Ramón Nocedal (French Wikipedia)

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abc.es

hemeroteca.abc.es

voir ABC du 4 juin 1852, p. 3

bne.es

hemerotecadigital.bne.es

voir La España du 9 octobre 1861, p. 3
voir La Época du 5 novembre 1864, p. 3
voir La Época du 11 mars 1867, p. 3
voir La Esperanza du 10 octobre 1867, p. 3
voir La Esperanza du 11 septembre 1867, p. 3
précisément par son père, voir La Correspondencia de España du 8 avril 1867, p. 3
détenu par Cándido Nocedal, voir La España du 21 novembre 1867, p. 3.
voir La Época du 21 novembre 1867, p. 2
(es) « Miscelánea política », El Imparcial,‎ 19 décembre 1867, p. 1 (lire en ligne, consulté le 6 mars 2024) :
« El artículo desde la primera línea hasta la última, es un tegido de apreciaciones equivocadas, según nuestra pobre opinion; pero está escrito con analogía, sintaxis, prosodia y ortografía. Saludamos corteamente al nuevo periodista, olvidándonos solo para este caso, de todos los desatinos, desvergüenzas y suciedades que contenia el número de La Constancia da anteayer »
.
voir Gil Blas du 24 novembre 1867, p. 4
voir La Esperanza du 28 décembre 1868, p. 2
voir La Esperanza du 15 janvier 1869, p. 2
voir La Discusión du 1^er février 1869, p. 3
voir Revista de España de 1870, p. 152
voir La Discusión du 12 février 1870, p. 3, La Época du 12 février 1870, p. 3, La Esperanza du 12 février 1870, p. 1, voir La Época du 16 février 1870, p. 4 ; ses deux pièces de théâtre les plus connues sont El juez de su causa (1868) et La Carmañola (1869), publiée sous le nom de plume « Un Ingenio de Esta Corte », voir (en) Germán Bleiberg, Maureen Ihrie et Janet Pérez, Dictionary of the Literature of the Iberian Peninsula, vol. 2, Westport, 1993 (ISBN 9780313287329), p. 1166. Ses œuvres sont influencées par le théâtre espagnol classique, avec des échos de Manuel Tamayo, voir (es) Jesús Bregante, Diccionario Espasa. Literatura española, Madrid, 2003 (ISBN 8467012722), p. 663
voir La Esperanza du 10 décembre 1870, p. 2 ; il contribua également à plusieurs publications en 1870, voir La Convicción du 17 janvier 1871, p. 6, voir La Esperanza du 2 décembre 1870, p. 4
voir La Esperanza du 18 août 1870, p. 2
voir La Época du 10 mai 1870, p. 2
voir La Época du 28 février 1871, p. 2
voir La Convicción du 28 février 1871, p. 1, voir La Convicción du 20 mars 1871, p. 4
voir par exemple La Discusión du 24 mai 1871, p. 1
dans un discours aux Cortes, Ramón Nocedal parla de la « monarchie d'Amédée, qui malheureusement nous gouverne », succitant de nombreuses protestations, voir La Correspondencia de España du 24 mai 1871, p. 3 ; il défendait le droit à l'insurrection, voir El Imparcial du 24 mai 1871, p. 1. En 1871 Nocedal exerça comme avocat de la défense de personnes accusées d'avoir qualifié le roi d'« injurieux », voir La Esperanza du 10 juillet 1871, p. 4
voir La Esperanza du 22 mars 1872, p. 1 et La Esperanza du 26 mars 1872, p. 1
voir La Época du 6 avril 1872, p. 3 ; cette défaite s'avéra sans importance car le prétendant carliste ordonna à ceux qui avaient été élus de se retirer peu de temps après (Urigüen 1986, p. 457).
voir Diario oficial de avisos de Madrid du 8 juin 1872, p. 2, La Correspondencia de España du 28 septembre 1872, p. 1, La Correspondencia de España du 28 septembre 1872, p. 1
La Correspondencia de España du 1^er juin 1875, p. 6
par exemple sa pièce Marta en 1874, voir La Época du 25 février 1874, p. 3
Il déclara que ses objectifs étaient de « défendre l'intégrité des droits de l'Église, propager les doctrines catholiques et combattre les erreurs contraires qui sont en vogue et abondent en ce siècle », voir El Siglo Futuro du 19 mars 1875, p. 1
le nom officiel du parti ne changea pas jusqu'à la mort de Nocedal^{[source insuffisante]}, voir El Siglo Futuro du 1^er mars 1907, p. 1
il fut vaincu non pas par Tirso do Olazábal mais par Joaquín María de Arana y Beláustegui, de justesse, voir Fernández Escudero 2012, p. 315, également La Iberia du 13 avril 1896, p. 1. En 1903 Nocedal perdit, beaucoup plus nettement cette fois, face à son frère Teodoro de Arana y Beláustegui (en).
voir El Siglo Futuro du 11 avril 1898, p. 1, La Época du 12 avril 1898, p. 2 ; il ne fut pas élu selon (es) « Nocedal y Romea, Ramón, 1842-1907 », sur Biblioteca Virtual de Polígrafos, Fundación Ignacio Larramendi
El Imparcial du 20 mai 1901, p. 2
José Sánchez Marco (en), Benito de Guinea (es) et Juan de Olazábal selon El Siglo Futuro du 11 avril 1907, p. 1, ou Juan de Olazábal, José Sánchez Marco et Manuel Aznar selon (es) José Urbano Asarta Epenza, « Olazabal Ramery, Juan de », sur Auñamendi Eusko Entziklopedia (consulté le 6 mars 2024).
El Siglo Futuro du 11 avril 1930, p. 1

congreso.es

à la suite de nombreux protestations et appels, le mandat de Nocedal fut annulé selon Fernández Escudero 2012, p. 248 et Canal 1990, p. 779 ; cette information n'est pas confirmée par le site officiel du Congrès des députés : (es) « NOCEDAL Y ROMEA, RAMON », sur www.congreso.es

enciclopedianavarra.com

comme Francisco María de las Rivas ou José Pérez de Guzmán y Herrera (es), voir (es) « EL TRADICIONALISTA », sur Gran Enciclopedia de Navarra (consulté le 6 mars 2024).
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eusko-ikaskuntza.eus

