Nicolas Delalande et Blaise Truong-Loï, « Chapitre V. L’émergence de la question sociale », dans Histoire politique du XIXe siècle, Presses de Sciences Po, (lire en ligne), p. 158-159
Philippe Vigier (dir.), Répression et prison politiques en France et en Europe au XIXe siècle, Créaphis, Société d'histoire de la Révolution de 1848 et des révolutions du XIXe siècle, p. 21-44. Lire en ligne sur Google Livres.
Christine Planté, « « J’en étais » : le je du poète et la communauté chez Marceline Desbordes-Valmore », dans Le Moi, l'Histoire 1789-1848, UGA Éditions, coll. « Bibliothèque stendhalienne et romantique », (ISBN978-2-37747-130-0, lire en ligne), p. 117–132
D’après le site rebellyon.info, « site d’infos alternatives lyonnaises ». Selon Guy Antonetti (op. cit., p. 722) : « Il y a eu cent à deux cents morts de part et d’autre ».
Jean-Gaston de Pins, évêque de Limoges (1822-1824), fut nommé en 1824 administrateur apostolique de l’archidiocèse de Lyon et reçut à cette occasion le titre d’archevêque d'Amasea(de)in partibus infidelium. L’archevêque titulaire demeurait le cardinal Fesch, oncle de Napoléon Ier, qui avait refusé de démissionner et vivait à Rome.