urbelina Tejada (San Juna), Isabel A. Torterola de Roselli (Santa Fe), Otilia Villa Maciel de Como (Tucumán). Viendront se joindre à elles trois déléguées au congrès national élues dans les territoires nationaux : Elena Aída Fernicola (Misiones), Esther Mercedes Fadul (Terre de feu), Josefa Miguel de Tubio (La Pampa), ainsi que deux députées mandatées, lors d’élections parlementaires complémentaires tenues en 1952, par les deux provinces nouvellement créées : Paulina Escardo de Colombo Berra (Chubut) et Silvia Obdulia Alvaredo de Blanco (La Pampa). Cf. « La conformación de la Cámara […] ».
Pour une étude comparée des différents mouvements se réclamant du péronisme, on peut consulter le site (en castillan) El Topo Blindado qui présente sous forme numérisée des revues proches des Montoneros (El Descamisado et La Causa Peronista) ou même son organe officiel (Evita Montonera). De l'autre côté du spectre politique, on consultera El Caudillo(droite péroniste; lopez-reguisme). La lecture de Movimiento ( seules les unes sont visibles sur la toile) permettra de compléter le tour d'horizon des revues péronistes. Cette revue est l'organe de la JP Lealtad (Loyauté) issue d'une scission des Montoneros restée favorable au leadership de Peron (le nom officiel est très explicite Montoneros Soldatos (Soldats) de Peron) . Par ailleurs, ce mouvement s'opposait à la dérive vers la violence politique des Montoneros après le retour de Peron.
Le site El Topo Blindado (page en français disponible) est un collectif de chercheurs intéressés dans l’histoire récente de l'Argentine et plus particulièrement sur les organisations politico-militaires des années 60-70.