L’épouse de Raoul III de La Barre était d’une ancienne famille normande anoblie au XVIe siècle, tandis que sa mère appartenait à l’illustre maison écossaise dont le nom primitif Hop’Pringle (fils de pèlerin), et les armes ornées de coquilles en dépit de multiples brisures, marquaient la participation aux Croisades. Une branche des Pringle s’était installée en Normandie au XVIIe siècle à cause du négoce, et était passée peu de temps après au catholicisme à cause des circonstances politiques. Ainsi Maurice Pringle, le parrain et l’oncle de madame de Boisgaultier, avait-il reçu le baptême catholique en novembre 1685, lors de la dragonnade de Rouen. Voir [1] et [2]
L’épouse de Raoul III de La Barre était d’une ancienne famille normande anoblie au XVIe siècle, tandis que sa mère appartenait à l’illustre maison écossaise dont le nom primitif Hop’Pringle (fils de pèlerin), et les armes ornées de coquilles en dépit de multiples brisures, marquaient la participation aux Croisades. Une branche des Pringle s’était installée en Normandie au XVIIe siècle à cause du négoce, et était passée peu de temps après au catholicisme à cause des circonstances politiques. Ainsi Maurice Pringle, le parrain et l’oncle de madame de Boisgaultier, avait-il reçu le baptême catholique en novembre 1685, lors de la dragonnade de Rouen. Voir [1] et [2]