« Le 5 juillet 1962 à Oran, seul officier français à enfreindre les ordres prescrits, il fit face à l'A.L.N. [...] arrachant des centaines de ses compatriotes pieds-noirs à une mort certaine, s'exposant ainsi aux foudres du général Katz. » Boris Khan, L’Algérianiste, n° 104, janvier 2004. Rabah Kheliff ne fut pas le seul à enfreindre les ordres. Le capitaine Croguennec, du 2e Zouaves, a arraché 400 Européens du commissariat central d’Oran, et les a mis en sécurité dans son cantonnement. Témoignage du commandant Brénugat, in Geneviève de Ternant, L’Agonie d’Oran, t. 2, p. 77-78. Récit du capitaine Croguennec sur Le 5 juillet 1962 à Oran. Témoignage de Serge Lentz, Paris-Match, no 692, 14 juillet 1962.