Le terrorisme du Mouvement de la tendance islamique, dont Rached Ghannouchi est le président, est condamné dans le « Rapport de la Cour fédérale du Canada du 24 septembre 2001 sur l'affaire Mohamed Zrig (dossier IMM-601-00) »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur reports.fja.gc.ca : « Concernant le terrorisme du MTI/Ennahda, le défendeur renvoie aux crimes suivants commis par le MTI/Ennahda : utilisation de cocktails molotov, acide projeté au visage d'individus, agressions physiques dans les lycées et les universités, lettres de menaces, attentats à la bombe en France en 1986, à Sousse et Monastir, ainsi que ceux en 1990-91, incluant celui à Bab Souika ».
En effet, de 1972 à 2011, Ennahdha connaît treize présidents, douze pendant huit ans et un seul président, Rached Ghannouchi, pendant 31 ans. Sa nouvelle présidence est contestée par Abdelfattah Mourou du fait qu'il ne réside pas en Tunisie selon Sami Ben Abdallah, « Rached Ghannouchi, un si long règne »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur samibenabdallah.info, .
Le terrorisme du Mouvement de la tendance islamique, dont Rached Ghannouchi est le président, est condamné dans le « Rapport de la Cour fédérale du Canada du 24 septembre 2001 sur l'affaire Mohamed Zrig (dossier IMM-601-00) »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur reports.fja.gc.ca : « Concernant le terrorisme du MTI/Ennahda, le défendeur renvoie aux crimes suivants commis par le MTI/Ennahda : utilisation de cocktails molotov, acide projeté au visage d'individus, agressions physiques dans les lycées et les universités, lettres de menaces, attentats à la bombe en France en 1986, à Sousse et Monastir, ainsi que ceux en 1990-91, incluant celui à Bab Souika ».
« En Tunisie, également, le pouvoir modernisateur et laïcisant utilisa l'islamisme émergent pour contrer la gauche marxiste » selon Laurent Chabry et Annie Chabry, Identités et stratégies politiques dans le monde arabo-musulman, Paris, L'Harmattan, (lire en ligne), p. 424.
Le terrorisme du Mouvement de la tendance islamique, dont Rached Ghannouchi est le président, est condamné dans le « Rapport de la Cour fédérale du Canada du 24 septembre 2001 sur l'affaire Mohamed Zrig (dossier IMM-601-00) »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur reports.fja.gc.ca : « Concernant le terrorisme du MTI/Ennahda, le défendeur renvoie aux crimes suivants commis par le MTI/Ennahda : utilisation de cocktails molotov, acide projeté au visage d'individus, agressions physiques dans les lycées et les universités, lettres de menaces, attentats à la bombe en France en 1986, à Sousse et Monastir, ainsi que ceux en 1990-91, incluant celui à Bab Souika ».
En effet, de 1972 à 2011, Ennahdha connaît treize présidents, douze pendant huit ans et un seul président, Rached Ghannouchi, pendant 31 ans. Sa nouvelle présidence est contestée par Abdelfattah Mourou du fait qu'il ne réside pas en Tunisie selon Sami Ben Abdallah, « Rached Ghannouchi, un si long règne »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur samibenabdallah.info, .
(ar) Rached Ghannouchi, « من تجربة الحركة الإسلامية في تونس » [« De l'expérience du mouvement islamiste en Tunisie »], sur ikhwanwiki.com (consulté le ).
Son engagement révolutionnaire est illustré matériellement par l'escalade politico-diplomatique de 1987 faisant suite à la répression du Mouvement de la tendance islamique, parti dont Ghannouchi est le chef, et aboutissant à la rupture par le gouvernement tunisien des relations diplomatiques avec l'Iran, le 26 mars 1987. Ghannouchi est jugé et condamné sous l'accusation principale de « collusion avec un État étranger, tentative de renversement du régime, appel à la sédition et diffamation du chef de l'État » selon Asma Làrif-Béatrix, « Chronique tunisienne », Annuaire de l'Afrique du Nord, t. XXVI, , p. 649-650 (ISSN0242-7540, lire en ligne, consulté le ).
