Hugo mentionne en effet en marge des épreuves de la première édition : « J'ai déjà fait observer que quatrevingt ne veut pas de trait d'union. C'est un seul mot. Ne pas l'oublier. » Cf. Gustave Simon (dir.), « Le Manuscrit de Quatrevingt-treize », Œuvres complètes de Victor Hugo, vol. 9, Imprimerie nationale / P. Ollendorff, Paris, 1924, p. 450. Certains éditeurs utilisent néanmoins l'orthographe standard Quatre-vingt-treize, comme les éditions de Crémille à Genève en 1969 dans la collection « Les Grands Romans historiques ».