On trouve dans la littérature du XIXe siècle et début du XXe siècle le nom de Ars Magna et Ultima par exemple dans Académie des sciences, arts et belles lettres de Dijon, Mémoires, t. II, 1852 - 1853 (lire en ligne), p. 101
« Les auteurs de la majeure partie des traités d'alchimie attribués à notre Bienheureux sont des inconnus qui cherchaient à propager leurs œuvres et à les soustraire aux recherches des tribunaux ecclésiastiques en les mettant sous la sauvegarde d'un nom vénéré. Quelques-uns de ces livres sont d'un juif converti, Raymond de Tarrega, ou le Néophyte, qui vivait vers 1370 ; il composa une Invocation des démons condamnée par Grégoire XI, et un autre livre qui porte le même titre qu'une œuvre de Raymond Lulle, De secretis natuæ. » (livres mystiques, « Vie du Bienheureux Raymond Lulle »)