« Un geste en direction des islamistes : le président Ben Ali a gracié M. Ghannouchi », Le Monde, (ISSN0395-2037, lire en ligne, consulté le ).
Michel Deure, « L'"émir" des islamistes exprime sa confiance en M. Ben Ali », Le Monde, (ISSN0395-2037).
Michel Deure, « Les islamistes ont demandé l'autorisation de se constituer en parti », Le Monde, (ISSN0395-2037, lire en ligne, consulté le ).
Michel Deure, « Privé de reconnaissance officielle, le mouvement islamique dénonce les abus du pouvoir », Le Monde, (ISSN0395-2037, lire en ligne, consulté le ).
Michel Deure, « Le mouvement islamiste Ennahdha s'est doté d'une nouvelle direction », Le Monde, (ISSN0395-2037, lire en ligne, consulté le ).
Sophie Boukhari, « Rached Ghannouchi a toujours refusé de dialoguer : il a choisi le recours à la violence », Jeune Afrique, (ISSN1950-1285).
« Selon un quotidien saoudien : démission d'un responsable du mouvement islamiste tunisien », Le Monde, (ISSN0395-2037, lire en ligne, consulté le ).
« Tunisie : l'islamiste Rached Ghannouchi ne sera pas candidat à la présidence », Le Monde, (ISSN0395-2037, lire en ligne, consulté le ).
Isabelle Mandraud, « Les priorités politiques du nouvel homme fort de Tunisie », Le Monde, (ISSN0395-2037, lire en ligne, consulté le ).
« Tunisie : le président s'arroge le pouvoir exécutif, Ennahdha condamne un « coup d'État contre la révolution » », Le Parisien, (ISSN0767-3558, lire en ligne, consulté le ).
« En Tunisie, Rached Ghannouchi, le chef du parti d'opposition islamiste Ennahda, arrêté », Le Monde, (ISSN0395-2037, lire en ligne, consulté le ).
Monia Ben Hamadi, « En Tunisie, le parti Ennahda considère que Rached Ghannouchi a été « enlevé » », Le Monde, (ISSN0395-2037, lire en ligne, consulté le ).
« Tunisie : Rached Ghannouchi, le chef d'Ennahda, condamné à quinze mois de prison en appel », Le Monde, (ISSN0395-2037, lire en ligne, consulté le ).
« En Tunisie, Rached Ghannouchi condamné à trois années supplémentaires de prison », Le Monde, (ISSN0395-2037, lire en ligne, consulté le ).
« Depuis son arrivée au pouvoir, dans l'ombre, Ghannouchi s'est évertué à ouvrir plusieurs fronts. Une guérilla permanente. Ennahdha bloque des articles de la Constitution, refuse d'inscrire les droits universels dans la loi fondamentale, tergiverse sur la charia ou le statut des femmes, stigmatise l'opposition, rêve d'anéantir le parti qui a le vent en poupe, Nida Tounes, fondé par l'ancien Premier ministre Béji Caïd Essebsi, s'en prend aux médias, aux laïcs, aux artistes, instrumentalise le débat identitaire et utilise la religion pour traiter de mécréants tous ceux qui s'opposent à lui » selon Marwane Ben Yahmed, « Rached Ghannouchi, l'homme qui a trahi la révolution tunisienne] », Jeune Afrique, (ISSN1950-1285, lire en ligne, consulté le ).
« Ghannouchi et son parti n'ont pas trouvé mieux que d'actionner des organisations et des relais médiatiques qui leur sont acquis pour accuser ouvertement l'Algérie d'être « l'inspiratrice » de ces attaques meurtrières » selon Brahim Takheroubt, « Ghannouchi franchit la ligne rouge », L'Expression, (ISSN1112-3397).
