« La 5 26/06/1988 23:30:00 00:30:00 Cinéma: Double Vision », sur ina.fr. Depuis la récente invention du procédé de colorisation des films aux États-Unis, une polémique violente s'est engagé entre ceux qui sont pour et ceux qui s'y opposent au nom du respect des œuvres. Cette émission présente une série de documents, des extraits d'œuvres et des réactions de professionnels du cinéma.
« Programme télé du 5 au 11 août 1989 », Télé 7 Jours, no 152, , p. 32 (ISSN0153-0747).
la-rida.com
Jean Mirat, « L'Affaire du Kid - Revue internationale du droit d'auteur », sur la-rida.com, (consulté le ). Dans un premier argument, RICHEBE et je relate ici ses conclusions vous dit : On me reproche d'avoir inséré dans cette copie du Kid des cartons sous-titrés français. C'est exact, mais, dit-il, ces cartons ne sont pas infidèles au texte de CHAPLIN. Je n'ai fait que traduire les cartons dont étaient munies les copies publiées par CHAPLIN lui-même. Pouvez-vous, Messieurs, retenir cet argument ? (...) CHAPLIN ne veut plus de ces cartons, et nous allons en arriver précisément à l'essence du droit moral de Charlie CHAPLIN que je viens défendre devant la Cour, c'est que CHAPLIN entend exploiter son œuvre comme il le veut aujourd'hui et non comme elle le fut naguère. De même, Messieurs, et là, sur ce point, je ne peux pas être contredit M. RICHEBE a pris cette copie lavande du Kid et y a ajouté une bande sonore de son choix. Il ne peut pas dire ici que cette bande sonore soit le reflet ou l'écho d'une musique autorisée par CHAPLIN. Le film était muet.
Hector Felciano, « COLORIZED FILM BARRED BY FRENCH », sur washingtonpost.com, (consulté le ). La première fois qu'un tribunal a confirmé le droit moral d'un cinéaste américain en France remonte aux années 1950, lorsque l'acteur-réalisateur-producteur Charlie Chaplin s'opposait à la bande originale ajoutée à son film muet The Kid.
Hector Felciano, « JUDGE BARS AIRING OF COLORIZED FILM », sur washingtonpost.com, (consulté le ). La diffusion du film de Huston aurait été la première fois qu'un film colorisé apparaissait à la télévision française.
Hector Felciano, « JUDGE BARS AIRING OF COLORIZED FILM », sur washingtonpost.com, (consulté le ). La Cinq prévoyait de diffuser Quand la ville dort colorisée à une heure de grande écoute, suivie de la version en noir et blanc du film de 1950 plus tard dans la nuit. Un débat sur la colorisation était également prévu.