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(es) Idoia Estornés Zubizarreta, « INTEGRISMO », sur Auñamendi Eusko Entziklopedia (consulté le 6 mars 2024)
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voir El Siglo Futuro du 11 avril 1898, p. 1, La Época du 12 avril 1898, p. 2 ; il ne fut pas élu selon (es) « Nocedal y Romea, Ramón, 1842-1907 », sur Biblioteca Virtual de Polígrafos, Fundación Ignacio Larramendi

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(es) Pedro Soler, « Dos siglos del nacimiento de Julián Romea », La Verdad,‎ 17 juin 2016 (lire en ligne, consulté le 6 mars 2024).

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(es) « Red Digital de Colecciones de Museos de España - Museos », sur ceres.mcu.es (consulté le 6 mars 2024)
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radiocristiandad.wordpress.com

le seul intégriste ayant un prestige comparable était Félix Sardá y Salvany; tous deux demeurèrent de loyaux collaborateurs jusqu'à la mort de Nocedal ; pour un exemple de ses discours, voir (es) « P. FÉLIX SARDÁ Y SALVANY – INTEGRISMO », sur Radio Cristiandad, 11 septembre 2014 (consulté le 6 mars 2024)

rah.es

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(es) Carlos Dardé Morales, « Ramón Nocedal y Romea », sur Diccionario biográfico español, Real Academia de la Historia (consulté le 3 mars 2023).
(es) Carlos Dardé Morales, « Cándido Nocedal y Rodríguez de la Flor », sur Diccionario biográfico español, Real Academia de la Historia

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(es) « NOCEDAL, JOSÉ MARÍA », sur Senado de España (consulté le 6 mars 2024).
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(es) Benito Sacaluga, « La Prensa madrileña en la sublevación de 1936 », sur Unidad Cívica por la República (consulté le 6 mars 2024).

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es.wikipedia.org

together with Navarro Villoslada, Gabino Tejado, Ramón Vinader (es) et Aparisi y Guijarro, voir (es) José Luis Orella Martínez, El origen del primer catolicismo social español (thèse de doctorat), Madrid, UNED, 2012, p. 35
par la dite «Partida de la porra (es) » (le « parti de la matraque »), voir * (es) Eduardo González Calleja, La razón de la fuerza: orden público, subversión y violencia política en la España de la Restauración (1875-1917), Madrid, 1998 (ISBN 9788400077785), p. 27
De 1889 à 1893, la direction fut assumée par un comité central, présidé par Nocedal. Les autres membres du comité étaient Juan Ortí y Lara (en), Liborio Ramery Zuzuarregui (es), Javier Rodríguez de la Vera, José Pérez de Guzmán y Herrera (en), Fernando Fernández de Velasco, Ramón M. Alvarado et Carlos Gil Delgado (Canal 2000, p. 127, Canal 1990, p. 778) ; le comité fut dissous en 1893, lors d'une assemblée nationale réunissant 88 délégués représentant 17 comités régionaux.
comme Francisco María de las Rivas ou José Pérez de Guzmán y Herrera (es), voir (es) « EL TRADICIONALISTA », sur Gran Enciclopedia de Navarra (consulté le 6 mars 2024).
José Sánchez Marco (en), Benito de Guinea (es) et Juan de Olazábal selon El Siglo Futuro du 11 avril 1907, p. 1, ou Juan de Olazábal, José Sánchez Marco et Manuel Aznar selon (es) José Urbano Asarta Epenza, « Olazabal Ramery, Juan de », sur Auñamendi Eusko Entziklopedia (consulté le 6 mars 2024).

en.wikipedia.org

Outre Cerralbo, Melgar, Valde-Espina (en) et Sangarrén (en) (Fernández Escudero 2012, p. 55, 65-6, 81). Sangarrén avoua qu'il se pliait à « la tyrannie de Cándido Nocedal » uniquement parce que ce dernier avait été nommé par le roi.
De 1889 à 1893, la direction fut assumée par un comité central, présidé par Nocedal. Les autres membres du comité étaient Juan Ortí y Lara (en), Liborio Ramery Zuzuarregui (es), Javier Rodríguez de la Vera, José Pérez de Guzmán y Herrera (en), Fernando Fernández de Velasco, Ramón M. Alvarado et Carlos Gil Delgado (Canal 2000, p. 127, Canal 1990, p. 778) ; le comité fut dissous en 1893, lors d'une assemblée nationale réunissant 88 délégués représentant 17 comités régionaux.
il fut vaincu non pas par Tirso do Olazábal mais par Joaquín María de Arana y Beláustegui, de justesse, voir Fernández Escudero 2012, p. 315, également La Iberia du 13 avril 1896, p. 1. En 1903 Nocedal perdit, beaucoup plus nettement cette fois, face à son frère Teodoro de Arana y Beláustegui (en).
José Sánchez Marco (en), Benito de Guinea (es) et Juan de Olazábal selon El Siglo Futuro du 11 avril 1907, p. 1, ou Juan de Olazábal, José Sánchez Marco et Manuel Aznar selon (es) José Urbano Asarta Epenza, « Olazabal Ramery, Juan de », sur Auñamendi Eusko Entziklopedia (consulté le 6 mars 2024).