Rached Ghannouchi, « Musulmans modérés et laïcs unis contre le terrorisme en Tunisie ! », Le Monde, (ISSN0395-2037, lire en ligne, consulté le ).
Rached Ghannouchi, « Il n'y a plus de justification à l'islam politique en Tunisie », Le Monde, (ISSN0395-2037, lire en ligne, consulté le ).
« Depuis son arrivée au pouvoir, dans l'ombre, Ghannouchi s'est évertué à ouvrir plusieurs fronts. Une guérilla permanente. Ennahdha bloque des articles de la Constitution, refuse d'inscrire les droits universels dans la loi fondamentale, tergiverse sur la charia ou le statut des femmes, stigmatise l'opposition, rêve d'anéantir le parti qui a le vent en poupe, Nida Tounes, fondé par l'ancien Premier ministre Béji Caïd Essebsi, s'en prend aux médias, aux laïcs, aux artistes, instrumentalise le débat identitaire et utilise la religion pour traiter de mécréants tous ceux qui s'opposent à lui » selon Marwane Ben Yahmed, « Rached Ghannouchi, l'homme qui a trahi la révolution tunisienne] », Jeune Afrique, (ISSN1950-1285, lire en ligne, consulté le ).
« Un geste en direction des islamistes : le président Ben Ali a gracié M. Ghannouchi », Le Monde, (ISSN0395-2037, lire en ligne, consulté le ).
Michel Deure, « Les islamistes ont demandé l'autorisation de se constituer en parti », Le Monde, (ISSN0395-2037, lire en ligne, consulté le ).
Michel Deure, « Privé de reconnaissance officielle, le mouvement islamique dénonce les abus du pouvoir », Le Monde, (ISSN0395-2037, lire en ligne, consulté le ).
Michel Deure, « Le mouvement islamiste Ennahdha s'est doté d'une nouvelle direction », Le Monde, (ISSN0395-2037, lire en ligne, consulté le ).
« Selon un quotidien saoudien : démission d'un responsable du mouvement islamiste tunisien », Le Monde, (ISSN0395-2037, lire en ligne, consulté le ).
« Tunisie : l'islamiste Rached Ghannouchi ne sera pas candidat à la présidence », Le Monde, (ISSN0395-2037, lire en ligne, consulté le ).
Isabelle Mandraud, « Les priorités politiques du nouvel homme fort de Tunisie », Le Monde, (ISSN0395-2037, lire en ligne, consulté le ).
« En Tunisie, Rached Ghannouchi, le chef du parti d'opposition islamiste Ennahda, arrêté », Le Monde, (ISSN0395-2037, lire en ligne, consulté le ).
Monia Ben Hamadi, « En Tunisie, le parti Ennahda considère que Rached Ghannouchi a été « enlevé » », Le Monde, (ISSN0395-2037, lire en ligne, consulté le ).
« Tunisie : Rached Ghannouchi, le chef d'Ennahda, condamné à quinze mois de prison en appel », Le Monde, (ISSN0395-2037, lire en ligne, consulté le ).
« En Tunisie, Rached Ghannouchi condamné à trois années supplémentaires de prison », Le Monde, (ISSN0395-2037, lire en ligne, consulté le ).
Rached Ghannouchi, « Musulmans modérés et laïcs unis contre le terrorisme en Tunisie ! », Le Monde, (ISSN0395-2037, lire en ligne, consulté le ).
Rached Ghannouchi, « Il n'y a plus de justification à l'islam politique en Tunisie », Le Monde, (ISSN0395-2037, lire en ligne, consulté le ).
leparisien.fr
« Tunisie : le président s'arroge le pouvoir exécutif, Ennahdha condamne un « coup d'État contre la révolution » », Le Parisien, (ISSN0767-3558, lire en ligne, consulté le ).
