« Le dogme de la trinité a été formulé aux IVe et Ve siècles par les conciles de Nicée (325) et de Constantinople (381) dans des « symboles »[...] Quand on les lit, on est frappé par leur complexité et leur sophistication. En résumant et en simplifiant à l’extrême, ils déclarent que Dieu est une essence ou une substance unique en trois personnes ou instances distinctes. On ne peut ni séparer ni confondre le Père, le Fils et l’Esprit ; ils sont à la fois identiques et différents. On ne trouve rien de tel dans le Nouveau Testament. Quand à la fin de l’évangile de Matthieu Jésus demande à ses disciples de baptiser les croyants « au nom du Père et du Fils et du Saint-Esprit », il s’agit d’une formule ternaire (qui ne dit rien des relations entre les trois êtres qu’elle énumère) mais nullement trinitaire (elle ne dit pas que les trois sont un et que cet un est trois). La Trinité découle de réflexions et de débats très postérieurs aux temps apostoliques ; en discerner l’affirmation dans le Nouveau Testament s’apparente à un tour de passe-passe. » André Gounelle (André Gounelle, « A propos de la trinité », sur andregounelle.fr (consulté le ).
Nițulescu, « The Influence of the Ottoman Threat on the Protestant Reformation (Reformers) », Andrews Research Conference, (lire en ligne, consulté le )
(en) « La méthodologie des Salafs concernant l'Ijtihad et le Taqlid »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur Salafi Publications : « Shaykhul-Islaam Ibn Taymiyyah, rahimahullaah, a dit : lorsqu'un musulman est confronté à une situation problématique, il doit demander un verdict à quelqu'un dont il pense qu'il lui donnera un verdict basé sur ce qu'Allah et Son Messager ont légiféré, quelle que soit l'école de pensée (madhhab) à laquelle il appartient. Il n'est pas obligatoire pour un musulman de suivre aveuglément un savant particulier dans tout ce qu'il dit. Il n'est pas non plus obligatoire pour un musulman de suivre aveuglément un madhhab particulier parmi les savants dans tout ce qu'il exige et informe. Au contraire, la parole de chacun est à prendre ou à laisser, sauf celle du Messager d'Allah, sallallaahu alayhi wa sallam.' ».
archive.org
(en) Badi Badiozamani et Ghazal Badiozamani, Iran et l'Amérique : Re-Kind[l]ing a Love Lost, East West Understanding Pr., (ISBN978-0-9742172-0-8, lire en ligne), 182
Mehmet Bulut, Ottoman-Dutch Economic Relations: In the Early Modern Period 1571-1699, Hilversum, Verloren, coll. « N.W. Posthumus reeks », (ISBN978-90-6550-655-9, lire en ligne), p. 112
J. N. Hillgarth, The Mirror of Spain, 1500-1700: The Formation of a Myth, University of Michigan Press, (ISBN978-0-472-11092-6, lire en ligne), p. 210
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François Déroche, « La voix et le calame. Les chemins de la canonisation du Coran. Leçon inaugurale prononcée le jeudi 2 avril 2015 », Collection : Leçons inaugurales, Paris, Éditeur : Collège de France, (EAN9782722604445, DOI10.4000/books.cdf.4761, lire en ligne)
(en) « La méthodologie des Salafs concernant l'Ijtihad et le Taqlid »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur Salafi Publications : « Shaykhul-Islaam Ibn Taymiyyah, rahimahullaah, a dit : lorsqu'un musulman est confronté à une situation problématique, il doit demander un verdict à quelqu'un dont il pense qu'il lui donnera un verdict basé sur ce qu'Allah et Son Messager ont légiféré, quelle que soit l'école de pensée (madhhab) à laquelle il appartient. Il n'est pas obligatoire pour un musulman de suivre aveuglément un savant particulier dans tout ce qu'il dit. Il n'est pas non plus obligatoire pour un musulman de suivre aveuglément un madhhab particulier parmi les savants dans tout ce qu'il exige et informe. Au contraire, la parole de chacun est à prendre ou à laisser, sauf celle du Messager d'Allah, sallallaahu alayhi wa sallam.' ».
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(en) « History », sur le site de l'Université internationale de Hartford pour la religion et la paix (consulté le )
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François Déroche, « La voix et le calame. Les chemins de la canonisation du Coran. Leçon inaugurale prononcée le jeudi 2 avril 2015 », Collection : Leçons inaugurales, Paris, Éditeur : Collège de France, (EAN9782722604445, DOI10.4000/books.cdf.4761, lire en ligne)
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(en) Johnson, Phillip R., « La Déclaration de Chicago sur l'Inerrance Biblique » [archive du ] : « Nous affirmons que les Saintes Écritures doivent être reçues comme la Parole de Dieu faisant autorité. Nous nions que les Écritures reçoivent leur autorité de l'Église, de la tradition ou de toute autre source humaine... Nous affirmons que l'Écriture dans son intégralité est inerrante, exempte de toute fausseté, fraude ou tromperie. Nous nions que l'infaillibilité et l'inerrance bibliques se limitent à des thèmes spirituels, religieux ou rédempteurs, à l'exclusion des affirmations dans les domaines de l'histoire et de la science. Nous nions en outre que les hypothèses scientifiques sur l'histoire de la terre puissent être utilisées à bon escient pour renverser l'enseignement des Écritures sur la création et le déluge. », Article I & XII.
(en) « La méthodologie des Salafs concernant l'Ijtihad et le Taqlid »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur Salafi Publications : « Shaykhul-Islaam Ibn Taymiyyah, rahimahullaah, a dit : lorsqu'un musulman est confronté à une situation problématique, il doit demander un verdict à quelqu'un dont il pense qu'il lui donnera un verdict basé sur ce qu'Allah et Son Messager ont légiféré, quelle que soit l'école de pensée (madhhab) à laquelle il appartient. Il n'est pas obligatoire pour un musulman de suivre aveuglément un savant particulier dans tout ce qu'il dit. Il n'est pas non plus obligatoire pour un musulman de suivre aveuglément un madhhab particulier parmi les savants dans tout ce qu'il exige et informe. Au contraire, la parole de chacun est à prendre ou à laisser, sauf celle du Messager d'Allah, sallallaahu alayhi wa sallam.' ».
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