« Lorsque Bourguiba fit son célèbre voyage au Machreq après qu'eut lieu la réconciliation, nous sommes allés le rencontrer à Beyrouth. Les non boursiers lui ont demandé l'attribution d'une bourse pour tous, qu'il leur a accordée de fait lors de son célèbre discours d'Ariha. On a donc tous bénéficié de la bourse tunisienne un certain temps » selon François Burgat, « Rachid Ghannuchi : islam, nationalisme et islamisme (entretien) », Égypte/Monde arabe, no 10 « Partage de l'eau dans le monde arabe », (lire en ligne, consulté le ).
En effet, de 1972 à 2011, Ennahdha connaît treize présidents, douze pendant huit ans et un seul président, Rached Ghannouchi, pendant 31 ans. Sa nouvelle présidence est contestée par Abdelfattah Mourou du fait qu'il ne réside pas en Tunisie selon Sami Ben Abdallah, « Rached Ghannouchi, un si long règne »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur samibenabdallah.info, .
Son engagement révolutionnaire est illustré matériellement par l'escalade politico-diplomatique de 1987 faisant suite à la répression du Mouvement de la tendance islamique, parti dont Ghannouchi est le chef, et aboutissant à la rupture par le gouvernement tunisien des relations diplomatiques avec l'Iran, le 26 mars 1987. Ghannouchi est jugé et condamné sous l'accusation principale de « collusion avec un État étranger, tentative de renversement du régime, appel à la sédition et diffamation du chef de l'État » selon Asma Làrif-Béatrix, « Chronique tunisienne », Annuaire de l'Afrique du Nord, t. XXVI, , p. 649-650 (ISSN0242-7540, lire en ligne, consulté le ).
Le terrorisme du Mouvement de la tendance islamique, dont Rached Ghannouchi est le président, est condamné dans le « Rapport de la Cour fédérale du Canada du 24 septembre 2001 sur l'affaire Mohamed Zrig (dossier IMM-601-00) »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur reports.fja.gc.ca : « Concernant le terrorisme du MTI/Ennahda, le défendeur renvoie aux crimes suivants commis par le MTI/Ennahda : utilisation de cocktails molotov, acide projeté au visage d'individus, agressions physiques dans les lycées et les universités, lettres de menaces, attentats à la bombe en France en 1986, à Sousse et Monastir, ainsi que ceux en 1990-91, incluant celui à Bab Souika ».
En effet, de 1972 à 2011, Ennahdha connaît treize présidents, douze pendant huit ans et un seul président, Rached Ghannouchi, pendant 31 ans. Sa nouvelle présidence est contestée par Abdelfattah Mourou du fait qu'il ne réside pas en Tunisie selon Sami Ben Abdallah, « Rached Ghannouchi, un si long règne »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur samibenabdallah.info, .
Le terrorisme du Mouvement de la tendance islamique, dont Rached Ghannouchi est le président, est condamné dans le « Rapport de la Cour fédérale du Canada du 24 septembre 2001 sur l'affaire Mohamed Zrig (dossier IMM-601-00) »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur reports.fja.gc.ca : « Concernant le terrorisme du MTI/Ennahda, le défendeur renvoie aux crimes suivants commis par le MTI/Ennahda : utilisation de cocktails molotov, acide projeté au visage d'individus, agressions physiques dans les lycées et les universités, lettres de menaces, attentats à la bombe en France en 1986, à Sousse et Monastir, ainsi que ceux en 1990-91, incluant celui à Bab Souika ».
En effet, de 1972 à 2011, Ennahdha connaît treize présidents, douze pendant huit ans et un seul président, Rached Ghannouchi, pendant 31 ans. Sa nouvelle présidence est contestée par Abdelfattah Mourou du fait qu'il ne réside pas en Tunisie selon Sami Ben Abdallah, « Rached Ghannouchi, un si long règne »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur samibenabdallah.info, .